II. Toc dans ta face

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Mon frère chercher à répliquer une nouvelle fois mais je l'empêcher en lui demandant d'aller rejoindre notre mère. C'est alors que nous tournons le dos, qu'on me saisi le bras avec violence.

" Jamais au grand jamais on ne tourne le dos à Brandon Wisley" dit-il avec colère

Sans me retourner je lui répondis.

" Brandon ou pas lâchez moi vous me faites mal" le suppliez-je

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Il continua de me compresser le bras, jusque là je n'ai pas broncher à ses humiliations mais j'en ai plus qu'assez là je suis certes mal voyante mais j'ai bel et bien une bouche. Je me retourne pour lui faire face, je le toucha pour savoir où se situer t-il exactement, mes mains se posa sur son torse il a une carrure imposante il portait une chemise qui faisait bien ressortir ces pec, je montais mes mains vers son visage pour m'imaginer de quoi avait-il l'air dans ma tête, il a une mâchoire plutôt carré les traits assez fin du visage, une bouche des lèvres fines.

Il y'avait un silence fou pendant mon analyse, mais une fois que je posa mes mains sur ses avants bras, des chuchotements se font entendre dans la foule certains se demander si j'étais réellement mal voyante, d'autre s'exclamer que sa n'était qu'une comédie pour qu'il est pitié de moi et d'autre s'interroger seulement sur ma présence ici.

Toujours mes mains poser sur ce Brandon je tentais d'ouvrir la bouche qu'il se détacha de mon emprise, mais je savais qu'il était juste devant moi. Depuis mon analyse il n'a daigné ouvrir sa bouche même une seule fois et tant mieux j'ai envie de dire.

" Vous êtes content de vous ? Attirez l'attention était votre but non ? Bah bravo mon grand vous avez réussi, mais sachez que vous avez attiré l'attention sur vous stupidement. Que diraient les médias à l'instant présent s'ils vous voyez ? Attendez je crois que j'ai une idée «Monsieur Brandon Wisley grand je ne sais quoi maltraite les personnes inférieur à lui, mais pas qu'inférieur mais porteur d'handicap». Vous donnez peut être une bonne image de vous dans les médias, mais en réalité vous êtes un homme sans cœur. Je ne vous demande pas non plus votre pitié mais un peu de respect ne vous ferais pas de mal. Sur ce passer une excellente journée."

" Comment avez vous osez ?" dit-il dans les plus grands des calme

" Comme vous l'avez osez pour moi, je ne suis peut être pas riche, je ne suis pas voyante mais je réfléchis et j'ai un minimum de respect pour les personnes que je ne connais pas" dis-je en tournant les talons.

Il ne répliqua plus, je pense que je l'ai bien remis à sa place et je pense même qu'il en était choqué je crois même que personne n'avais osée lui parlais ainsi.

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AveugleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant