Chronique d'Amira : « Traquée par un inconnu. »

Partie 12

BISMILLAH.

Moi - Je suis désolée hbiba w'Allah je veux pas te mêler à ses histoires, je vais partir ou alors me rendre à lui, mais je ne veux pas qu'il te fasse quoi que ce soit à toi !
Sheïma - Hors de question ! W'Allah tu te rends pas à lui, il va te violé.. et je ne veux pas. Je préfere encore y passé moi, t'es ma soeur w'Allah je t'aime comme une soeur.
Moi - Moi aussi w'Allah je te remercierais jamais assez pour ce que tu as fait pour moi, je serais toujours là pour toi w'Allah.

On est partis se coucher après avoir mangé, mais juste avant sa, j'ai appellé Asma et ma mère pour leurs mentir encore une fois... Le lendemain, je devais aller voir Anissa, la fille qui me ressemblait, elle m'avais donné rendez-vous à environ 30 minutes de la cité. Je voulais pas y'aller, mais je voulais absolument en savoir plus sur elle, elle m'intrigué vraiment.

Je me suis alors préparer, et je me suis habiller, j'ai détacher mes cheveux ondulés, et je suis sortis en ayant prévenue Sheïma.

Je me suis rendu au lieu où elle me m'avais dit, et j'ai attendu qu'elle vienne. Dix minutes plus tard environ, elle était là, elle était belle. Elle me fais la bise et elle s'assoie à côté de moi.

Moi - Salam Aleykoum.
Anissa - Aleykoum Salam.
Moi - Tu vas bien?
Anissa - Al Hamdoulilah et toi ?
Moi - Hamdoulilah!
Anissa - J'en peux plus, j'ai vraiment besoin d'en savoir plus sur nous. On se ressemble comme deux gouttes d'eau.
Moi - Moi aussi, parle moi de toi.
Anissa -Beh écoute, j'ai 23 ans, je vis avec ma tante, ma mère je sais même pas où elle est, ma tante ne m'as jamais parlé d'elle, je suis Algérienne à 100% d'après ma tante.
Moi - Je suis aussi Algérienne à 100%.
Anissa - Ta mère s'appelle Nora?
Moi - Oui.
Anissa - Ma tante m'a déjà parler vite fait d'une Aouicha, mais elle m'a dit que c'étais sa soeur seulement. Tu sais, ma mère je ne sais même pas c'est qui, ma tante m'a avouez à mes 15 ans qu'elle n'étais pas ma mère, j'y pense sans arrêts.
Moi - Il faudrait qu'on aille voir ma mère.
Anissa - Oui, Insh'Allah. Seule elle pourras nous dire la vérité.
Moi - Oui, beh écoute, je te rappellerais pour te donner rendez-vous d'accord?
Anissa - Pas de soucis, à bientôt Insh'Allah.
Moi - Insh'Allah !

Elle me fais la bise puis elle part et moi de même, mais à peine vingts mètre franchit, que je sens un mouchoir sur mon nez, puis plus rien...

* * * * * *

J'ouvre les yeux avec un mal de crâne fou, et je regarde autour de moi. Pièce sombre, petite fenêtre, cartons, sac, poussière -> cave. Je déteste les caves, w'Allah, j'ai toujours eu peur de descendre dans les caves de chez moi. Il y'avait des gens pas très net. Je savais déjà qui était l'auteur de mon enlèvement bien sûr, qui d'autre aurez pu m'enlevé? Je regarde dans mon soutif si y'a toujours mon téléphone mais il n'y est plus.

J'ai essayer de me lever, mais c'est à peine perdu, j'étais attaché à des chaines relié à une barre au sol. Je me suis mise à pleurer. Pourquoi tout ça m'arrivé à moi? Je n'ai jamais rien fait, et du jour au lendemain deux hommes se sont mis à me poursuivre pour aucune raison. Je pleurais, quand j'entends quelqu'un toussé. Je me retourne, et là .. c'est le choque total.

Sheïma était là. Sheïma.. ma soeur, pas toi.. tu ne mérites pas sa. Pardonne-moi de t'avoir mêler à ses histoires.. Tu as voulu m'aider et te voilà en ma compagnie dans une cave, ici, avec des phycopathes.

