Chronique d'Amira : « Traquée par un inconnu. »

Partie 17

BISMILLAH.

Medecin - Je suis désolé..

Je pleurais à ne plus pouvoir respiré, Yemma, tu vas me manqué, Allah y rahma, qu'Allah t'ouvre les portes du paradis, Insh'Allah! J'étais détruite, Allah venais de me levé la seule femme de ma vie. Mes pensées aller vers Anissa, on ne sauras alors jamais la vérité.. ou peut-être que si..

Aymen - Smeh pour ta mère hbiba, Allah y rahma.

Je suis aller dans la chambre à ma mère avec l'autorisation des médecins et je lui est déposé un baiser sur le front avec les larmes qui coulent.. Puis je suis sortis.

On allais pour rentrer quand un médecin m'interpella.

Médecin - Mademoiselle Bekaoui ? (nom de famille inventé.)
Moi - Oui?
Médecin - Tenez, votre mère m'a demandé de vous remettre ceci avant de mourir.

Il me tend une enveloppe, je le remercie puis on pars. Arrivée à la maison je suis directement aller dans la chambre et j'ai ouvert la lettre.

- Benthi, je t'écris sur mon lit d'hôpital, je vais bientôt partir ma fille.. prend soin de toi, de ton frère et de ta soeur. Je voulais que tu sache, tu as une soeur jumelle. A sa naissance, une de tes tantes avez assisté à mon accouchement parce que ton père n'étais pas là, il avais eu un empêchement au boulot, et elle à enlevé ta soeur. Je l'ai chercher de partout benthi, qu'Allah m'en sois témoin, mais il n'y avez rien à faire, elle avais disparu. Ta tante nous avez fait croire qu'elle étais morte, mais elle nous l'avais avouez que c'est elle qui l'a enlevé. Elle ne pouvez pas avoir d'enfant, elle souffrait de sa, alors elle nous à pris ta soeur. Benthi, fait tout pour la retrouvé, j'espère que tu y arriveras, Insh'Allah . Je t'aime ma fille, je vous aimes tous. Qu'Allah vous viennent en aide et vous protège, vous êtes tout pour moi.

Anissa.. c'est donc ma soeur.. ma jumelle. Yemma, je l'ai déjà retrouvé.. il nous fallais juste la vérité, et la voilà. Yemma, tu vas me manqué, Allah y rahma.

J'ai pliée cette lettre et je l'ai mise dans le tiroir de la commode, puis je suis aller dormir tout en pleurant. Yemma

* * * * * * * * *

Le lendemain, je descends et il y'avait 5 ou 6 gars dont Aymen& Anis, je vais dans la cuisine et je déjeune, quand un gars vient s'asseoir a côté de moi.

Lui - Je t'ai jamais vu ici. *sourire*
Moi - Je suis là depuis peu. *sourire*
Lui - Ah d'accord, sinon ça va ?
Moi - Hamdoulilah & toi ?
Lui - Bien, c'est quoi ton prénom?
Moi - Amira& toi ?
Lui - Arès. T'es de quelle origine?
Moi - Algérienne & toi?
Lui - Italien, Français, Maltais.
Moi - Ah d'accord.

Pendant toute notre conversation, Aymen nous regardait scarface. Mais je m'en foutais royalement. J'aimais déjà bien Arès, il m'inspirer confiance et il était plûtot mignon.

J'ai finis de manger, et j'ai debarasser la table, Arès avait déjeuner avec moi, on avait un peu parlé. Il était gentil, et il était malheureusement lui aussi dans le biz, il a été adopté par la rue.

Après ça, je suis aller prendre une douche, j'avais les yeux rouges, mais pire que rouge à force de pleurer, je me suis habillé parce que Aymen m'avais dit qu'on allait au centre commercial.

Je suis descendu et nous sommes partis. Le chemin s'est fait en silence (comme d'hab). Arrivé au centre commercial, on est descendu. Je savais pas ce qu'il voulait acheter. On rentre dedans et il se dirige vers un magasin pour femme.

Moi - On va faire quoi ici ?
Aymen - Tu vas t'prendre des habits.
Moi - J'en ai pas besoin Aymen.
Aymen- Ferme ta gueule et rentre.
Moi - Non, j'en ai pas besoin, et je veux pas que tu payes.
Aymen - J'suis un pd moi tu m'dit non? Rentre parce que w'Allah je vais m'énnerver.

Il m'a prise par le bras et il m'a fait rentré, il m'a forcé à prendre des habits, mais il me disait à chaque fois "non, trop court", "trop moulant", "j'suis un pd moi tu mets sa?". J'ai pris des leggins et des débardeurs puis on à fait plusieurs autres boutiques malgré que je ne voulais pas.

On est sortis du centre commercial et on est monté dans la voiture. C'était calme, jusqu'au moment où il donne un coup sur le volant.

Moi - Questia?
Aymen - ........................

I am choquing, teh la choquation de la choquance....