Leurs parents sont rivaux depuis bien avant leur naissance. Suivant les pas de leurs géniteurs, ils se haïssent eux aussi. Mais est-ce qu'ils veulent vraiment ?
« - Je sais que tu es amoureuse de moi depuis notre première année.
- C'est faux. C'es...
| Nda | Encore une fois, je vous remercie pour tous vos retours, cela me fait extrêmement plaisir!
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| omniscient |
La blonde avait décidé de s'isoler, ne supportant plus le dédain dont lui faisait preuve son copain. Ou peut-être était-il à présent son ex-copain? Elle n'en savait rien. Ok, il avait quelques soucis de famille. Mais ce n'était pas une excuse pour la traiter comme si elle n'était rien pour lui. La jeune fille regarda par le fenêtre, mélancolique. Drago avait commencé à la laisser de côté lorsque Devon avait mis les voiles et c'est aussi à ce moment-là qu'il a redoublé d'efforts pour coincer Potter et sa bande. Quoique non, c'était bien après. Il se préoccupait encore d'elle à ce moment-là. Cela avait commencé lorsqu'il a appris que son père, et aussi son exemple, était enfermé à Azkaban. Elle soupira. Au moins Rhys, cette traîtresse à son sang, ne sera plus de la partie cette année.
Wendy sursauta en sentant quelqu'un s'asseoir avec enthousiasme à ses côtés.
— Surprise, pétasse. la salua la brune, affichant un grand sourire. — Qu-quoi? Mais tu- — Je parie que celle-là, tu t'y attendais pas.
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— Calmez-vous, ce sont sans doute les premières années qui font les idiots. intervint Pansy. Allez Drago, assis-toi. On sera bientôt à Poudlard.
Le blond finit par abdiquer et s'assit en face de la brune.
— Poudlard, comment ils osent appeler ça une école. se moqua le Serpentard. Je me jetterais du haut de la tour d'astronomie si je pensais devoir y rester encore deux. — Qu'est-ce que tu entends par là? demanda la jeune fille. — Disons que l'on ne me verra pas perdre mon temps en cours de Sortilèges l'an prochain.
Ce commentaire fit ricaner Blaise, ce qui ne plut pas au jeune Malefoy.
— Ça te fait rire Blaise? Rira bien qui rira le dernier. rétorqua-t-il d'un air sombre. — Quelle ambiance dans la cabine des Mangemorts. commenta un grand brun en passant devant eux. — Ce n'était pas Owen, ça? demanda Parkinson, surprise. — Il semblerait que si. — Il s'était fait virer en même temps que Devon, n'est-ce pas? — Effectivement. Cela veut dire- commença Blaise. — Rhys est de retour, quelque part dans le train. finit Drago.
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Harrison ouvrit la bouche mais fut bien vite coupée par la brune, qui était décidée à ne pas la laisser en placer une.
— Non, non. Tu me laisses parler d'abord. Tu sais, étant de signe scorpion, je suis assez rancunière. Et autant te dire que je n'ai vraiment pas apprécié ta petite fourberie d'il y a quelques mois. Dis-moi, tu es de quel signe? — Ver-verseau. lui répondit-elle en bégayant. — Ah bon? C'est peut-être pour cela que ça ne passe pas entre nous. Ou parce que tu es une pétasse complexée, comment pourrais-je le savoir? Alors, comment souhaites-tu régler notre petit problème? — Comment je souhaite le régler? — Tu vas t'amuser à répéter bêtement ce que je te dis ou tu vas me répondre? Attends, je vais essayer de faire un effort et de parler dans ton langage : Comment veux-tu que je te règle ton cas? lui demanda la jeune Rhys en croisant les bras sur sa poitrine, sans se séparer de son sourire. À la moldue ou à coups de baguettes? Ou tu as une autre proposition peut-être?
| Devon |
Non, je n'allais pas me salir les mains pour elle, voyons. Juste le fait de la voir trembler comme une feuille était une douce vengeance. Je n'avais pas envie de perdre de temps avec elle.
— Je te laisse le temps d'y réfléchir. dis-je avant de quitter sa cabine.
L'avoir trouvée là, seule, avait été une aubaine. J'avais directement mis les points sur les i quant à mes fausses intentions envers elle. Mais je ne considérais pas cela comme un problème de réglé. Hérisson restait une Serpentard.
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Quelques heures plus tard, nous étions arrivés à Poudlard. Ah, Poudlard. J'espère que tu ne vas pas me décevoir cette année. Après un examen rigoureux de mes bagages de la part de Rusard, je crains d'ailleurs qu'avec celui-là, Clark ne puisse garder ses cigarettes, je pus enfin monter dans l'une des diligences et rejoindre le château.
Arrivée dans la Grande Salle, je faillis sauter de joie. Croyez-moi, j'ai beau me plaindre de Poudlard mais à côté de Jolis Bouts de Bois, c'est dix fois mieux. Mon regard capta soudainement une chevelure blonde, très blonde même presque blanche. À ses côtés, je pouvais apercevoir Blaise et Pansy. Je fis un pas dans leur direction mais m'abstins en voyant Clark s'affaler sur l'un des bancs. Je me dirigeai vers lui avant de m'asseoir à ses côtés, toute sourire.
— On est de retour! m'exclamai-je. — Connards. dit-il pour terminer ma phrase. — Ça, je ne pense pas que c'était nécessaire.
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Après avoir déballé mes affaires et eu mes retrouvailles avec Pansy, je décidai de sortir du dortoir prendre l'air.
Je marchais tranquillement dans les couloirs depuis dix bonnes minutes, ne ressentant plus la pression que je pouvais ressentir au paravant, lorsqu'Ombrage était là. Mais visiblement, j'avais oublié que Rusard, quant à lui, sévissait toujours en compagnie de son chat. C'est lorsque j'entendis les pas précipités du vieil homme, que je me rappelai de son existence. J'eus à peine le temps de faire un pas, quelqu'un m'attrapa par le poignet avant de m'écraser entre le mur et lui. Mon regard croisa ses yeux gris.