Sheïma - Am....Amira, je suis désolée w'Allah, j'aurais pas du te laissé sortir.
Moi - Sheïma, tais-toi ! C'est à moi de te demander pardon w'Allah tu peux pas savoir comment je m'en veux, ta voulu m'aider et je t'ai mise dans une merde pas possible, pardonne-moi w'Allah.
Sheïma - Dis pas ça Ami, w'Allah je t'en veux pas, je suis heureuse de t'avoir aidé, sa m'a permis de te rencontrer, je t'en veux pas, ne t'inquiète pas hbiba.

J'ai éclater en sanglot, tu ne m'en veux peut-être pas, mais on ne peux pas le nié.. je t'ai emmené dans ses histoires bizarres, et je m'en veux plus que jamais ma soeur..

Sheïma - Pleure pas hbiba, faut rester forte et ne pas montrer ta peur, surtout pas. Sèche tes larmes hbiba.

J'ai essuyer mes larmes en ramenant mon visage vers mes genoux puisque j'étais attachée. On à continuer à parler jusqu'à ce que quelqu'un entre dans la cave. C'était Anis, avec deux bouts de pain et de l'eau. Il nous à laisser sa, nous à détaché les mains et il est partis sans dire un mot.

On a manger ce qui y'avais puis on s'est remise à parler, mais la porte se réouvre et une fille pas hlel fait son entrée en machant un chewing-gum comme je déteste, comme une vache, la bouche ouverte.

Elle -voix aigü- : Aymen il s'occuperas de toi là plus tard ! -en me montrant de doigt- Il a pas le temps là! J'espère que tu vas bien souffrir salle keh ! Et toi là, -en montrant Sheïma- il à dit que t'i passeras aussi puisque tu l'as pris pour un pd ! Mon Aymenou faut jamais le prendre pour un zemel. Bref, pourrissez-bien bande de putes.
Moi - Héhé, tu vas vite calmer ta bouche toi parce que w'Allah tu vas te manger des coups, t'as de la chance que je suis attaché salle kehba, mais tu verras w'Allah j'vais te faire manger le bitume sal*pe !
Elle - On verras sa ! Pff !

Et elle se casse avec son sourire qui fou le démon là.

Sheïma - Qu'elle conasse celle-là, attend qu'on sois détachée, on la tue.
Moi - Ouais w'Allah, les gens ils cherchent trop la merde.
Sheïma - Pire !

Après ça on à parler jusqu'à se rendormir. Deux jours sont passés, Anis nous emmené un bout de pain et de l'eau une fois par jour, c'était la galère, on se sentait pire que sale w'Allah.

Alors qu'on parlait, la porte s'ouvre et Anis s'approche de moi. Il me détache et me dis de le suivre, il me tire par le bras. Je lance un regard à Sheïma, et elle me dis sur les lèvres "Insh'Allah il te fais rien", je la regarde tristement et je suis Anis.

Il m'emmène dans une chambre à l'étage et me dis d'aller prendre une douche. Il me donne de quoi me changer et il s'en vas en fermant à clefs. Je vais dans la salle de bain et je me douche, je sors puis je mets les sous-vêtements et les habits.

Je sèche mes cheveux puis je m'assis sur le lit et attend, jusqu'à se que Aymen fait son entrée. J'ai commencer à avoir peur là ! Il à refermer la porte s'est adossé contre celle-ci.

Aymen - Je t'avais dit que j'allais te retrouvée.
Moi - ...
Aymen - T'a fait une connerie tu sais?
Moi - ...

Il s'approche de moi ennerver et me tient par les épaules en me secouant.

Aymen- J'suis un pd moi j'parle seul ? Hein?
Moi - ...
Aymen - Eh w'Allah Amira j'suis calme là, donc REPONDS AVANT QUE J'MENERVE !

Ah, parce que tu ne l'ai pas déjà?....

Moi - Quesque tu veux que je te dise hein? Tu croyais que j'allais rester avec toi loin de ma famille?
Aymen - Ferme ta gueule.
Moi - T'es vraiment fou ! Tu t'ennerves parce que je réponds pas et quand je réponds tu me dit de la fermer, nique-toi.

"Nique-toi", les deux mots de trop je crois, je crois pas enfaite, je suis sûr, vu sa réaction. Il m'a pris par les cheveux et il a coller ma tête contre son torse, près de sa figure.

Aymen - Enfaite toi tu tiens vraiment à se que j'applique ce que je t'ai dis en texto hein ! Beh on va l'appliqué tient.