Chronique d'Amira : « Traquée par un inconnu. »

Partie 11

BISMILLAH.

Aymen : Attend que j'te retrouve, w'Allah j'te viole, j'ai qu'une seule parole, tu veux faire la folle à t'enfuir, t'inquiète pas que je sais où tu es, j'attend le bon moment pour te chopé, et w'Allah que tu vas le regretter, souffrir comme jamais t'a souffert de ta vie.

A la vue de se message, mon coeur s'est serrer, la peur m'avais envahis et j'ai éclater en sanglot. Aymen était capable de tout... j'avais très peur à se moment w'Allah, j'avais même peur de sortir. Du jour au lendemain ma vie est devenue un "enfer" à cause de cet homme. J'ai tellement de haine envers lui, il est complètement fou, il serais capable de tout..

Sheïma à vu le message et elle voulais mettre au courant ses frères -qui était dans leurs chambre- de mon histoire, mais je l'ai supplié de ne rien dire.

Sheïma - Attend Amira, t'es inconsciente là, t'imagines pas comment c'est grave ! Imagine il te viole hein ? Imagine putin ! Il te veux quoi au juste ?! Putain, de là à te menacé de viol, c'est vraiment un psychopathe.
... - T'as dit quoi là ?

Je me retourne d'un bond et aperçois son frère, Abdel. Putain, il à pas entendu quand même?

Sheïma - Heu.. rien, ouais rien pourquoi ?
Abdel- Répète !
Sheïma - Mais y'a rien putain !
Abdel- Eh w'Allah vous allez pas vous en sortir comme ça, je saurais.

Et il part, Al Hamdoulilah il n'a pas insisté. On a continué à parler mais cette-fois ci au balcon, puis on est allé manger et dormir.

* * * * * * * * *

Je passe trois jours, je sortait plus de chez Sheïma, elle sortait quelque fois pour allé faire des courses ou allé avec sa mère mais sans moi, j'avais peur de sortir, peur qu'il me retrouve.

Un jour, alors que j'étais seule chez Sheïma, elle était partie voir une pote à elle dans la cité voisine, elle reviens en pleure. Je me lève et cours vers elle pour la prendre dans mes bras.

Moi - Quesqui y'a ma belle ?
Sheïma - A..Ami..ra, il...

Elle arrivait pas à parler, elle suffoquer de fou, je l'ai assise dans la cuisine et je lui est servis un verre d'eau pour qu'elle se calme. Elle reprend son souffle puis me dit :

Sheïma - Y'a un mec il m'a chopé, je pense que c'était Aymen, il m'a emboucanée pour lui dire où tu étais en me menaçant, il m'a dit qu'il savait que tu étais avec moi, qu'il allait te faire souffrir quand il te retrouveras, il m'a dit qu'il s'en prendrez à moi aussi, -elle explose encore plus-, Al Hamdoulilah, Ya Rabbi, j'ai réussi à partir en courant, il à essayé de me rattrapé mais il a pas réussi, Al Hamdoulilah. Il a dit aussi qu'il savais où j'habitais, que si il le fallait il viendrais te chercher chez moi.

J'ai à mon tour explosé en sanglot. J'hésitais à me rendre, où à partir d'ici. Je ne voulais en aucun cas mêler Sheïma à ses histoires, j'avais plus peur pour elle que pour moi, c'est comme une soeur pour moi, et ceux que je porte dans mon coeur passe avant tout. Je l'ai prise dans mes bras.

Moi - Je suis désolée hbiba w'Allah je veux pas te mêler à ses histoires, je vais partir ou alors me rendre à lui, mais je ne veux pas qu'il te fasse quoi que ce soit à toi !
Sheïma - Hors de question ! W'Allah tu te rends pas à lui, il va te violé.. et je ne veux pas. Je préfere encore y passé moi, t'es ma soeur w'Allah je t'aime comme une soeur.
Moi - Moi aussi w'Allah je te remercierais jamais assez pour ce que tu as fait pour moi, je serais toujours là pour toi w'Allah.

On est partis se coucher après avoir mangé.