Our battlefield - Tome 1 -

By MlleJustine28

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Elle le sait : la vie est une bataille. Ses décisions sont ses seules armes et elle a choisi de ne plus céder... More

Our battlefield
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Tome 2

Chapitre 28

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By MlleJustine28

Dans le salon, Lexie est allongée sur le sol. Ses yeux papillonnent et tous l'observent, inquiets. Autour d'elle, des morceaux d'une citrouille, qui avait été vidée pour lui faire des yeux et un sourire diabolique, sont éparpillés. Elle est dans le même état que celle qui sert de carrosse à Cendrillon lorsque minuit vient. Sauf que ce soir, je ne pense pas que Marraine la bonne fée soit dans le coin pour remettre Lexie debout.

- Qu'est-ce qu'il s'est passé ? demandé-je, prenant les devants.

Tout le monde tourne la tête dans ma direction, mais personne ne daigne répondre. Ils sont tous sous le choc. Je n'ose pas imaginer la chute qu'elle a dû faire et ça n'a rien de rassurant. Ce serait plus intelligent de me donner une réponse plutôt que de me fixer avec cet air idiot sur le visage.

- Oh ! Répondez !
- Joe a fait tomber la citrouille et Lexie a glissé dessus, débite l'une des jumelles
- Faut qu'on aille à l'hôpital ! intervient James.
- Mais non, elle est juste tombée, ça va, glousse Joe, complètement bourré.

Je le fusille du regard mais il continue de se marrer comme un con. Je lui avais dit que son jeu était débile, pourquoi ne m'a-t-il pas écouté ?
Harmonie s'accroupit près de Lexie et nous la regardons discuter avec sa colocataire. Elle n'a pas l'air blessée et elle répond assez aisément aux questions posées.

- Je vais bien, vraiment. T'aurais dû voir comment j'ai glissé ! rigole-t-elle.
- On l'emmène. Qui peut conduire ?
- James et moi. Les autres ont bu et toi, tu n'as pas le permis.
- Pourquoi on doit l'emmener ? Elle a l'air d'aller bien, non ? s'inquiètent les jumelles.
- Elle s'est cognée la tête. Elle pourrait avoir un trauma crânien ou bien pire. Il faut s'assurer que tout va réellement bien.

J'aide Lexie à se relever doucement. Elle s'agrippe à mon bras et rit en tapant dans la main de Joe. Ils ratent leur check et Joe vacille, hilare. C'est la première et dernière fois que ces deux-là font une soirée ensemble. Je m'engage personnellement à ce que ça ne se reproduise plus.

- Je te laisse conduire Lexie à l'hôpital, je m'occupe des autres, déclare James.

Je lui adresse un signe de la tête. Un « merci » silencieux qu'il comprend. Jamais je n'aurais pu ramener Ashley chez elle sans nous envoyer valser dans un fossé en cours de route et il le sait.

Je remonte récupérer mes affaires et quelques minutes plus tard, nous sommes tous en voiture. Le trajet se fait au rythme des bavardages et des gloussements incessants de Lexie. De temps à autre, je lance un coup d'œil dans le rétroviseur et chaque fois, je croise le regard d'Harmonie. Ma jolie blonde sourit, amusée par les idioties de sa colocataire mais je vois bien qu'elle est inquiète pour son amie. Elle a raison, sa chute pourrait être bien plus grave qu'elle ne le laisse penser. J'espère qu'elle va bien.

En arrivant sur le parking de l'hôpital, mon téléphone sonne. Je le sors, m'attendant à découvrir un texto de James mais c'est un tout autre prénom qui s'affiche sur mon écran. Tom. Le message est court et concis. Je crois que j'ai suffisamment repoussé ce moment. Si j'ignore sa demande une énième fois, ça finira par se retourner contre moi. Il est temps que je reprenne du service et les quelques mots que m'a adressés Tom me le font clairement comprendre.

- Chase ?

Je relève la tête et croise deux prunelles bleues. Harmonie me fixe, les sourcils froncés. Je ne dois pas attirer l'attention, mais il faut impérativement que je me tire d'ici. Tom a vraiment un don pour m'appeler au mauvais moment. Son timing est aussi pourri que lui, comme d'habitude !

- Il y a un problème ?
- Ouais. Il faut que je parte.

Je joue la carte de la sincérité, espérant que ma rétention d'informations ne lui paraisse pas trop étrange. Cette fille est très perspicace. Je dois rester méfiant et ne pas la laisser s'immiscer plus qu'elle ne le fait déjà. Je sais qu'elle essaye simplement de m'aider mais si elle connaissait la vérité, elle ne me tendrait pas la main comme elle le fait régulièrement.

