Infirmerie de Poudlard, 2 juin 1993
Point de vue d'Hermione.
A peine le directeur a-t-il fini de parler que les cloche commencèrent à sonner pour annoncer vingt-deux heures. La tête du vieil homme se redressa d'un coup. Il s'avança vers Harry et moi.
- Le temps est une chose mystérieuse, puissante, et quand on y touche, dangereuse. Sirius Black est dans la plus haute cellule de la tour noir. Vous connaissez la loi Miss Granger. Personne ne doit vous voir. Et vous ferez en sorte d'être de retour avant ce dernier carrion. Sinon, les conséquence serait si terrible, que je n'en parlerais pas. Si vous réussisez ce soir, plus d'un innocent aura la vie sauve. Trois tour devraient suffire je pense. expliqua le directeur en me faisant un clin d'oeil.
Il sortit, mais juste avant que les portes ne se referme, il rouvrit légèrement les portes pour ajouter :
- Quand je suis dans le doute, je reviens toujours à mon point de départ et je refais les mêmes gestes. Bonne chance.
Il referma la porte derrière lui.
- Vous avez compris quelque chose à ce charabia ? demanda Ron.
Je me tournais vers lui, regardai sa jambe avant de dire :
- Désolée, mais comme tu ne peux pas marcher...
Je sortis de mon gilet, le retourneur de temps. je passai autour du coup de Harry en plus du mien. Il essaya de le toucher, mais je lui tapai sur les doigt. Je fis les trois tours recommandés par le directeur. Le sablier tourna sur lui même en nous faisant remonter le temps. Une fois arrêtés, je récupérai la chaîne et le reglissai dans mon gilet.
- Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Où est Ron ? demanda mon frère paniqué.
- Dix-neuf heures, où on était à dix-neuf heures ?
- J'en sais rien. On allait pas chez Hagrid ? proposa mon frère toujours aussi paniqué.
- Suis moi et surtout, on ne doit pas nous voir.
On se mit a courir à travers le château jusqu'à l'endroit où j'ai frappé Drago.
- Hermione ! Hermione ! Attends ! Ça t'ennuierait de m'expliquer ce qu'il se passe ? Mais c'est nous ! souffla t-il lorsqu'on s'arrêta au coin du mur pour pas qu'on nous vous. Ce n'est pas normal !
Je le tirai en arrière, alors qu'il allait s'avancer. Je le collai au mur et sortis le retourneur de temps. Je lui expliquai ce que c'était, pourquoi je l'avais et surtout, grâce à qui.
- Tu veux dire qu'on a remonté le temps ? demanda t-il choqué.
J'approuvai et lui expliquai la signification des paroles de Dumbledore.
- Il a dû se produire quelque chose qu'il veut qu'on change. soufflai-je.
- Joli coup de poing. me dit mon frère alors qu'on regardait la scène toujours cacher derrière le coin.
- Merci. Malfoy vient vers nous. dis-je en poussant mon frère pour qu'on se cache.
Une fois le blond passé, les nous du passé descendaient vers la cabane et on les suivit en se faisant discret.
- Regarde Buck est toujours vivant ! souppira Harry, de la joie plein la voix.
- Evidemment ! Tu te rappelle ce que Dumbledore a dit ? Sinon nous réussions, plus d'un innocent aura la vie sauve.
Arriver près de la cabane, nous nous cachions derrière le pile de citrouille.
- Les voilà ! souffla Harry en voyant Dumbledore, Fudge et le bourreau arrivé. Dépéchons nous !
- Non, il faut que Fudge vous Buck avant de le détacher, sinon, ils vont accuser Hagrid de l'avoir détacher.
Quand Hagrid donna son rat à Ron, Harry voulu encore une fois intervenir. Mais comme la minute, d'avant, je l'en empêchai ne lui expliquant ce qu'il risquait de ce passer si son lui du passé voyait son lui de présent. On se déplaça un peu pour que les adultes qui arrivaient nous voient. Je constatais que malgré le fait que la troupe de personne d'un certain âge arrivait, on ne bougeait de la cabane. Mon regard se posa alors sur un caillou qui ne semblait familier. Je le pris et le lançait à l'intérieur, dans le but d'attirer leur attention. Mais cela ne marcha pas, donc j'en pris un autre et le lançai à son tour. Celui là percuta l'arrière de la tête de mon frère, qui gémît de douleur à coté de moi.
- Aïe ! Ça fait mal !
- Je suis désolée ! m'excusai-je.
Alors que les nous du passé sortaient de la cabane, j'entraînai Harry dans la forêt où on se cacha derrière un arbre. Prise de curiosité, je me penchai pour regarder de qui j'avais l'air de dos.
- Vu de dos, mes cheveux sont vraiment comme ça ? chuchotai-je.
- Hermione ! chuchota mon frère.
Je retournais me cacher derrière le tronc. On attendit que nous partions, j'envoyai mon frère détacher Buck. On entendait dans la cabane que Dumbledore essayer de gagner du temps. Sauf que l'Hippogriffe ne voulait pas bouger. J'eus alors une idée, je cherchais les furet qui étaient pendu pas loin. On l'attira dans la foret. Dumbledore congédia le bourreau et réentra dans la cabane d'Hagrid.
Harry, Buck et moi nous enfoncions plus dans la foret.
- Et maintenant ? demanda mon frère.
- Maintenant on sauve Sirius.
- Comment ?
- Aucune idée ! répondis-je sérieusement.
Je montai une petite but de terre et Harry me suivis. On arriva à l'orée de la forêt. D'ici, on pouvait voir le saule cogneur.
- Et maintenant, il ne reste plus qu'à attendre. souffla mon frère.
On s'assit sans parler. J'étais perdu dans mes pensées, à reflechir à la façon dont j'allais tout annoncer à mon frère quand d'un coup, il me donna un coup de coude dans les côtes en me disant :
- Regarde, on arrive.
Je me levais et Harry m'imita. Il me parla de la conversation où Sirius proposa à Harry de venir habiter avec lui. Je lui souris tendrement. A ce moment là, on voyait la transformation de Remus au loin.
- Allons y ! me dit Harry.
On se mit à courir, pour rejoindre le bord du lac où on savait que Harry et Sirius allait tomber sur les détraqueur. Mais je m'arrêtais en chemin en me rendant compte que le Harry du passé avait jeter quelque chose sur la tête de mon parrain pour le detourner de Sirius. Sans réflechir plus que ça, je fis quelque chose pour sauver mon frère : je hurlais comme un loup. Harry se precipita sur moi pour me faire taire, mais je me dégageai et recommençai.
- Mais qu'est-ce que tu fais ?
- Je te sauve la vie ! répondis-je.
- Merci. dit mon frère en voyant le loup-garou s'éloignant de son lui du passé. Génial, maintenant il nous cherche.
- Oui, je n'y avais pas pensé. soufflai-je. Cours !
Sans attendre plus longtemps, on prit la poudre d'escampette, avec le loup-garou sur nos talons.
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Voilà le nouveau chapitre !! Qu'est ce vous en dites ?
Pour ceux à qui Drago manquent, vous le verrez dans le prochain chapitre 😉