Partie 13

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BISMILLAH.

«Chut oukthy, ne lui montre pas tes sentiments, sinon se seras le début de ta souffrance.»

Aymen - Enfaite toi tu tiens vraiment à se que j'applique ce que je t'ai dis en texto hein ! Beh on va l'appliqué tient.
Moi - Tu peux pas me faire sa! T'as pas le droit !
Aymen - Tu veux voir si je peux pas?
Moi - T'es complètement fou !
Aymen - Ah ouais? Tu l'auras chercher là ! N'oublie jamais que j'ai qu'une seule parole, jamais.

Il a sifflé fort et quelques minutes plus tard Anis ramène des cordes. J'ai commencer à vraiment regretter mes paroles là w'Allah ! Je me suis débattue pour pas qu'il m'attache mais Anis est venue à son aide, et face à deux hommes, je ne faisait vraiment pas le poids. Ils ont donc réussi à m'attacher.

J'ai commencer à bouger dans tout les sens et à hurler, je me débattrais jusqu'à la dernière seconde w'Allah. Il peux pas me faire ça, il ne peux pas me prendre ma fierté, mon bijou, ce qui compte le plus pour moi.

Il a commencer à m'embrasser violement, il mettais toute sa rage dedans, et oui, il avais bien la haine. Bizarrement, j'ai ressentis quelque chose d'inexplicable à se moment la. Mon coeur qui bats vite, la chaleur, les petits papillons.. Etais-je amoureuse ? Malheuresement, mais je me haie de l'aimer, je devrais le detester, mais je n'y arrive pas.

J'hurlait jusqu'à m'en casser la voix malgré ses coups, il essayer de me déshabiller mais je me suis débattue jusqu'à ma dernière goutte d'énergie, mais cela n'avais pas suffit.. j'avais plus de force, et il n'a eu qu'une seule parole comme il l'avait dit.. il m'avait enlever ce qui rendait ma mère fière de moi, ce qui me rendait fière à moi même, ma fierté..

J'étais dégouté de lui, j'avais de la haine, mais aussi de l'amour. Je me comprenais pas, comment je fais pour avoir des sentiments pour un "homme" pareil? Je ne me vengerais pas, je laisserai Allah me venger, il ne feras pas les choses à moitié.

Il m'a détacher puis il est partit à la douche, je me suis rhabiller tant bien que mal, j'avais une de ses douleurs... j'étais en larmes. Je me suis assise les jambes croisés et j'ai laisser mon buste descendre vers mes jambes. (Je sais pas si vous voyez mdr.)

Je pleurais toutes les larmes de mon corps et je pensais à tout le monde. Asma, Younes, Yemma, Amina, Amine Mais surtout Shéra Tout le monde me manquait, et ce que je venais de vivre m'anéantis. Mais Allah à voulu que sa se passe, Allah éprouve ceux qui l'aime. C'est mon destin, je l'acceuil les bras ouvert malgré les souffrances.

Est-ce qu'on peut aimer une personne en la détestant? C'est possible? Pourquoi il m'avait fait ça? Et j'explosais encore en sanglot. Je suis au bout du gouffre, j'en peux plus, je suis fatigué de tout, je n'ai jamais la conscience tranquille. Tous mes sentiments s'exprimait dans mes larmes qui inondait mon visage.

Aymen sors de la douche et s'allonge sur le lit comme-ci de rien n'étais, ce qui m'avais mise hors de moi. J'avais la haine. Je me suis mise sur lui et je lui donnais des coups de partout en hurlant des insultes, j'étais histérique. Il se laisser faire et me regarder avec regrets.

A bout de force, je me laisse tombé sur lui et explose encore plus en pleure. Il me serre dans ses bras, j'avais même pas la force de le repousser, son contact m'avais donné des frissons. De peur? D'amour? Je ne sais pas.

Moi -faiblement- : Pourquoi t'a fais sa hein ! T'avais pas le droit ! C'étais ce que j'avais de plus précieux, ce que je préservais depuis 18 ans pour mon mari, et toi tu me l'as enlevé..
Aymen - ...
Moi - ...
Aymen - Pardonne moi w'Allah, je sais pas ce qui m'a pris, j'suis un pd, t'a raison w'Allah, smeh smeh w'Allah!
Moi - ...

Il m'a serrer encore plus dans ses bras, m'a fait tombé sur le côté puis il est partis après avoir déposé un baiser sur mon front. J'ai continué à pleurer pendant 2 bonne heures, sans pensé à personne.

Je me suis levé et je suis partis à la douche. J'ai frotter mon corps comme jamais j'avais frotter, j'étais toute rouge. Après ça je suis sortis, me suis mise en pyjama et je me suis endormis après avoir changer les draps.

Chronique d'Amira : « Traquée par un inconnu. »Onde as histórias ganham vida. Descobre agora