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Je verse des larmes.

- Tu peux pas dire ça.

- Arrête de pleurer, j'aime pas te voir comme ça.

- Mais c'est à cause de toi, je lui dit.

- Tu t'es faite des idées sur des choses qui ce sont jamais passés Amira si r... Je le coupe.

- Donc c'est de ma faute, c'est ça ?

- Si tu serait restée comme je te l'avais demandé, ont aurait eu une discussion.

- ... je savais plus quoi dire, dans ma tête j'avais plusieurs reproches à lui faire mais devant lui, rien, c'est comme si ses mots me faisait oublier la raison. Il reprend la parole :

- Tu t'es comportée comme une gamine, encore une fois, son regard dégageait une froideur en mon égard.

- Y'a rien de gamin je lance brusquement, viens pas me faire croire que t'aurais été serein si ont aurait échangé les rôles.

- Là vérité, j'aurais pas fait comme toi.

- S'cusez-nous monsieur le parfait.
Il hausse simplement ses épaules et je le s'en s'adoucir.

- T'as commencée ton taff ? Il me demande.

- ... t'avais qu'à prendre de mes nouvelles si tu voulais savoir.

- Je t'es fait venir pour quoi d'après toi ?

- Après 2 mois, et ton motif c'est que j'ai oubliés des trucs ? Pas très crédible.

- T'as mauvaise mine, t'es malade ? Il prend mon menton inquiet et me fait une rotation complète du corps.

- Pourquoi tu changes de sujet je roule des yeux.

- J'rigole pas, qu'est-ce que t'as ? Ses doigts s'enfonçait sur mes joues et il était perplexe.

- Bébé tu m'fait mal ... je glisse doucement en essayant de retirer sa main, je réalise après comment je l'es appelé mais il avait même pas l'air d'avoir entendue, du moins il l'as entendue mais le fait que j'ressemblait à un cadavre l'interpellait plus.

- C'est à cause de moi ?
C'est yeux se posent sur moi et d'une traite il enlève le chignon que j'avais sur la tête. Il m'examine prudemment et il fronce les sourcils.

Amira - La bague au doigt suffiraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant