Danger Public

By VFanFicTionSFR

22.7K 1K 238

Marie Anderson vient d'avoir vingt ans, elle à fait des études pour devenir infirmière, malgré le peu d'année... More

Chapter one
Chapter two
Chapter three
Chapter four
Chapter five
Chapter six
Chapter eight
Chapter nine
Chapter ten
Chapter eleven
Chapter twelve
Chapter fourteen
Chapter fiveteen
Chapter sixteen
Chapter seventeen
Chapter eighteen
Chapter nineteen

Chapter seven

1.2K 63 11
By VFanFicTionSFR


PDV Léonardo


Je la regarda longtemps dans les yeux. Elle me l'avait promis, elle me sortirais d'ici. Je la pris par les hanches et l'embrassa. La voir rougir me plaisait, aucune fille ne m'avait aimé pour ce que je suis vraiment jusqu'à présent. Elle me murmura dans l'oreille qu'il fallait qu'ont rentrent maintenant. Je fis un léger sourire puis nous reprenons la route de l'asile. La porte d'acier se rapproche de plus en plus annonçant la fin de notre sortie.

Remet moi les menottes, sinon c'est suspect. Dis-je en tendant les poignets vers Marie. Elle me les mirent et nous rentrons dans l'asile. J'eus le droit dès mon arrivée à une sérié de fouilles et d'interrogations en tout genre, puis je repris le chemin de ma cellule tandis que Marie avait finit son service.

Eclipse de la journée.

La nuit tombe et l'heure du dîner arrive, une fois par semaine j'ai le droit de dîner avec les autres détenus. Je rejoins Franck qui était comme d'habitude assis sur un fauteuil une cigarette à la main.

Passe moi en une. Dis-je en m'asseyant l'accoudoir du fauteuil.

Je vais te les faire payer à force petit con! Dit Franck.

Je te dirais la même chose pour les bouteilles d'alcool que je te ramène vieux chacal! Dis-je en rigolant. Il finit par me donner une cigarette ainsi que du feu sans broncher.

Tu verras quand t'auras mon âge! Tu fais le malin avec ta jolie petite gueule de branleur! Dit-il. Franck atteint la cinquantaine même si il me dit avoir 35 ans. D'ailleurs? Sa fait depuis très longtemps qu'il a 35 ans.

Comment ça se passe avec la petite infirmière? Ajouta t'il.

Elle s'appelle Marie et t'as pas intérêt à lui tourner autour. Dis-je en plaisantant.

Moi non, mais j'en connais un qui ce la ferais bien! Dit-il en écrasant sa cigarette par terre.

Qui ça?! Dis-je en me levant et le regardant dans les yeux méchamment. Il ne me répondit pas et jeta un coup d'oeil vers la porte. Je me retourne et vis Stuart en train de surveiller l'entrée de celle-ci.

C'est lui?! Dis-je en pointant Stuart du doigt. Il hoche la tête me confirmant ma pensée. Je n'attends pas et me dirige vers Stuart.

Alors Di Caprisun, t'es sortis aujourd'hui ? Tu as tués personne pour une fois Dit-il en rigolant avec son collègue. La colère monte en moi, il m'a suffit de l'imaginer en train de tourner autour de Marie pour lui foutre un énorme coup de poing dans l'estomac puis dans la gueule. Nous nous battons jusqu'a ce que d'autres surveillants interviennent et m'enfilèrent une camisole de force avant de me conduire dans une cellule d'isolement. Une cellule dont les murs sont matelassés et où personne ne peux m'entendre.

Eclipse de la nuit

PDV Marie

J'arrive devant la celulle de Léonardo surprise de voir que celle-ci est vide. Un surveillant m'indique qu'il se situe en cellule d'isolement, il m'y accompagne. Je descends plusieurs escaliers et arrive dans un couloir encore plus lugubre que les autres de l'asile. Quelques néons à moitié grillés éclairent vaguement le couloir étroit, nous arrivons devant une grande porte d'acier. Le surveillant sortit de sa poche un énorme trousseau de clés et ouvre la porte. Elle donnait sur une grande pièce entourée de cellules ressemblant à de grandes boîtes. Deux médecins passaient devant chaque cellule et regardaient par une toute petite ouverture le comportement des patients avant de prendre quelques notes. Le surveillant qui m'avait accompagné jusqu'ici repartit et je m'avança vers un des deux médecins.

Bonjour, où se situe Léonardo Di Caprio je suis son aide soignante. Dis-je en serrant la main du médecin.

Il est dans la cellule 4, il a eut une crise hier et a frappé un des surveillants. Dit-il.

Pour quelles raison a t'il fait ça? Il était tout à fait normal quand je l'ai quitté hier. Dis-je.

Vous savez, il est très courant qu'une crise survienne soudainement chez nos patients sans aucune vrai raison. Surtout dans le cas de Léonardo. Dit-il.

Il n'y a pas moyen de les stopper? Ajoutais-je.

Il est fou, il ne se contrôle pas... Ajouta le médecin. Je détestais entendre cet adjectif "fou". Je m'avance vers la cellule 4 et passe mon œil dans la fente, ce que je vis me rendis triste... Léonardo avait la tête contre un des mur matelassé. La camisole de force l'empêchait de bouger le haut de son corps.

Il doit dormir maintenant, il a passait toute la nuit a se cogner contre les murs en criant de drôles de choses.... Dit le médecin.

Quelle genre de choses? Dis-je.

Il a crié au moins 50 fois le mot "Imperium". Dit-il.

Qu'est ce que sa veut dire? Dis-je.

Dans l'Antiquité romaine se serait celui qui détient tous les pouvoirs de l'Etat. Dit le médecin. Peut être que Léonardo est une grand passionné d'Antiquité Romaine qui sait?

Quand va t'il sortir d'ici? Dis-je.

Dans quelques heures, le temps qu'il se soit complètement calmé. Dit le médecin. Je le salua et décide de m'occuper à l'asile autrement en attendant le retour de Léonardo. Je me rends dans la salle commune avec tous les patients. Je retrouve Stuart qui était en train de boire un café tout en surveillant les patients.

Salut Marie! Dit Stuart en me voyant.

Salut, c'est vachement calme ce matin. Dis-je en me dirigeant vers la machine à café.

La tempête Di Caprio n'est pas là c'est pour ça! Dit Stuart en rigolant.

Pourquoi t'a t'il frappé hier? Dis-je.

J'en sais rien, je lui est juste demandé comment il allait et il s'est jeté sur moi. Je ne cherches plus à comprendre ce gamin... Dit-il en haussant les épaules. Je ne pouvais pas m'empêchée de douter de sa version même si je ne lui fit pas savoir. Je passe toute la matinée à parler avec Stuart en préparant les médicaments des patients. Nous parlons de tout et de n'importe quoi, c'est un homme assez charismatique qui a toujours quelques choses à dire. Il est brun avec des yeux marrons très foncés, son sourire et son uniforme font tomber toutes les patientes de l'asile. Alors que nous parlons Léonardo arrive dans la salle commune les menottes aux poignets. Il me dévisage en entrant dans la pièce, il a d'énormes cernes et ses yeux sont rouges écarlates. Je me dirige aussitôt vers lui.

Comment vas tu ? Dis-je en posant ma main sur son épaule. Il se pousse pour enlever ma main tout en continuant de me faire la tête.

Qui a t'il? Je ne t'ai rien fait! Dis-je. Il ne semble pas m'écouter et demande à un surveillant de le ramener à sa cellule. Alors que le surveillant s'apprête à l'emmener je l'interpelle.

Laissez moi faire je vais le ramener. Lui dis-je. Il accepta et je conduis Léonardo dans sa cellule. Il marche devant moi dans les couloirs sans dire un mot, sans même se retourner, ce qu'il a pourtant l'habitude de faire.

Tu veux toujours pas me parler? Dis-je.

Pourquoi parles tu avec ce gros fils de pute de Stuart ! Dit-il en se retournant brusquement.

Je travaille ici, c'est juste un collègue! Dis-je.

Ne lui reparle plus jamais à partir de maintenant! C'est clair?! Dit-il en se mettant face à moi pour essayer de m'intimider.

Non mais tu te prends pour qui ? Je parles à qui je veux et tu ne m'en empêcheras pas. Dis-je en croisant les bras autour de ma poitrine.

Fais pas ça sinon... Dit-il. Sa respiration s'accélère et ses poings se serrent.

Sinon quoi Léonardo? Dis-je en fronçant les sourcils. Il se rapproche de plus en plus de moi, je ne compte pas me laisser faire cette fois ci. Je reste les bras croisés en le regardant. Soudain il me pris à la gorge et me plaqua contre le mur, je n'eus pas le temps de lui en empêcher et me voilà face à un Léonardo en pleine colère. Il se colle à moi de façon à ce que je sente sa respiration, il met son genou entre mes cuisses pour éviter que je ne lui échappe. Je mets mes mains autour de son cou bien décider à me défendre, ont s'étranglent tous les deux.

Marie me force pas à te faire mal. Me murmure t'il dans l'oreille en serrant un peu plus fort mon cou. Je suis son mouvement et serre encore un peu plus son cou.

Marie arrête je vais te faire mal! Crie t'il en serrant encore plus fort. J'ai mal mais je ne lâche rien, ce n'ai pas moi qui vais céder aujourd'hui.

Lâche moi Léonardo. Dis-je d'une voix grave, ses mains me serrent de plus en plus le cou, il me regarde dans les yeux en continuant son geste.

Lâche mon cou et je lâcherais le tiens! Dit-il. Je ne comprends pas à quoi il joue mais c'est hors de question qu'il gagne encore une fois.

Marie arrête ça je ne veux pas te faire de mal! Crie t'il en serrant mon cou d'une force inouïe, l'air me vient à manquer. Ma vue se trouble soudainement tandis que mes mains commencent à se libérer de son cou. Il me crie des choses que je n'entends guère. Mes yeux se ferment sans que je puissent lutter, tous mes membres me lâchent et je me sens tomber.

Continue Reading

You'll Also Like

2.2M 52.7K 82
Papa: Je t'aime Benti.. Moi: Moi aussi papa! Je te pardonne! Mais s'il te plait *pleurs*Ne me laisse pas s'il te plaît! Papa: chhhhut benti Je te fa...
189K 4.2K 87
selem aleykoum tout le monde !! moi c'est Nehlya, j'habite dans un quartier avec mes 3frères, Mehdi, Anas, Ryan et ma maman, je n'ai pas de père, mai...
422K 29.3K 44
Cette oeuvre contient plusieurs personnages dont certaines que je qualifient de principaux .Mon protagoniste est une fille belle, séduisante ,vicieu...
190K 14.3K 76
Lui qui ne voulait plus jamais aimer... Elle qui rêve d'un grand amour...