CHAPITRE 10: La Surprise

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Ca fait une semaine que je suis rentré. Je suis non-stop occupé, mon boulot de nounou me prends tout mon temps. Surtout qu'en ce moment Maximo le petit dernier de la famille est malade. Aller motivation, je dois donner les cours de français à Roberta et Andrès. J'appelle les enfant pour qu'ils viennent dans la salle de jeu.

MOI : Alors vous êtes près ?

ROBERTA : ¿ Puedes hablar español por favor? No comprendemos nada. (Tu peux parler espagnol s'il te plait? On ne comprend rien.)

MOI : Estamos allí para enterarse de francés pues hablo francés. (On est là pour apprendre le français donc je parle français.)

ANDRES : Bien ! On travail ?

MOI : Bien Andrès en une semaine tu arrive déjà à parler français. Je te félicite.

ROBERTA : Lame bota. (Lèche botte)

Au moment où j'allais commencé le cours, les frères aînés rentrèrent dans la pièce en criant avec Adeline.

BENJAMIN : ¡ Adeline volvió de hospital! ¡ Es la fiesta! (Adeline est rentrée de hôpital! C'est la fête!)

MOI : ¡ Didi eres de vuelta! ¿ Entonces cómo esto vaya? (Didi tu es de retour! Alors comment ça va?)

ADELINE : ¡ Muy bien! De nuevo sobre mis dos piernas. (Très bien! De nouveau sur mes deux jambes.)

J'embrassai Adeline et continua le cours mais le temps que je posa des questions aux enfants Benjamin et Carlos avaient invités Laura et Katia. Je ne peux rien faire, Roberta et Andrès n'écoute plus, bon et bien c'est parti je pris le micro, Ben et Carlos se mirent derrière moi et le concert privé commença. Mais Edwardo entra dans la pièce, pris d'une colère noire il fit sortir tout le monde. Il disputa les enfants, et moi il me congédia mais Laeticia sa femme ayant vu la scène me ratrappa.

LAETICIA : ¡ Maya espera! ¡ No se vaya! Usted conoce a Edwardo, se enfurece pero volverá buscarle de rodillas. Le necesitamos. Usted es la única que controla a los niños. (Maya attendez! Ne partez pas! Vous connaissez Edwardo, il s'emporte mais reviendra vous chercher à genoux. On a besoin de vous. Vous êtes la seule à contrôler les enfants.)

Elle me reconduisit à l'intérieur. Je monta dans ma chambre en pleur. Benjamin me suivit. Il frappa à la porte et entra.

BENJAMIN : ¿ Maya? ¿ Que pasa esto? Tienes la costumbre del humor de papá. ¿ Por qué ponerte en un tal estado? (Maya? Que ce passe-t-il? Tu as l'habitude des humeur de papa. Pourquoi te mettre dans un tel état?)

MOI : ¡ Abandona! (Laisse tomber! )

Au même moment Adeline entre dans ma chambre.

BENJAMIN : Sabes que te quiero más que todo en el mundo. Eres posiblemente la ama pero para mí eres más que esto. Sé que soy más joven que tú pero solamente de tres años. Detesto de ver así. Sobre todo a causa de mi padre. (Tu sais que je t'aime plus que tout au monde. Tu es peut-être la nounou mais pour moi tu es plus que ça. Je sais que je suis plus jeune que toi mais seulement de trois ans. Je déteste de voir ainsi. Surtout à cause de mon père. )

MOI : Sé gracias pero me dejo tranquilo si él te gusto. (Je sais merci mais laisse moi tranquille s'il te plais.)

Ben quitta ma chambre, me laissant seule avec Adeline.

ADELINE : ¿ Luz carece de ti? (Luz te manque?)

MOI : Luz carece de mí. París carece de mí. Kevin carece de mí. Todo carece de mí. (Luz me manque. Paris me manque. Kevin me manque. Tout me manque.)

ADELINE : Escucha tu corazón (Écoute ton cœur.)

Adeline me baisa le front et repartit.

Ça fait environ un mois que j'ai quitté paris. Plusieurs fois j'ai tenter de repartir mais il y avait toujours quelque chose qui me retenais ici.

Un soir, alors que nous mangions, Roberta voulu se lever de table, je lui dis qu'elle devait finir son assiette mais j'eu à peine le temps de finir ma phrase que je tomba dans les pommes. Benjamin qui était à côté de moi me porta jusqu'à ma chambre qui se trouvait à l'étage. Une fois que j'étais dans mon lit, j'ouvris les yeux, je ne comprenais pas pourquoi et comment j'étais arrivé dans ma chambre.

Ben et Carlos m'expliqua que j'avais fait un malaise et que Ben m'avais déposer ici. Soudain, une envie de manger une tartine de nutela confiture avec du ketchup. Non de fraise au chocolat avec des pépites de nougatine sur un lit de crème pâtissière. Miam j'en salive déjà, j'appelle Constance pour qu'elle me prépare ça et qu'elle me les apporte dans ma chambre. Mais lorsque Constance avec la commande je dormais déjà à point fermé.

Le lendemain, je fus réveiller par Benjamin et par une envie de vomir. Je me précipite à la salle de bain. Constance qui venait prendre de mes nouvelles s'arrêta à la porte des toilettes me demandant si ça allait. Ben la rejoint. Ils attendirent derrière la porte, Adeline les rejoint.

ADELINE : ¿ Que pasa esto? (Que se passe-t-il?)

MOI : ¡ Nada! ¡ No pasa nada! Devuelva a trabajar. (Rien! Il ne se passe rien! Retournez travailler.)

CONSTANCE : ¡ Esto mi pitchounette es todos los síntomas de una mujer embarazada! Y puse conoce. Estaba allí para todos nacimiento de esta familia. (Ça ma pitchounette c'est tous les symptômes d'une femme enceinte! Et je mis connais. J'étais là pour toutes les naissance de cette famille.)

Un bébé ?! Non ! Non c'est pas possible. Vous imaginez la surprise pour moi.


 

#Amélie


 

MAYA MONTEROOù les histoires vivent. Découvrez maintenant