⌲ A travers la peau d'une jeune femme, Vous voyagerez dans notre monde qui ne paraît pas aussi calmes et sereins. Des exceptions, qui paraissent superbes : avoir un don. S'avère finalement être un cauchemar. Elle qui voulait simplement finir son an...
Je traverse un vaste parking avant de déboucher sur des escaliers menant à des portes. Elles étaient entrouvertes, maintenues par un petit bout au sol. Je pénètre dans le bâtiment, les épaules un peu en avant. Les pieds traînent contre le carrelage. Un long soupir sort de mes lèvres. Pour comprendre mon surplus d'enthousiasme, il fallait ce projeté en fin d'année scolaire. Là où la routine est omniprésente, les habitudes bien ancrées, et la fatigue en hausse. On pourrait croire que la fin d'année est quelque chose d'enviable et qu'on souhaite à tout prix. Mais pour moi c' est toute une autre histoire. Disons que dans mon lycée, on trouve beaucoup de personnes qui se cherchent encore. Dont moi. Mais chacun a sa méthode. Certains, ont besoin de se montrer et de rabaisser les autres. On connaît tous cette manière de s'affirmer, soit parce qu' on la pratique, soit qu'on la subit. Et bien ... même si ce n' est pas facile de l' admettre, cette fin d'année me fait subir toutes ces perdu de la vie.
Ainsi, j'écoute les cours entre deux où trois boulettes de papier qui volent au-dessus de ma tête. Entre quelques blagues de mes camarades et j' en passe... ils se lâchent tous! Ils testent un part un les limites des prof, des surveillant tout en passant par les petits des classes. Tel que moi. J' appelle les "petit des classe" les discret, muet. Vous savez ceux qui parlent de temps en temps mais sans plus, ce n' est pas eux qu' on retient. Ils sont là, pas invisibles mais pas non plus exhibitionnistes ni population. Enfin bref, tout ça pour dire que les cours sont vite exténuants.
Pour me préparer au mieux à cette journée, ou m'évader quelques secondes avant le commencement de la journée. Je viens me glisser sur un banc dans l'entrée, les écouteurs dans les oreilles. Je profite quelques secondes avant qu'une énergumène vienne entravé mon petit moment de bonheur.
-éh Pousse toi de là, c' est notre banc. me dit -elle, me sortant de ma bulle.
Par expérience, je sais qu' il est inutile de riposter. Bien que ma fierté me pousse à le faire... Outre que cela, Britta agite ses mains, ça pourrait la rendre plus imposante. Mais finalement, c' est tout le contraire. Je la trouve ridicule. Elle s' habille vulgairement, avec des vêtements très courts,transparents. On saisit en un coup d'œil son caractère. Bien que ce soit superficiel. Elle est comme les clichés. Vulgaire à la langue de vipère, narcissique et égoïste. Elle veut toujours avoir le dernier mot. C' est même inutile de lui répondre, la fin sera toujours la même, elle . Elle aura le fin mot de l' histoire. Et si par miracle elle a pas le dernier mot, ça bande de pote arrive à son secours... enfin pitoyable. Mais comme toute fille avec un minimum d'ego je viens lui rétorquer. Croisant mes bras pour essayer de me rentre plus imposantes, ce qui a l'air de marcher ? Absolument pas..
-pourquoi je ferais ça ? Bien que l'idée ne me dérange pas, il y a d' autre manière et d'autres bancs libres- Je n'avais même pas eu le temps de finir ma phrase, que la voilà entre de causer de nouveau.
-car j' ai décidé que ça serait ma place aujourd'hui. Donc bouge toi. On ne joue pas dans la même cours toi et moi.
Alors qu'elle argumente sa phrase de raison et d'autre son groupe arrive dernière. Pour le coup je n'avais plus le choix. C'était mon égo ou une tête défigurée. Désolé pour toi mon beau égo mais je te dis cio.
Je me lève, quittant mon joli banc, en lançant un regard peu recommandable. quant à elle, elle souriait toute fière d'elle. J'aurai bien voulu lui ravalé ce sourire mais je n'en ai pas les capacités. Enfin j' aurai pu si j' avais une bande de potes mais ce n' est pas vraiment le cas. Que des amis par-ci par là. Bien qu'avoir une bande de potes m'aurai épargné ces soucis, je me sens tout aussi bien seul ces derniers temps.
J'aurai bien aimé que cette dispute prenne fin à ce banc. Mais je crois que mon regard ne lui a pas plu. Je le sais car je pars vers les toilettes, j'entends ces talons frapper contre le sol derrière moi. Une fois au bas de la porte . Sachant mon destin je l' attend, venant coller mon dos contre le mur, croisant mes bras. Je bougeais mon pied droit, montrant mon agacement.
-D'où tu te permets de me regarder comme ça ? Tu es partie pleurer et appeler maman aux toilettes ? Me dit-elle avec ce sourire en coin.
Pathétique.Agaçante. Connasse. oh je la déteste. Alors que je m'apprête à tourner ma langue six fois dans ma bouche avant de sortir une réplique, qui aurait sans doute menacé mon existence. Quand un PAF retentit, accompagné d'un jet d'eau. Le sol était rempli d'eau mais ce n'était pas le pire.. Le jet d'eau avait touché le visage de Mademoiselle... faut appeler les pompiers, elle va pas s'en remettre...
Je vois déjà son visage souriant ce fané, devenu crispé par l'eau glaciale, ces cheveux frisés et tenu par une tonne laque, son maintenant tout plat contre son dos. Et parlons des ces vêtements, une chemise blanche qui vient de devenir transparente sous l'eau. Le pire était sûrement son visage , son maquillage dégouliné. Des traces noir descendait de son visages, son fond de tiens commençai a partir...
Au final, je voulais écraser sa tête contre le mur mais le destin avait mieux fait que moi ! A tel point que j' étouffe un rire en la regardant. Quel beau spectacle... Elle n' était pas du même avis au vu de sa grimace et de toutes les personnes autour de nous. Cette situation était la meilleure des vengeances. Bien que j'y suis pour rien, je suis fier. Je m' enfonce dans le tas de lycéens pour partir. J' avais pas besoin de rétorquer quoi que ce soit, elle avait déjà sa dose bien que je n'ai pas compris ce qui s' est passé. Elle me laissera tranquille dorénavant
Apres cette mésaventure, j'ai continué ma journée sans la moindre nouvelle de Mademoiselle. Une bonne chose. Une fin de journée plutôt calme. Je suis plutôt heureuse de pouvoir rentrer a la maison. C est comme une délivrance. Bien que demain, la journée recommence.
Je franchis le bas de la porte, possant mon sac dans l'entré et mon manteau sur le porte manteau. Puis je m avance vers le salon, là où je me trouve nez à nez avec ma mère.
Apres une petite discussion avec, comme tout les jours, je lui épargne mon avanture de la journée. Je lui raconte dans les bref détails mes cours et quelque moment avec l une de mes amis. Avant de rejoindre ma chambre. Je me pose sur mon lit, regardant la petite photo posé sur la commode face à mon lit.
On voit mon père avec des cheveux noir, relevé sur le côté. Avec des yeux bleu. Il a de fines lèvres, des joues légèrement rouge, coloré de quelque tache de rousseur. Je pense pouvoir dire que peu de monde le trouvera beau, mais pour moi il l'est. A côté de lui, il y a ma mère, chevelure blonde avec des boucle d'or qui encadre son visage. Elle a elle aussi les yeux bleu. C est une belle femme bien que maintenant, elle a des rides d'expressions. Au bord de ces lèvres, de ces yeux. On dis souvent que la vieillesse est une mauvaise chose, mais pourtant, chez elle , sa la rend plus vivante. On vois qu'elle a du vécu. Je peux pas en dire autant de mon père. Il y a toujours une enveloppe de mystère qui tourne autour de lui. Tant de chose a découvrir...
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═══════════════════ * Voici le début, j'ignore si cette histoire vous plaira, entout cas, ravis de vous faire partager mon imagination.
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