- Ok. Tu en as pour longtemps ?
- J'en sais rien. Appelle-moi quand vous sortez. Je viendrai vous chercher. Si je ne décroche pas, appelle James, ok ?

Elle hoche la tête et s'éloigne en direction des urgences, Lexie appuyée contre elle. Je m'attendais à ce qu'elle me pose des questions, mais elle n'en fait rien. Et je m'en veux de me barrer si lâchement, mais il le faut. Tom n'attendra pas plus longtemps. Mon sursis est bientôt écoulé et si je n'arrive pas avant que le dernier grain de sable du sablier ne soit tombé, je vais m'en mordre les doigts. Espérons que je sois de retour avant que les filles ne m'appellent. Je risque d'éveiller les soupçons si James est contraint de venir les récupérer à ma place.

J'attends qu'elles aient bien passé les portes des urgences avant de remonter au volant de ma voiture. Aucun doute sur ce qui m'attend. Tom va me passer un sacré savon, je le sais, mais je l'ai cherché. Je suis sous contrat, je n'aurais jamais dû l'ignorer si longtemps. Je n'aurais même pas dû le faire une seule fois. Je déteste cette emprise qu'il a sur moi. Un jour, je me vengerai. Un jour, c'est lui qui sera à mes pieds et je lui ferai regretter tout ce qu'il a fait. Je lui ferai regretter d'avoir fait de ma vie un enfer.

Je roule durant de longues minutes, dans le silence le plus complet. Je fais le vide dans ma tête, essayant vainement de chasser toutes les pensées qui envahissent mon esprit. D'un côté, je suis toujours en colère. Je n'ai aucune idée de la raison pour laquelle Ashley s'est rapprochée de Joe mais je sais qu'elle n'est pas positive. Et de l'autre, je suis vraiment agacé de ne pas avoir été jusqu'au bout avec Harmonie. J'ai du mal à la faire sortir de ma tête. Je sens encore ses mains se balader sur moi, sa bouche sur la mienne, son doux parfum et putain, je suis dégoûté qu'on ait été interrompus et pire encore, je suis frustré d'avoir dû partir. J'attends ce moment depuis une éternité et, alors qu'elle lâchait enfin prise, un nouveau drame est survenu. Je ne suis pas idiot. J'ai vu son visage se décomposer lorsque son téléphone a résonné dans la pièce. Je crains qu'elle se soit de nouveau braquée et que nous soyons contraints de repartir de zéro. Je ne supporterai pas de devoir attendre un mois de plus. La prochaine fois qu'elle et moi nous retrouverons seuls, je n'ai pas l'intention de jouer aux cartes. J'ai envie d'elle à tel point que ça en devient douloureux.

Je fais un détour par chez-moi pour récupérer mes armes. Ces derniers temps, j'ai la mauvaise habitude de les cacher à la maison mais depuis quelques semaines, il m'arrive souvent d'avoir de la compagnie dans ma voiture, ce qui n'était pas le cas avant. Je ne peux pas prendre le risque que quelqu'un ouvre ma boîte à gants ou mon coffre et tombe sur mes revolvers. Normalement, personne ne vient fouiller dans mon placard, je ne devrais pas avoir de problème, mais je vais devoir trouver une nouvelle cachette très rapidement.

Je glisse mon arme dans ma ceinture en quittant la voiture et ne perds pas une seule seconde pour pénétrer dans le building dans lequel mon boss m'attend. L'ascension jusqu'à l'étage me semble durer des heures et c'est en partie parce que les deux chiens de garde de Tom me fixent avec méfiance. Eh ouais les gars, je suis de retour ! Le « ding » caractéristique de l'ascenseur annonce mon arrivée et j'entre dans le bureau avant d'y avoir été invité. Tom n'a pas besoin de relever la tête de son ordinateur pour savoir que c'est moi. Je suis le seul à entrer sans sa permission.

- Un revenant... Ravi que tu sois de retour, Chase.
- Je savais que je te manquerais ! raillé-je.

Ma plaisanterie ne l'amuse pas. Rien d'étonnant. J'ai déserté pendant plus d'un mois, il n'a pas dû apprécier ce petit acte de rébellion. Il relève la tête de son écran tandis que je me laisse tomber dans le fauteuil en face de lui. Je sens que la discussion va être longue, autant se mettre à l'aise.

- J'espère que t'as une bonne raison pour avoir disparu tout ce temps.
- J'avais pas envie de venir. Et je suppose que tu n'appelles pas ça une « bonne raison » alors... j'en ai pas.
- T'es sûr de toi ?

Je tire sur un fil de mon pantalon à rayures, ignorant l'interrogation de Tom. J'aurais probablement dû penser à me changer avant de venir. Je ne risque pas de passer inaperçu avec une telle tenue.

