Te pardonner [Drarry] (yaoi) Tome 2

Chapitre 23 : Ton cadeau de Noël

Je n'ai jamais vu un truc pareil. Ce restaurant était juste immense. Des lustres en verres pendaient au plafond avec des tableau peint avec une précision et des détails incroyable, les immenses fenêtres donnant sur Paris, les tables recouvertent de nappe en soie blanche, que du luxe partout. J'écarquillais les yeux comme un enfant devant DisneyLand. Blaise rigolait à côté de moi, un spectacle ordinaire pour lui qui a grandi dans le luxe.

Ron : Hey te fous pas de moi, je vis pas dans le luxe moi !

Blaise : Je sais, ta tête était juste trop mignonne.

Je me mis à rougir comme un fou tout en lui donnant une claque sur l'arrière du crâne comme le fait ma mère quand elle est en colère.

Ron : Sale scroutch puant le luxe.

On alla s'assoir à une table et attendions qu'un serveur vienne prendre notre commande. Bien entendu, Harry râla en voyant que sa place se situait à côté d'une tête blonde qu'il ne connaît que trop bien. Mais vu le lieu, il ne se permit pas de nous crier dessus et s'assit docilement à sa place sous le sourire de Malfoy dont lui seul à le secret.

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La soirée prenait fin. Nous avions rit et nous étions tous bien amusés. Même Harry qui finalement accepta le fait qu'il pouvait passer une bonne soirée en compagnie de Malfoy. Et étonnement, nous n'avions pas passé notre repas sous des regards et des chuchotements. Nous en avions eu quelques uns, bien entendu, ils faut dire que le héro du monde des sorciers attirait l'attention. Et tout les efforts des quatre serpentards pour cacher leurs marques portèrent leurs fruits car ils ne se firent pas reconnaître. Nous finissions de manger nos desserts quand Blaise prit ma main sous la table. Je le regardais sans comprendre pendant qu'il entrelaçait nos doigts. Il me répondit par un sourire, ce sourire qui m'a fait craquer. Alors je ne dis rien, rougissants et resserrant ma main autour de la sienne et lui rendant son sourire.

oOo

Nous rentrions dans le manoir de Théodore et Harry venait de partir voir je ne sais quoi, mais il avait l'air bouleversé et Hermione un peu inquiète qu'ils aillent à cet endroit. Je m'inquiétais un peu pour lui, mais Draco et Hermione étaient avec lui, je ne m'inquiétais donc pas plus, leurs faisant confiance. On partit donc tous nous coucher avant qu'ils ne reviennent.

Je me mis donc dans ma chambre et commençais à enlever mon t-shirt, me retrouvant torse nu. Et avant que je ne face un mouvement, Blaise, presque nu, habillé seulement d'un caleçon, vint m'embrasser avec douceur. Sans comprendre, je répondais à son baiser en collant nos corps. Sa langue vint lécher mes lèvres pour en avoir l'accès que je lui donnais sans hésitation. Les deux jumelles une fois réunies se lancèrent dans une dance endiablée qui ne s'arrêtera qu'au moment où le manque d'oxygène se fit ressentir. Nous nous séparons pour reprendre notre souffle et une nouvelle dance reprit entre nos deux langues unit. Je fermais les yeux et profitais de sa presque nudité pour venir redécouvrir son corps pour la énième fois. Mes mains caressant son torse musclé avec douceur. Le métisse fit de même, ses mains me procurant des frissons d'excitation. Rapidement, nos baiser furent plus ardant, plus brouillon et nos caresses se firent plus insistantes.

Sans un mot, nous réussirent à comprendre notre désir commun qui devenait de plus en plus présents, nos corps bouillonnant d'envie et de passion. Il me fit doucement reculer vers le grand lit au centre de la pièce, me poussa dessus pour que je m'allonge et vint se mettre à califourchon sur mon bassin. Ses mains revinrent se balader sur mon corps et enleva mon pantalon. Ses lèvres embrassèrent mon cou me faisant soupirer de plaisir. Il le léchais et le marquait de marques violettes montrant à tout le monde que je lui appartenais. Les baisers devinrent plus brûlant et plus passionnées et des morsures rejoignirent les marques violacées dans mon cou. Nos mains se déshabillèrent mutuellement et ses baisers descendirent sur mon torse. Sa main vint frôler ma verge avec douceur, du plaisir montant de plus en plus dans mon bas ventre. Assez rapidement, il l'a pris en main et fit des va et viens. je fis de même avec la sienne et nos gémissements résonnèrent ensemble dans cette chambre, nos corps unis par le plaisir que l'on se procurait. Rapidement notre orgasme arriva et nous laissions le liquide blancs couler dans nos mains dans un dernier gémissement.

Haletant, le métisse attrapa sa baguette et lança un sort de lubrifiant sur mon antre. Il se glissa entre mes jambes écartées et colla son bassin au miens, près à rentrer en moi. Avant que le serpentard ne pénètre dans mon antre, on passa de longues minutes à s'admirer en tenue d'Adam. J'admirais sa peau métissée, son corps musclé, sa bouche que je voulais dévorer. Je plongeais mon regard dans ses yeux noir remplient de plaisir et de passion. Et puis, Blaise prononça ses premier mot depuis le début de notre échange.

Blaise : Tu es si beau mon amour.

Ron : Tu l'es encore plus.

Il me sourit amoureusement et sans briser notre contact il commença à rentrer en moi tout en m'embrassant fougueusement pour que je ne pense pas à la douleur. Mes mains griffaient les draps humides de sueur et de spermes sur lequel j'étais allongé. Une fois mon corps habitué à la présence du métisse à l'intérieur de celui-ci, je fis un mouvement de bassin pour lui signaler qu'il pouvait y aller. Alors, le brun commença à faire un aller-retour, puis un autre, encore un qui étaient de plus en plus rapide. Le plaisir montait de plus en plus dans nos deux corps qui ne faisaient plus qu'un. Je laissais mes gémissements franchir la barrière de mes lèvres ce qui grisait mon beau métisse qui accélérait ses mouvements. L'atmosphère de la pièce se fit de plus en plus brûlant et enfin, le brun buta dans ma prostate. Je poussais un gémissement plus sonore que les précédents. Le brun me sourit de façon perverse en m'entendant gémir tout en continuant ses vas et viens. Ses mouvements se firent plus rapide, nos gémissements plus fort et sa verge buttait à chaque fois dans mon point G. Je devenais fou par tout le plaisir que m'offrait mon bel amant. Le plaisir arriva enfin à son maximum, un orgasme se déclenchant pour la seconde fois de la soirée laissant encore ma semence couler sur les draps blancs. Et, en sentant mon anneau de chair se resserrer autour de sa verge, le brun laissa sa semence couler dans mon antre.

Il se retira doucement de mon trou et s'allongea à côté de moi, haletant après notre acte d'amour. Je me tournais vers lui pour à nouveau plongeais mon regard dans le siens. Il caressa doucement ma joue en me souriant. Il reprit sa baguette et lança un nouveau sort pour nous nettoyer ainsi que les draps.

Blaise : C'est ton premier cadeau de Noël. J'espère qu'il t'a plus.

Ron : Oui énormément, merci mon amour.

J'étais bien avec mon amant mais une question me trottait dans ma tête.

Ron : Blaise, pourquoi tu sors avec moi.

Blaise : Mais enfin c'est évident, c'est parce que je t'aime.

Ron : Mais pourquoi, je n'ai rien d'attirant et aucune richesse. Toi tu es beau et riche, tu aurais pu avoir toute les femmes et les hommes que tu voulais mais tu m'as choisis moi.

Blaise : Tu sais Ron, l'amour ne décide pas. C'est tombé sur toi et je ne regrette absolument pas que mon coeur t'ai choisir.

Je lui souriais et posais mes lèvres sur les siennes pour un baiser doux et pleins d'amour. Le brun m'attira contre lui tout en mettant la couette sur nos corps nus. Je me collais à lui pour chercher de la chaleur et ses jambes s'entremêlaient aux miennes. Je décollais mes lèvres des siennes et allais réfugier ma tête dans son cou. Ses bras s'enroulèrent autour de mes hanches pendant qu'il déposait un doux baiser sur mon front.

Nous restions à nous câliner pendant de longues minutes quand la lumière s'éteignit, surement une coupure de courant. Au début, nous ne faisions rien, ne nous inquiétant pas et continuant de nous câliner amoureusement pendant que le brun caressait mes cheveux roux. J'avais oublié quelque chose, mais je ne savais pas quoi, alors je continuais à me faire cajoler par mon amant sans m'en soucier. Quand nous commencions à nous endormir, un cri résonna dans la maison. Je me relevais en sursaut, reconnaissant la voix de Harry. Ca y est, je sais ce que j'avais oublié.

Blaise : C'est quoi ça?

Sans donner d'explication à mon amour, je sortais de sous la couette, mettais mon caleçon et sortais en courant de ma chambre pour me diriger vers celle d'Harry et de Draco.

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