Sex slave de Liam Payne

Chapitre 51

!! Attention, ce chapitre contiendra des scènes lemons et des caractères violant!!

Point de vue Annabelle

Quand je me réveille je suis dans une sorte de cellule et je reconnais cet endroit, c'est la maison du seul maître qui avait des cages dans la cave, je me souviens très bien de lui, mais ça va, j'aurais pu tomber sur pire que lui. C'est un ange comparé à certain de mes maîtres, heureusement j'ai toujours mes vêtements car, ce connard ne me laisser jamais garder mes vêtements, quand j'avais de la chance je pouvais mettre des sous-vêtements mais rien de plus. Il me semble que lui à la trentaine, il est blond aux yeux marron foncer, il est muscler, il est plus grand que moi et il s'appelle Edward.

Hier je me suis tellement débattue et j'ai tellement frappé les hommes qui m'ont enlevé m'ont assommé, s'ils ne m'avaient pas prise par surprise je les aurais battus sans difficulté. J'ai un peu mal à la tête, sûrement à cause du coup qu'ils m'ont donné, je donne un coup dans les barreaux en sachant qu'ils vont m'entendre et venir. J'espère que Liam va bien, je suis sûr que lui et Mike vont appeler leur père pour tenter de me retrouver, mais ils n'y arriverons pas comme ça, je vais essayer de trouver un plan pour qu'ils me retrouvent, je n'ai pas l'intention de me laisser faire par ce connard. Je crois que c'est l'un des maîtres auxquels j'ai le moins obéi, il m'énervait tellement que je le provoquais tout le temps. Je donne plusieurs coups dans les barreaux car, ils mettent trop de temps, un des hommes qui m'a enlevé fini par arriver et me dit de me calmer :

Homme - Alors, contente de revenir à la maison.

Moi - C'est encore plus pourri que dans mon souvenir et toi, tu t'es remis de tes blessures.

Homme - Ferme là sale pute!

Moi - C'est qu'il s'énerve le chien.

Homme - Tu vas t'en prendre une!

Edward - Ca suffi vous deux. Remonte, je vais me débrouiller.

Il me regarde de travers et je lui fais un doigt d'honneur avant qu'il remonte à l'étage, je retourne mon regard vers Edward qui me regarde de la tête au pied en se mordant la lèvre inférieure, je donne un coup dans les barreaux devant lui ce qu'il le fait sursauter avant de rire :

- Toujours aussi délicate.

- Je te manquais autant que ça que tu es venu me chercher.

- Arrête de me répondre où tu vas le regretter. Tu connais déjà mes punitions. Bon déshabille toi et je te fais sortir.

- Va te faire foutre.

- Sois-tu le fait, sois c'est moi, qu'est-ce que tu choisis?

Je soupire et enlève mon t-shirt et mon pantalon, il me montre aussi les sous -vêtements alors je le fais et il ouvre la porte, il s'approche de moi et je ne recule pas, je le regarde dans les yeux alors que je dois baisser la tête :

- Enlève aussi ton bracelet.

- Je préfère mourir.

- Tu y tiens apparemment. Mh... Je t'autorise à la garder si tu me suces. Sinon tu l'enlèves, alors?

Je fronce les sourcils et le regarde de travers, mais je ne veux pas enlever mon bracelet, surtout que je sais qu'il va le jeter avec le reste de mes affaires... Je soupire et d'effet sa ceinture ainsi que son pantalon, je fais glisser son pantalon et son boxer jusqu'à ses genoux en veillant à ne pas toucher sa peau car, je n'ai pas oublié ce qui peut arriver si je le touche. Je prends une grande inspiration avant de prendre son membre en bouche, je comment les vas et viens qui le font tout de suite gémir, j'accélère les vas et viens, mais il prend ma tête entre ses mains et fait des mouvements avec son bassin qui me donne envie de vomir. Quand il éjacule dans ma bouche je manque de m'étouffer et quand il libère ma bouche je crache sa substance en toussant, j'ai à peine le temps de me relever qu'il me plaque face aux barreaux et je l'entends mettre un préservatif avant de me pénétrer d'un coup, je serre les dents pour ne pas gémir et il prend mes hanches en donnant des coups de rein violant tandis que je me tiens aux barreaux. Je fais tout pour retenir mes gémissements et je garde les yeux fermer, Edward gémit et grogne de plaisir jusqu'à se vider dans le préservatif, il se retire de moi tandis que je reprends mon souffle, il me retourne et me plaque violemment contre les barreaux :