- Je vois... Tu veux faire le malin ? Je crois que tu as oublié certains termes de notre contrat, Chase Scott.
- Ravi de constater que tu n'as pas oublié mon nom depuis la dernière fois, Tom Colman.

Je relève la tête et croise deux canons. Si ses yeux pouvaient tirer des balles, je m'en serais déjà pris au moins deux ou trois, minimum !

- Ta dernière mission t'a rendu faible et ça, ce n'est bon ni pour toi, ni pour mes affaires.
- Rectification : la nana que tu m'as mis entre les pattes m'a ralenti.
- Donc tu as jugé intelligent de l'abandonner sur un parking alors qu'elle était blessée ?
- C'était un poids. Elle a eu ce qu'elle méritait.
- Je t'avais prévenu Chase. Cette mission devait se dérouler sans encombre.
- C'est ce qu'il s'est passé. Ta cible est morte et la police n'est pas remontée jusqu'à nous. Tu me payes pour tuer des gens sans faire de vagues et c'est précisément ce que j'ai fait.
- Deux cadavres au lieu d'un et une blessée que j'ai dû aller chercher, t'appelles ça une réussite ?
- Tu ne me feras pas croire que t'es allé la chercher toi-même, ricané-je. Tu ne te déplacerais même pas pour sauver un de tes proches.
- Ce n'est pas la question. Tu devais travailler en équipe et t'as merdé.
- Alors quoi ? Tu vas me virer ?

Je me relève et me penche par-dessus son bureau, le surplombant de toute ma hauteur. La frustration et l'agacement ne font pas bon ménage. S'il continue de me réprimander comme un gamin de cinq ans qui a volé un bonbon, je vais faire exploser sa cervelle et ce sera pas beau à voir.

- Vas-y, vire-moi !
- C'est elle que j'ai virée. Et toi, si je dois brûler notre contrat, c'est parce que tu seras mort, pas avant.

Point positif : Ashley ne m'a pas menti, elle a bien été virée. Mais ça ne me dit toujours pas pourquoi elle traîne autour de mes potes. Je ne pourrais pas me contenter de ses explications, je n'en crois pas un mot. Mais un seul problème à la fois.

- Si tu n'as aucune intention de me foutre dehors, garde tes reproches pour toi. J'ai été clair dès le début, je veux bosser seul et à ma façon. Je n'ai pas signé pour superviser qui que ce soit. Et des fois que tu ne l'aurais pas compris...

Je sors mon revolver de ma ceinture et le pointe vers le plafond. Dans mon dos, les gars de Tom s'agitent. Ils sont sur leurs gardes mais ils n'ont aucune raison de l'être. Je ne suis pas assez stupide pour abattre qui que ce soit ici. Je fais tourner le barillet de mon arme à pleine vitesse et plante mon regard dans celui de l'homme que je rêve de voir se vider de son sang.

- Je ne joue pas à la roulette russe avec une nana incapable de différencier un pistolet d'un revolver.

Le bruit du barillet s'atténue et le cylindre cesse de tourner. Joueur, je tends mon arme vers mon supérieur qui se lève de sa chaise. Jamais je ne le ferais si mon arme était chargée mais ça, ils n'ont pas besoin de le savoir. Tom tend une main vers ses gardes du corps personnels, leur intimant de rester à leur place, et ils obéissent aussitôt. Bons chiens...

- La prochaine fois que tu disparais comme ça, mes gars viendront te chercher chez toi et tant pis pour toi si tes potes apprennent la vérité. S'il faut les éliminer pour que tu répondes à mes appels, je le ferai.

Je ne vais pas tirer et il le sait alors il prend un malin plaisir à me rappeler qu'il pourrait faire du mal à mes proches. Il a le pouvoir et il aime le répéter. Mais la tendance finira par se renverser.

- Tu vas finir comme ton père, lâche-t-il soudainement.
- Tu ne sais pas de quoi tu parles, répliqué-je avec mépris.
- Ton petit jeu ne te mènera pas très loin. Tâche de rester en vie jusqu'à ce que tes dettes soient payées sinon, ta sœur prendra la relève dès qu'elle sera majeure.

Je tressaille et instinctivement, chacun de mes muscles se crispe. Je range mon arme dans ma ceinture et le fusille du regard. Je suis prêt à tout pour le faire tomber mais sa menace me rappelle que je n'ai pas toutes les cartes en main pour le faire. Je dois me débarrasser de ce maudit contrat avant de m'occuper de son cas. Si je foire, ma sœur paiera les pots cassés et je refuse qu'elle vive dans la peur constante. Elle ne le mérite pas.

- Tu vois, tu fais les bons choix quand tu veux.

