Chapitre XVIII

2.4K 105 50
                                    


C'était le jour J, j'allais bientôt entrer dans cette salle afin de signer les papiers du divorce. Je serais enfin libre, plus de Camila Mahone, plus de ce jeune insolant, juste une brune charmante, polie, respectueuse et totalement attirante, j'en avait fini.

J'étais donc habiller d'une robe crayon gris cendrée un peu moulante, avec un col en "V". Lauren elle avait une chemise blanche recouvert par un blazer noir, et porte une simple jupe crayon en guise de bas et des escarpins noir à semelle rouge, chic, sexy  mais élégant comme à son habitude.

Nous discutions de tout et de rien, mais surtout du boulot en ce moment même. Car je n'allais pas continuer à squatter chez Lauren sans ramener ne serait-ce qu'un smic, certes je n'ai plus l'habitude d'être smicarde mais j'allais bien devoir mis faire. Je l'informe donc que dès demain je chercherai un emploi peu m'importe ce qu'il sera, je voulais me débrouiller seule sans l'aide de personne. J'avais en tête pas mal de chose, d'idées folle qui m'était venue en tête l'hors de ma jeunesse et dont je n'avais toujours pas fait une croix dessus. Étant jeune j'avais voulu faire journaliste ou reporter car j'aimais vraiment m'intéresser aux gens, faire connaître leurs histoires ce genre de choses. Ou alors j'aurais voulu me lancé dans le monde de la musique ou de la filmographie, mais je ne pense pas que la popularité m'irais vraiment, étant assez timide ce genre d'environnement ne me rendrais pas totalement épanouie.

Alors que j'étais tel une enfant, me voyant dans toute sorte de tenue correspondant aux métiers que je rêverais de faire, la voix de ma petite amie me sortie de ma rêverie.

'Camila on doit entrée, sort de ta bulle et deviens la fille sérieuse et sûre d'elle que j'ai rencontrée. Pas l'enfant perdue dans ses rêves de gamine que je connais quand nous sommes à la maison devant les dessins animés veux-tu ?' Me dit Lauren quelque peu irrité.

Nous y voilà, j'avais vraiment horreur de ce côté méprisant de Lauren quand nous n'étions pas que toute les deux. Elle devait tout le temps être autoritaire et sérieuse, alors que moi j'avais encore mon âme d'enfant et j'étais toujours dans la rêverie.

'Pff..calme toi Lauren, je vais finir par en avoir marre de tes réflexions sur mes rêveries. Tu sais très bien que je suis comme ça, rien n'y changera mais je sais me tenir dans des situations comme celle-ci. Alors par pitié arrête moi ce comportement tu veux ?' Lui demandais-je d'un ton blasé, presque désintéresser avec une pointe d'arrogance, qui me surpris moi-même.

Lauren fût d'abord surprise de ce changement de ton venant de la fille si calme et douce que j'étais, puis elle reprit en quelques secondes son expression sérieuse elle balbutia rapidement des excuses en baissant la tête, relevant celle-ci quelques minutes après souriant timidement. Je ne pus que m'attendrir devant cette vue, je souffla et lui rendu son sourire, elle embrassa la joue et me fit entrer en première dans cette salle, où était poser une grande table, ainsi que de nombreuses chaises. Deux feuilles étaient placés de chaque côté de la table, à des places respective dont l'une était la mienne et l'autre était celle de mon future ex-mari.

Nous étions donc les premières, je m'installa glissant mes mains sous ma robe afin de ne pas la froissé durant le temps ou je serrais assise, Lauren fit de même avec sa jupe ouvrant ensuite sa veste de blazer, laissant donc entrevoir un peu plus sa chemise ainsi que sa poitrine bien mouler dans son soutien-gorge noir.

Mon avocat fit ensuite son apparition, c'était un homme très charmant et surtout très élégant, il était certes jeune mais surtout très talentueux dans ce qu'il faisait, il aimait vraiment aider les gens. Lui est vêtu d'un costume deux pièces noir ainsi que sa chemise, simple mais élégant. Dylan avait plaquer que très légèrement ses cheveux en arrière et avait une barbe de quelques semaines qui le rendait plus adulte, en me voyant il sourit immédiatement avant de venir vers nous, serrant la main à Lauren puis à moi. Il s'installa ensuite à côté de moi reproduisant le geste de ma copine, qui était de déboutonner sa veste afin de ne pas être trop serrer dans celle-ci. Il sorti ensuite un stylo de sa veste avant de regarder l'heure sur sa montre.

Une Amante ImpossibleWhere stories live. Discover now