2|55. « Il n'y a que comme ça que tu brilles le plus. »

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𝕃𝕦𝕟𝕕𝕚 𝟚𝟝 𝕛𝕦𝕚𝕟 𝟚𝟘𝟙𝟠, ℝ𝕚𝕠 𝕕𝕖 𝕁𝕒𝕟𝕖𝕚𝕣𝕠, 𝟙𝟘𝕙𝟜𝟝 .

𝐀𝐁𝐈𝐆𝐀𝐄̈𝐋𝐋𝐄 .




❝ 𝓙e viens de finir mes séances de kinésithérapie de la matinée avec, comme d'habitude, Hugo, Kingsley et Paul. Les garçons sont maintenant partis à leur entraînement et j'attends que Lucas se réveille pour le masser à son tour. Ce dernier, suite à sa blessure, ne peut pas participer ni aux entraînements, ni au prochain match qui opposera la France du Danemark. Son entorse est assez sévère alors j'espère sincèrement qu'avec mes séances de massage et du repos, il sera bientôt sur pied et prêt à jouer le match suivant. Il est très déçu de ne pas pouvoir jouer demain pour le troisième match des Bleus pour cette Coupe du monde, mais de toute manière, il en aurait été incapable et il le sait très bien.


Connaissant Lucas, il pourrait dormir jusqu'à quinze heures si personne ne vient le réveiller. Il voulait vraiment profiter de ne pas pouvoir participer à l'entraînement de ce matin pour se reposer. Il est maintenant près de onze heures et il semble toujours dormir alors je décide de me rendre dans sa chambre pour le lever. Je veux vraiment avoir le temps de le masser correctement pour qu'il puisse se remettre plus rapidement de sa blessure. J'entre alors dans sa chambre et me dirige directement vers le rideau de la baie-vitrée pour l'ouvrir. Malgré le fait que le soleil vienne frapper son visage, Lucas ne bouge pas d'un poil, et je suis sûre qu'il ne se réveillerait pas, même avec de la musique à fond à côté de lui. J'avance alors vers lui et le secoue brusquement pour qu'il daigne ouvrir les yeux. Il finit par se réveiller plusieurs minutes plus tard avec beaucoup de difficultés. Je m'assois alors dans le lit, à côté de lui, pendant que je le regarde essayer d'ouvrir les yeux du mieux qu'il peut.





– J'ai cru que tu étais mort, j'ai mis presque dix minutes à te réveiller. dis-je en me moquant de lui

– Tu n'aurais pas dû me réveiller, je dormais si bien. il râle

– Je te rappelle que tu as une cheville à soigner, alors tu vas te dépêcher de prendre ta douche parce que je veux que tu sois prêt dans dix minutes pour ta séance.

– Ouh elle ne rigole pas maman Abi. Je trouve que tu prends de plus en plus ton rôle au sérieux depuis que tu es enceinte.

– Tu crois que je vais devenir le genre de fille super reloue qui va râler à la moindre blague ?

– Oh que non, s'il y a bien une chose dont je suis sûr, c'est que tu ne seras jamais comme ça. C'est toi le moteur des moindres bêtises ici, et je suis persuadé que même quand tu auras quarante ans, qu'on sera tous à la retraite, tu vas continuer de faire les blagues les plus agaçantes qu'il puisse exister. Tu resteras toujours une grande enfant.

𝒕𝒘𝒐 𝒚𝒆𝒂𝒓𝒔 𝒍𝒂𝒕𝒆𝒓 [𝒂𝒈]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant