CHAPITRE 2 WELCOME CALIFORNIE*

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NDA : Les chapitres comportant le signe (*) ont été réécrits et corrigé, sûr se bonne lecture =D 


Aéroport de Californie-Tard dans la nuit  PDV ALLY   

 Après de longues heures interminables passées dans un avion bondé, j'ai enfin atterri en Californie. Si je n'étais pas aussi crevé, je danserais de joie ! Je récupère ma valise sur le tapis à bagage, puis je me dirige vers la sortie pour attendre ma tante. Je sors une cigarette de mon sac à main, oui je sais c'est une mauvaise habitude mais après être resté coincé dans un siège entre un couple qui n'arrêter pas de se disputer je pense que j'ai bien le droit de décompresser un peu. La nuit est déjà bien entamée et j'avoue que je ne suis pas très rassuré même s'il y'a des gens un peu partout. Trouillarde que je suis. 

Mes yeux commence à se fermer tout seul quand une voiture klaxonne, elle se gare juste devant moi et la vitre se baisse laissant apparaître un jeune homme. Vu la tête de crétin qu'il l'a (humour) cela ne peut qu'être mon cousin Jonas. Il sort du véhicule qui soit dit en passant devait dater des années 70. C'est une vieille coccinelle comme celle du film, elle est d'un rouge pétard. 

 Jonas : Hey mais ça ne serait pas ma cousine préférée ?!! s'exclame-t'il les mains en l'air. Les quelques personnes présente dévient leurs regard curieux vers nous. La honte. 

 Ally : Jonas ?! 

Jonas : Oui c'est bien moi , le seul l'unique le magnifique, le...je le coupe dans sa bêtise verbale. 

Ally : Oui ça va j'ai compris Jonas Vous l'auriez compris mon cousin est assez...comment dire Taré, fou, complètement bizarre. Bref passons, de toute façon vous le découvrirez assez tôt. Cela fait longtemps que je ne l'ai pas vu et il n'a pas changé. Ses cheveux sont toujours aussi noirs tout comme ses yeux. Côté carrure il est resté également le même. On ne peut pas dire qu'il soit musclé et baraqué mais plutôt grand et fin sans trop l'être. Mon cousin coupe court à mon fixage intensif. 

Jonas : Arrête de me mater, je sais que je suis un pur beau gosse mais quand même. Dit-il la mine faussement sérieuse. Je lève les yeux au ciel et il reprend. À part ça, as-tu fait bon voyages ?

Ally : Euh, oui oui si on oublie le meurtre que j'ai bien failli commettre dans l'avion grogné-je. 

Jonas : Ahaha pourquoi ça ? Un homme a voulu te mettre la main aux fesses ?

Ally : Pfff non si c'était le cas, je ne serais pas là à ce moment même mais en prison car j'aurais crevé les yeux de celui qui s'aventurerait à faire ça !! Nerveuse, j'avoue

Jonas : Oh toi est ton sale caractère ! Toujours la même tu n'a pas changé ! rigole-t'il. En même temps il n'a pas tord. Je souris avant de reprendre la parole.

Ally : Mais sinon euh où est ta mère ? La mienne m'a dit que c'est t'elle qui venait me cherché ici. 

Jonas : Changement de programme, elle m'a demandé de venir te chercher car elle savait à quel point je te manqué et surtout à quel point tu me trouves extraordinaire. Je ne peux retenir un rire. Il faut toujours qu'il en fasse des tonne. Non plus sérieusement, elle a été appelée en urgence à l'hôpital, il avait besoin d'elle donc me voilà à la rescousse. Ma tante travaille comme infirmière à l'hôpital du coin, elle est souvent appelée de nuit. Bon allez passe moi ta valise on ne va pas rester la toute la nuit. Oui pas bête effectivement.

Ally : Oui pardon. Il embarque mon bagage pour le mettre dans le coffre et je monte dans la voiture côté passager. Jonas démarre son vieux taco qui lui sert de voiture et nous quittons enfin l'aéroport. Sur la route, je lui lance des piques sur sa belle Ferrari ce qui n'apprécie pas trop. J'aime bien le charrier. 

Jonas : Ne te ne moques pas veux-tu ? C'est une voiture de collection répond-t'il d'un ton plus que sérieux. 

Ally : En effet je vois ça. Je me moque

Jonas : Figure toi que c'était la première voiture de ma mère et que j'en ai hérité. Quelques réparations par-ci par-là et le tour est joué. Il se penche vers moi comme si il allez m'avouer un secret. Je t'avoue que le choix de la couleur à était plutôt difficile mais je pense que j'ai bien fait de la peindre aussi flash. Je trouve que cela me correspond assez bien. Mon cousin se redresse en mettant un doigt contre sa bouche. Mais chut je ne t'ai rien dit. Je lève les yeux au ciel mais je ne peux m'empêcher de rigoler.

Ally : Qu'est-ce-que tu peux être con des fois toi. Il prend une mine faussement vexée avant de me faire un énorme sourire.

Ce mec est timbré.

**

Nous arrivons enfin chez ma tante, le quartier a l'air plutôt tranquille et la maison assez chaleureuse. Jonas n'a pas arrêté de me raconter des blagues salaces pendant tous le trajet. Celui la je peux vous dire que c'est un sacré phénomène. Il ouvre la porte d'entrée et une grosse boule de poil noire à quatre pattes se jette sur lui. C'est un magnifique chien style labrador. Mon cousin l'accueille bras ouvert. Il ne l'avait pas à l'époque. 

Jonas : ça va mon kiki ! Ça va ?! Hé oui mon kiki ! La bête de poils se jette sur lui tout excité. C'est deux-là son pareil. Il se tourne vers-moi. Je te présente Keïta, mon chien. Mais appel-le kiki, il préfère. Je ne relève pas sa remarque et me baisse légèrement afin de caresser le touffu. Le chien pas mon cousin. 

Ally : Coucou toi. Je tends ma main et il me fais un lichette.

Jonas : Il t'aime bien il ne fait pas ça à tout le monde. Ce n'est pas un chien facile, d'habitude il ne lèche pas dès le premier soir. Je pouffe, ce mec est taré. 

Jonas : Bon c'est avec ces belles paroles remplie de poésie que je vais te montrer ta chambre.

Ally : Oui merci, je veux bien car je suis crevée. Plaide-je. Il me conduit dans la chambre d'ami qui se trouve à l'étage.

Jonas : Voilà ta chambre la moche me dit-il en pointant du doigt le lieu en question.

Ally : Merci le moche. Ma réplique me donne droit à un tirage de langue digne d'un enfant de huit ans. Je lui souhaite la bonne nuit tout de même et ferme la porte. Je suis exténué. 

Je pose ma valise et explore un peu la pièce qui va devenir ma chambre pour les prochains mois. Elle n'est pas très grande mais assez pour contenir un grand lit une armoire un chevet et un petit bureau. Il y'a aussi une porte au fond de la pièce. Je l'ouvre par curiosité et je suis surprise de découvrir une salle de bain. Je suis assez contente en Italie ont se là partage. J'attrape mon pyjama dans ma valise, pars l'enfiler et me glisse sous les draps. J'envoie un message à ma mère pour la prévenir de mon arrivée chez ma tante.

"Coucou maman, je suis bien arrivée chez tante Erika. Je t'aime bisous."

Je pose mon téléphone sur le chevet et ne tarde pas à tomber dans les bras de Morphée. 


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Bouille* 



The blue eyes Tome 1 ( En Réécritures )Where stories live. Discover now