seize (partie deux)

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Je sors de ma voiture ; la brise fraîche de novembre provoque de la chair de poule sur mon bras. Je passe instinctivement les bras sur ma poitrine alors que je me dirige vers l'entrée du bâtiment.

J'étais complètement extatique à l'idée de revoir mon chien, et Cameron aussi. Un homme ouvrit la porte d'entrée ; Je lui montre ma gratitude avec un sourire alors que j'entre dans le bâtiment. Je m'approche de l'ascenseur, mais je me ravise.

J'étais seule, donc je peux prendre la décision d'utiliser les escaliers sans recevoir aucune sorte de jugement. Après avoir gravi les escaliers, j'atteins finalement l'étage où se trouve l'appartement de Cameron.

Je me demandais si je devais frapper à sa porte ou simplement entrer. Il m'avait dit au téléphone que sa porte serait déverrouillée, mais je ne savais toujours pas si c'était une invitation pour me laisser entrer. Mon léger conflit fut résolu lorsqu'une femme ouvrit la porte.

Elle me lança un regard perplexe avant de regarder par-dessus son épaule quelque chose derrière elle. "Cam, je pense que tu as une invitée." Appelât-elle, avant de reposer son regard vers moi. Cette petite rencontre me décontenança totalement.

J'étais intimidé par ses jolies traits du visage et encore plus intimidé par le regard qu'elle me lancer. Elle regarda mon corps comme si elle était un animal examinant sa proie. "Excuse-moi." murmura-t-elle avant de passer devant moi.

J'étais extrêmement curieuse de savoir qui elle était et quel genre de relation elle entretenait avec Cameron. Il était évidemment probable qu'ils ne soit que des amis, mais j'étais plutôt affolée par la probabilité qu'ils pourraient être plus que cela.

J'attend quelques minutes pour que Cameron vienne m'accueillir, mais il ne l'a pas fait. Je suis allé de l'avant et suis entré dans son appartement, mais je me suis un peu inquiété en faisant ça. Alors que je m'approchai de son salon, je commençai à entendre de légers bruits et des conversations imperceptibles.

J'ai vite reconnu les voix de Cameron et Derrick. J'espérais qu'ils plaisantaient, parce que je ne voulais pas interrompre un de leur marché. Quand je les ai aperçu, je fus soulager de voir les deux assis l'un en face de l'autre avec un échiquier entre eux. Je me suis attardé vers le mur pendant que j'essayais de trouver une solution pour leur montrer que j'étais là.

"Myla, viens ici." exigea Cameron. J'étais étonné qu'il ait pu détecter ma présence en sachant qu'il n'avait pas encore lâcher des yeux le plateau de jeu. Je me dirigeai vers eux et regardai autour de la pièce pour voir si je pouvais localiser le chien.

Quand je fus incapable de le faire, j'ai détourné mon attention vers les deux jeux d'échecs. Cameron était visiblement déterminé à gagner ; on pouvait remarquer ça juste par son expression faciale. Il manquait l'expression amusée à laquelle j'étais habitué, il avait l'air plutôt solennel.

Derrick d'autre part regardait comme s'il avait déjà accepté la défaite. Il semblait mal à l'aise à propos de chaque mouvement qu'il faisait comme s'il savait que Cameron contrerait avec un meilleur coup. Derrick m'avait informé quelques semaines auparavant que Cameron était constamment gagnant quand il s'agissait d'échecs, alors j'étais plutôt surprise de voir qu'il jouait encore contre lui.

J'entendis une aboiement aiguë venir du couloir dans l'appartement de Cameron et su automatiquement que c'était mon chien. "Tu peux  aller la chercher." me dit Cameron, ses yeux étudient toujours intensément l'échiquier. Je me dirigeai vers l'endroit où j'avais entendu le bruit perçant et m'arrêtai devant la chambre de Cameron.

J'attendis jusqu'à ce que j'entende un autre aboiement pour confirmer qu'elle était bien là, avant de me diriger dans sa chambre. Elle se prélassait sur le bord de son lit, provoquant un sourire sur mon visage. Elle avait l'air si minuscule par rapport à son immense lit, et c'était plutôt adorable.

soda pop ; cameron dallas [traduction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant