Chapitre 7 : Il faut y aller..

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"T/P, il faut qu'on parle !"

Okay, la dernière fois que j'ai entendu cette phrase c'est quand Minerva m'a annoncé la mort d'Helena, pas un très bon souvenir d'ailleurs. Je laissa Shiro de mon emprise -car il s'était réveillé- et je me dirigea vers Draco.

"Qu'est-ce qu'il y a ?" demandai-je un peu trop calmement à mon goût.

"C'est ma mère." me dit-il. Mon pouls commença à s'accélérer tandis que je lui indiqua de poursuivre.

"Elle est gravement malade et mon père m'a demandé de te ramener à la maison avec moi." des larmes commencèrent à couler le long de mes joues. Il me prit dans ses bras quand quelqu'un entra soudainement dans la chambre.

"T/P, tu viens avec.." Fred s'interrompit quand il me vit pleurer dans les bras du premier rival de notre maison Gryffondor. Il hocha la tête en disant non et il parti en refermant la porte.

Je demanda à Draco de m'excuser et je sortis de la chambre pour suivre Fred.

"Fred ! Fred ! Fred Weasley, arrêtes-toi !"
Il s'arrêta et se retourna lentement pendant que j'essayais de sécher mes larmes.

"Qu'est ce qu'un idiot pareil faisait dans ta chambre ? Tu sors avec ?" me demanda-t-il.

"Non, bien sur que non ! Ma marraine est malade !" dit-je alors que mes larmes se faisait plus nombreuses.

"Et qu'est ce que ça avoir avec Malfoy ?"

Je me mis à rigoler après sa question.

"Ma marraine c'est la mère de Draco ! Lui est moi on est comme frères et sœurs !" dis-je alors que son sourire se dessinait peu à peu. Il se mit à rigoler et commença à se frapper la tête avec la paume de la sa main.

"Dis-toi que j'ai vraiment cru que tu étais avec lui !" dit-il en continuant de rigoler.

"Et, si c'était le cas, ça t'aurais énervé ?" dis-je pour le charrier.

"Non, du tout !" répondit-il. Il changea ensuite de sujet en me parlant du prank dont il voulait me faire part en entrant dans la chambre.

Après deux jours à être restée à Poudlard, mon père m'autorisa à faire mes valises pour rendre visite à Narcissa.

J'emmena quelques vêtements car je ne comptais pas rester longtemps et, bizarrement, Shiro ne voulait pas venir, je le laissa avec les deux seuls personnes en qui j'avais réellement confiance en tant qu'élèves : Fred et George. Je ne pouvais pas le laisser à un des nombreux professeurs ça aurait été bizarre.

Le soir même, j'alla dire au revoir à mon parrain, à Minerva, à Hagrid, à mes amis mais surtout à mon père. Ils allaient me manquer mais je n'allais pas y rester longtemps. Fin prête, je passa chercher Draco à sa salle commune pour embarquer.

Nous prîmes le train qu'Albus avait spécialement demandé pour ne pas qu'on est besoin de transplaner. Pendant le chemin, Draco avait passé son temps à dormir, je me mis à écrire une lettre aux jumeaux en ce qui concernait mon petit renard d'amour.

Les gars, faites attention à mon bébé. Veillez sur lui comme si c'était le votre et faites lui son petit lot de câlin, il adore ça ! Surtout, il ne mange pas de poisson, alors faites attention à ce détail, si je rentre et qu'il est en mauvais état, JE VOUS TUE ( et vous savez que j'en suis capable ! ) Je vous aime fort mes petits jumeaux adorés !! ❤️ :)

Votre tarte à la citrouille ;)

Harry me laissait communiquer avec les autres grâce à Hedwig ce qui était sympa. Je glissa la lettre dans les pattes de l'oiseau qui s'en alla aussi rapidement qu'il était arrivé, sauf que maintenant, il avait ma lettre, elle était de couleur mauve car je n'avais que ça comme feuille (McGonagall me les avaient achetés en me disant qu'elle étaient jolies. Je lui ai fait confiance) et avant de l'expédier, je l'aspergeais d'un petit coup de mon parfum aux roses et à la vanille.

On arriva au Manoir et je me dirigea directement vers la chambre de ma marraine pour voir si elle allait bien ou non en jetant mon sac à terre. Je monta les marches 3 à 3 pour aller plus vite. En arrivant devant la porte, Draco me pris la main et je m'arrêta pour prendre de l'air.

Des larmes coulaient déjà le long de mes joues tandis que j'essayais de les sécher. En entrant dans la pièce, Narcissa était allongée sur le lit et elle dormait. Je resta en retrait tandis que le garçon à mes côtés s'avança lentement vers le chevet de sa mère.

Ses yeux s'ouvrirent lentement pendant qu'elle prononça les mots :

"Mes enfants, enfin vous êtes là" tandis qu'elle souriait.

Fred P.O.V :

J'avoue que quand j'ai trouvé T/P dans les bras de ce serpent vicieux, j'était jaloux. Elle est partie chez sa marraine avec lui, mais elle m'a laissé ce beau renard blanc qui lui sert d'animal de compagnie. Il est génial et il aime jouer.

J'étais dans mon dortoir avec George. On était entrain de monter un nouveau prank -cette fois sur Ron- quand Hedwig arriva et se mit sur le rebord de la fenêtre. Elle avait une lettre entre ses pattes. La lettre était mauve et elle arborait un tampon rouge bordeaux. Le parfum qui parcourait la chambre était celui de T/P, ce qui me permis de comprendre que c'était une lettre venant d'elle.

Après avoir lu la lettre, un sourire se placarda sur mes lèvres tandis que George arriva me pris le bout de parchemin des mains et dit :

"Arrêtes de rêver Loverboy." j'essaya de me défendre même si il n'avait pas tord.

"Arrêtes de dire n'importe quoi." je ne rougissait pas j'espère.

"Tu rougis, idiot !" ah, mince. Il lu la lettre et alla vers Shiro qui était allongé parterre, prenant le frais du sol. Il faisait très très chaud pour un mois de Février. Il donna sa nourriture au renard blanc tandis que j'alla me coucher avec ce parfum délicieux qui continuait de me chatouiller les narines. Je m'endormis pendant que l'animal vint s'allonger près de moi pour ne pas être seul cette nuit.

Jusqu'à ce qu'il parte. (Fred X Reader)Where stories live. Discover now