Il me nargue et je le hais. J'ai détesté ce mec à la seconde où nos regards se sont croisés. C'était déjà fort à l'époque mais plus les mois passent, plus je le méprise. C'est une ordure, un manipulateur qui a le contrôle sur beaucoup de monde. Personne n'a jamais eu le courage de se rebeller contre lui, de lui tenir tête. Un an et demi que je rêve de me venger, de lui faire mal comme il a fait mal aux autres. Je veux qu'il souffre pour toutes les horreurs qu'il a faites. Je veux qu'il regrette. Je veux qu'il crie de douleur. Je veux qu'il me supplie de l'épargner. Et là, dans son bureau, en ce soir d'Halloween, je jure qu'il ne vivra pas aussi longtemps qu'il le pense. Je me fais la promesse de l'anéantir, quitte à me brûler les ailes au passage. Un jour, un incendie ravagera sa vie et ce jour-là, je serai aux premières loges pour admirer les flammes qui réduiront en cendres tout ce qu'il a entrepris.

- Puisque tu aimes tant travailler seul, j'ai la mission parfaite pour toi.

Il se rassoit et fouille dans sa pile de dossiers. Je peine à calmer la colère qui est en train de me bouffer de l'intérieur. Elle ne doit pas exploser. Pas si vite. Je fais un pas en arrière et desserre mes poings.

- J'ai un gars qui s'est raté hier. Il a été repéré dans la rue par un jeune qui a sûrement vu son visage. On doit s'en débarrasser rapidement.

Il trouve enfin ce qu'il cherche et balance sur le bureau quelques feuilles agrafées, juste devant moi. Je m'en empare et me focalise sur les informations que j'enregistre rapidement. Plus vite je pourrais me barrer d'ici, mieux je me porterais.

- Fais-toi discret, Chase. C'est Halloween et les soirées étudiantes sont blindées de monde.

Je ne comprends pas tout de suite où il veut en venir. Il me faut un long moment avant de saisir ce que je vais devoir faire. Ma cible n'a que vingt-deux ans et ce soir, elle ne m'attendra pas patiemment chez elle. Je n'aurai pas à infiltrer un appartement discrètement, à surprendre ma victime devant la télévision, sous la douche ou au fond de son lit. Non, ce ne sera pas aussi simple cette fois. Parce que ce soir, personne ne traîne chez soi en pyjama. Je vais devoir descendre un mec au beau milieu d'une soirée noire de monde. Il va falloir que je l'isole et que je trouve un coin suffisamment éloigné des autres étudiants pour être tranquille. Et surtout, je vais devoir être rapide et efficace.

- Si tu te fais repérer, tu seras le prochain dossier en haut de la pile, Chase. Tu n'auras pas d'autres chances. Si tu foires cette mission, personne ne retrouvera ton corps. Je peux compter sur toi ?

Dans le plus grand des silences, je me relève et lui rends son dossier. Jouer à la roulette russe ce soir s'annonce compliqué mais je n'ai pas d'autres options. Je refuse que le schéma de la dernière mission se répète. Je ne tuerai plus aucun innocent de mes propres mains, je ne m'en remettrai pas.

- Je vais voir ce que je peux faire, me contenté-je de répondre.

Ce n'est pas la réponse qu'il attendait et je prends un malin plaisir à voir le doute s'immiscer dans son regard. Je sais qu'il pourrait me descendre au moindre problème, mais j'ai aussi parfaitement conscience que ça le ferait chier. Je suis bon dans ce que je fais. Je n'ai jamais causé la moindre vague. Personne ne m'a jamais vu et mieux encore, chacun de mes meurtres passe pour un suicide. Pas de corps à cacher, pas de scènes de crime à nettoyer, pas de complications. Je fais le boulot seul et personne n'a besoin de passer derrière moi. La police n'enquête même pas, il n'y a aucun risque. Je suis un atout et si je me rate ce soir, il y réfléchira à deux fois avant d'envoyer ses bouledogues chez moi. Mais je ne m'en fais pas. Aucune raison pour que je me plante. Les soirées étudiantes, ça me connaît plutôt bien.

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Bonsoir ! 👋🏻
J'espère que vous allez bien.

Tom est de retour et je suis sûre que vous êtes ravi•e•s de le retrouver !
La soirée Halloween du petit groupe a été écourtée mais pas pour Chase. Réussira-t-il sa mission ? Et finira-t-il à temps pour retourner à l'hôpital, ou va-t-il éveiller les soupçons ? 🤔

Réponse dans le prochain chapitre ! 😘
Bonne semaine ! ❤

Instagram : mllejustine28_

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salam aleyckoum wa rahmatullah wa barakatuh , je me suis enfin décidé à écrire mon histoire réel avec quelque fait fictif 🫶🏽