Partie 8

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BISMILLAH.

Je me retourne, c'étais non pas Aylen mais Anis.

Moi : Questu fait la encore?
Anis : Demain, 13 heures à *****, viens sinon w'Allah tu vas le regretter.

Après ça, il saute par la fenêtre. Je me lève refermé celle-ci, puis je m'endors. Je comptais y'aller, mais si j'avais su, w'Allah j'aurais pas mis un pied dehors.


Le lendemain, je me lève il étais 11heures, je mange, me prépare et je sors pour aller à l'endroit qu'Anis m'a dis. J'étais arrivé, et il n'y avais personne. Je me suis assise sur un banc et j'ai attendu, mais une voiture blanche avec les vitres teintée freine sec devant moi, et deux hommes m'attrape.



Je criais comme une folle, je bougeais dans tout les sens mais je pouvais rien faire face à eux. Ils me font monté dans la voiture et il démarre à toute vitesse. Je faisais que hurler, ils étaient tous cagoulés. Un homme devant tent un mouchoir à celui de derrière, et il me le mets sur le nez, puis trou noir. C'est là, que la vrai galère commence..


* * * * *


J'ouvre les yeux, j'avais un mal de crâne fou, je regarde autour de moi et je suis dans une chambre, je me lève et je me dirige vers la porte, j'atteris dans un couloir. Je descends les escaliers doucement, je me penche sur la rampe et en bas c'étais blindé d'hommes avec de l'argent sur la table. Je regarde bien toute les personnes, jusqu'à que je vois Aymen et Anis. Putain, quesque j'fou
là ?


Je regardais de partout, la maison était sale, c'étais pleins de mégots, bouteilles, sous-vêtements... dégueulasse. Aymen me voit et me lance un regard noir pour me dire de monter, alors je monte mdr. Je m'assis sur le lit et j'attends comme une hmara. Quelque minute plus tard Aymen fait son entré.


Moi : Quesque j'fou là putain ! Tu vas jamais me lâcher toi !
Aymen: Jamais.
Moi : -Je soupire-.
Aymen : Tu vas resté là un bon bout de temps, donc tu vas appellé ta mère et lui dire que tu pars en voyage avec qui tu veux, et que tout vas bien.
Moi : Jamais ! Je mentirais pas à ma mère.
Aymen : C'est où sa, ou alors ta mère s'inquiète pour quedal.
Moi : ...


Il me passe son téléphone, je compose le numéro de ma mère et je lui sors un mytho, je m'en voulais tellement de mentir à ma propre mère, ma vie J'ai raccrocher et j'ai repassé le téléphone à Aymen, qui lui me regarde avec un grand sourire.


Aymen: C'étais pas très compliqué.
Moi : Va te faire foutre.

Je tiens pas à ma vie là ! Il était devenu rouge, il avait les poing serrés, la mâchoire serré aussi mdr et sa veine du cou ressortait. Il me colle une gifle et hurle des insultes. Puis il semblait vite fait réfléchir et il affiche un grand sourire vicieux.


Aymen: Tu veux faire la folle, on va continué ce que je t'ai fais la dernière fois, en plus là, tavu j'suis en manque donc parfait !


Je me suis reculé le plus possible, j'avais vraiment peur là, je regrettais mes paroles...

Chronique d'Amira : « Traquée par un inconnu. »Where stories live. Discover now