Un ange trouvé au porte d'une église

Start from the beginning
                                    

"Il n'a pas de nom. Nous n'avons aucune information sur lui. Il ni avait que son lange et lui devant l'église. Le prêtre dit que ses l'enfant d'un ange." Ajouta-t-elle en levant les yeux au ciel.

"Pouvons-nous le nommer?"

"Et bien d'ici à ce qu'on trouve des informations sur lui, il lui faudras effectivement un nom."

"Alors si c'est un ange, ont va lui donner le nom d'un archange. Gabriel." Dit la femme en se tournant vers son mari qui hocha la tête pour dire que ce choix lui appartient.

Les deux ne croyaient pas en la religion, mais trouvais que la situation était de mise.

"Parfait. Venez remplir les papiers et vous pourrez partir avec lui."

Ils retournèrent à leur maison avec le petit qui c'était assoupis dans les bras de la mère. Le mari offrit un billet de vingt dollars au fils des voisins qui retourna chez lui à la course pour se faire gronder par sa mère, qui l'attendait. Elle n'aimait pas voir son fils courir ainsi, car il risquait de ce faire mal.

Bien vitez ils se rendirent compte qu'on ne leur avait pas mentis. Le garçon dormait pronfondément chaque nuit, ne pleurait jamais et ce même quand l'un de leurs autres enfant à charge le bousculait un peu trop. Il babillait, comme pour vouloir parler à tous et tendait les bras vers n'importe qui pour se faire prendre.

Dés que l'un des adultes se mettait à parler, il arrêtait tout pour observer la personne, puis il y répondait avec ses gargouillis habituelle. Il fallait avouer que ce n'était pas un nourrisson habituel. Jamais la police n'a trouver des informations sur lui. Personne n'avait plaider sa disparition. C'était comme si personne ne savait qu'il existait avant d'être abandonner devant cette église.

Au bonheur du couple qui pu le voir grandir à leur côté sans adieu déchirant comme avec certain des jeunes qu'on leur confiait.

Le jeune garçon était maintenant âgé de quatre ans et, assis au comptoir, pigeait dans un bol de framboise qu'on lui avait donner comme collation. La femme le regardait faire amuser par ses petites mains qui tentait d'aggripper la baie pour le mettre dans sa bouche. Soudain une fillette de 8 ans arriva en faisant voler ses nattes.

"Je peux écouter la télé?"

"Tu as écouter la télé aujourd'hui?"

"Non. Du tout. J'ai fait de la peinture et du vélo." Énuméra Myriam impatience qu'on lui dise oui.

"D'accord, mais pas plus d'une heure. Ensuite je veux que tu retourne jouer dehors ma grande. Ça te va?"

Elle fit signe que oui, avant de s'approcher du comptoir pour voler une framboise dans le bol. Fidèle à lui-même, au lieu de s'insurger, Gabriel prit une framboise et la tendit à la fille en souriant. Elle le prit et partit vers le salon sans dire merci, pendant que Gabriel l'observait s'éloigner. Il tourna ensuite son regard d'ambre vers sa mère qui lui souriait.

"C'est gentil d'avoir partager Gabriel. Merci."

Il fini le bol avant de descendre du tabouret et de l'amener à sa mère pour qu'elle le lave, elle aggrippa un linge pour lui nettoyer la bouche et les mains, puis il s'éloigna vers le salon. Souriant, la femme nettoya le bol pour le mettre à sécher et alla se promener dans la maison. Elle retrouva Gabriel debout à côté de Myriam qui regardait la télé les sourcils froncer. Au sol, une feuille de papier déchirer en quatre avec dessus, des dizaines de coeur. Gabriel prenait l'un des morceaux de papier et le tendit à Myriam.

"Lâche moi!"

"Myriam, s'il te plait. Soit gentil avec ton petit frère."

"C'est pas mon petit frère. Pis tu es pas ma mère. Il est toujours après moi, il gosse."

La femme vient ramasser les feuilles au sol pour les donners à son garçon.

"Il t'aime, soit gentil si tu veux le rejeter."

La gamine tourna son regard vers Gabriel qui lui retendait les feuilles. Elle les prit et les déposa à ses côtés.

"Merci, maintenant va-t'en jouer ailleurs. J'écoute la télé."

Gabriel lui offrit un sourire avant de partir dans une autres pièce.

"Tu as parler à ta mère au téléphone, hier. Comment ça c'est passer?"

"Elle sort de prison. Faut qu'elle aille faire une thérapie, pis après à vient me chercher pour m'amener voir des dauphins." Énuméra la fillette.

"C'est ce qu'elle ta dit."

"Oui, pourquoi?" Demanda la petite fille en regardant celle qui s'occupait d'elle depuis maintenant presque deux ans.

"Pour savoir. Je suis très heureuse de savoir que tu pourras bientôt être avec ta mère, je m'inquiète juste que tu te fasse de faux espoirs.'"

"Ma maman elle va venir me chercher pour m'amener voir des dauphins qu'elle a dit!" Répèta la fillette.

La femme lui sourit avant de venir lui embrasser le front. Puis elle entendit un bruit de verre briser et se dirigea en vitesse vers le son. Les trois garçons se trouvait dans la pièce. Le plus vieux de 12 ans, celui de 9 et Gabriel qui était à l'écart et les regardait de ses grands yeux. Un vase était éclater au sol et les deux plus vieux observait la femme apeuré. Puis lui de 9 ans pointa Gabriel du doigt.

"C'est lui qui l'a fait tomber."

Il reçu immédiatemment un coup du plus vieux qui marmonna un: même pas crédible.

"Les garçons ne vous battez pas. J'ignore qui est responsable, mais j'aimerais votre aide pour nettoyer. Si vous alliez me chercher un balai et une poubelle, se serait apprécié."

Les deux plus vieux partir à courir chercher les objets demander, pendant que la dame vient s'agenouiller proche du dégats en soupirant. Elle n'avait plus l'énergie de s'occuper de quatres enfants.

"Besoin d'aide mamou?" Demanda la petite voix de Gabriel qui arrivait derrière elle.

Rectification, de s'occuper de trois enfants. Gabriel ne demandais aucun effort.

"Ne t'approche pas. Je ne veux pas que tu te blesse mon coeur. Ça peut être très coupant."

Elle plongea son regard dans les yeux de son fils et lui offrit un sourire réconfortant. Les deux autres garçon revient avec les objets demander et aidèrent à ramasser.

Lorsque son mari revient du travail, une bouffée de nostalgie la traversa. Elle aimerait reprendre son travail de vétérinaire qu'elle avait mis sur pause pour venir en aide aux enfants délaisser, mais le faire signifierait de les abandonner de nouveau et elle ne savait pas si elle en aurait la force.

"Ça ne va pas, chérie?" Demanda son mari comprenant immédiatemment la détresse dans son regard.

"Oui et non." Elle lui expliqua son désir et sa peur d'abandonner les enfants et d'un baiser rassurant son mari trouva la solution.

"Nous pouvona arrêter quand nous voulons. La mère de Myriam n'est pas censer retrouver sa garde bientôt? Et puis la travailleuse social ne nous a pas informer d'un developpement dans le dossier des deux frères? Si tu veux, à leur départ on ce retire comme famille d'accueil et tu pourras reprendre ta carrière."

"Mais Gabriel, personne ne va venir le chercher!" S'inquièta la femme qui ne voulait pas voir le garçon qu'elle avait élever depuis son plus jeune âge aller dans une autre famille.

"Alors adoptons-le." Proposa l'homme qui réceptionna immédiatement sa femme qui lui sautait au cou.

Il durent donc dire au revoir à leur trois autres enfants à charge qui partirent rejoindre des membres de leur famille biologique durant les mois qui suivirent et signèrent les papiers d'adoption pour leut petit ange déposer au pas de l'église.

👀

Intéressant comme début de vie Gab😈 trouvez sous le porche d'une église par un prêtre avertit par les anges 😏

On y croit?

J'espère que vous croyez qu'il a fini en famille d'accueil comme ça, c'est ce qui c'est passer!!!

Je voulais dire: On y croit que c'est un ange maintenant? 😏

PARTIE 1 L'ange (BxB)Where stories live. Discover now