Les événements ne se passent pas toujours comme l'on veut. On peut aider le destin a faire son travail, mais l'imprévisible est toujours prévisible. Karma et Nagisa en ont fait les frais.
Quels sont leur choix ? Karma qui est le fils de l'un des pl...
Au bout d'un long moment, Karma arrêta le moteur de la moto. Il avait quitté la ville de Tokyo pour aller jusqu'à une petite maison, un studio neuf.
Le rouge passa sa jambe pour sortir de sa moto, prit le plus jeune dans ses bras. Ce qui fit réagir Nagisa. Il regarda la demeure en face de lui, assez moderne. Son cerveau n'arrivait pas à réfléchir correctement : pourquoi et comment il avait eu une demeure pareil.
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Karma caressa le dos de Nagisa puis pose une de ses mains froides sur le front brûlant de Nagisa, ce qui le fit grimacer.
- Je... vais bien, lâcha le plus jeune. - Nagisa, tu as de la fièvre. Tch..
Karma passe dans l'allée de son studio. Nagisa avait détaillé ce qu'il pu. L'allée de dalles parfaitement découpait et symétriquement placée sur le sol. Il compta aussi les marches que Karma montait pour rejoindre une terrasse surélevée. Karma installa celui ci sur la chaise de l'extérieur, il alla à la porte puis il chercha ses clés.
- putain ! Elles sont où ?! ... Ah !
Karma les avait trouvé, il ouvrit cette porte rapidement, poussant celle ci. Le rouge alla récupérer Nagisa, le portant de nouveau en princesse puis couru vers sa chambre, le posant sur le lit, retirant ses chaussures, sa veste, détacha ses cheveux et le force a se coucher.
Nagisa murmura des mots incompréhensible pour le rouge, comme pour pester son mécontentement : être coucher ainsi et avec force, il n'aimait pas ça et Karma le savait. Mais à la réaction de Nagisa, le rouge avait bien fait. Le bleuté s'était endormi lourdement dans le lit du sadique. Karma s'occupa de lui et appela Karasuma sensei pour qu'il prévienne la mère de Nagisa.
Nagisa se plaignit en commençant a avoir trop froid, il voulait rester au chaud dans ses draps si doux mais la faible lumière qui éclairait la pièce l'ennuyé dans son idée de repos. Il voulait encore dormir, ne jamais se réveiller. Ses pensées ne sont pas vraiment celles d'une personne joyeuse, n'est ce pas ?
Il lâcha un soupir, se forçant à ouvrir ses yeux. Nagisa remarqua quelques choses de mouillé sur son front. Il se redressa, retirant cette chose froide : un gant mouillé. Le visage de Nagisa se crispa légèrement, il regarda autour de lui : les murs peints d'une couleur bleu grisé et avec des meubles neutres et impersonnels, seul une guitare et des chaussures d'un homme assez grand y étaient présentes.
