❝ Always, Marinette ❞ || « au adrinette » (Traduction En Français) ©

12|Domicile

Adrien respirait lourdement lorsqu'il s'est approché de leur porte. Il a frappé une fois. Puis deux fois. Une Sabine inquiète lui a ouvert la porte. "Qu'est-ce qui ne va pas Adrien ?" Adrien n'a même pas répondu alors qu'il faisait un pas à l'intérieur de la maison froide.

Sans Marinette, ce n'était plus comme avant. Avant qu'elle ne soit malade, ils avaient joué une fois à des jeux vidéo dans sa chambre. Elle l'a battu et ils ont ri pendant des heures. Je n'avais plus l'impression d'être chez moi ici.

C'était vide.

 "Je suis vraiment désolé de vous déranger maintenant, mais vous devez lire ceci". Adrien a présenté l'enveloppe blanche à ses parents. Sabine la prend avec hésitation. "C'est de la part de Marinette." Ses mots étaient forts dans la maison désormais silencieuse.

Tom a tenu les épaules de sa femme dans une étreinte forte et aimante. Adrien a regardé Sabine ouvrir la lettre et déplier le papier. Ses mains tremblaient. Tom a lu par-dessus son épaule.

 C'était déchirant à regarder.

Le corps entier de Sabine tremblait pendant qu'elle lisait. Ses sanglots résonnaient dans la maison isolée. Adrien a regardé un homme qu'il a regardé se mettre à pleurer. Elle retourna le journal comme si elle s'attendait à trouver plus de Marinette, mais ce ne fut pas le cas. C'était comme si le monde entier l'avait écrasée. Elle s'est effondrée sur le sol, pleurant une fille qui n'était plus là.

Tom l'a pris dans ses bras en essayant de l'apaiser mais rien ne semblait fonctionner. Adrien s'est mordu la lèvre car les larmes qu'il pensait voir s'arrêter continuaient de couler.

Ce n'était plus une maison. C'était quelque chose de méconnaissable.

Adrien a fait un pas en avant, incertain. Ses pas étaient hésitants. Sabine s'est retournée pour le regarder avec des yeux pleins de larmes et des joues roses. Elle a ouvert ses bras et Adrien s'est retrouvé à aller vers elle. Il a pleuré contre elle alors qu'elle le berçait. Ils pleuraient tous dans les vestiges d'une maison.

Car comment cela pouvait-il être un foyer quand Marinette n'était plus là ?