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Bonne lecture. 🍀
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J'étais partie rejoindre à nouveau Takemichi et Emma au cimetière en compagnie de Mikey. Les deux y étaient retournés une dernière fois avant la grande bataille avec un homme du nom d'Inupi, si j'ai bien compris son nom. Mais en arrivant là bas, Izana était présent. Et il se mit à s'embrouiller avec Mikey. Finalement on a décidé de s'écarter de tout ça et laisser Mikey et Inupi se débrouiller avec l'homme au teint bronzé, dû à ses origines Philippine.
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Me voilà maintenant près de la route non loin de la mer, écoutant le récit d'Emma à propos de la vulnérabilité de Mikey. Elle disait qu'il se forçait à être fort, même dans les pire circonstances.
- Hé c'est cool ce que j'ai dit non ? Demanda Emma souriante. Ses yeux avaient un éclat de pur sincérité et d'adoration pour la personne concernée de son monologue. À voir, ça remplissait le cœur d'une agréable sensation chaude. Bon, vous voulez boire quelque chose ? Nous proposa-t-elle gentiment. Je répondis qu'une simple bouteille d'eau me suffirai, quant à Takemichi qui était avec nous, il déclina l'offre. Emma se pris une canette de jus de pomme.
Soudain, le son d'une moto qui roulait à fond remplissait les rues du quartier. Emma me regarda avec un air interrogateur et je ne pus qu'hausser les épaules d'ignorance. Puis, la moto arriva dans notre champ de vision. Et un des hommes présent sur la moto se mit à crier un bon coup, avant de brandir une batte de base-ball et de finalement heurter violement le crâne de Emma...
Sur le coup, je ne compris pas ce qu'il s'était passé. J'entendis juste le son d'une canette anciennement dans les main de la blonde atteindre le sol. C'est fou à quel point tout s'est passé extrêmement vite. Car à peine j'eus le temps de lever les yeux sur cette fameuse canette, que Takemichi était déjà au sol. Les yeux larmoyant, tenant la tête de la jeune fille dans ses bras. S'excusant mainte et mainte fois pour la tragédie passé. Comme si celà était de sa faute. En ce qui me concerne, je restais immobilie. Écoutant le son du moteur de cette moteau s'estomper minute après minute, au fur et à mesure qu'elle s'éloignait de moi. Et de ce drame présent sous mes yeux.
Pour moi c'était un peu comme si rien de tout ça n'était vrai. Comme si toute cette scène était juste beaucoup trop surréaliste pour faire partie du monde réel. Les voix que j'entendais maintenant étaient floues. Comme si mon cerveau n'en prenait pas rigueur, les considérant comme des sons inutiles ou peux importants. Poussant mon conscient à les étouffer du mieux qu'il peut.
