Je sorti nue de la salle de bain et j'avais retiré les bandages. Damien était allongé nu sur le lit en étoile, regardant le plafond. Je m'avançai vers lui avec un sourire mielleux. Je m'étais mise à califourchon sur lui. Il me regardait avec plein de désir dans les yeux, mais baissa la tête triste vers mon ventre. Je ressentis son inquiétude et sa peur de me faire mal, mais je lui rassurai que rien n'allait m'arriver. Je senti son désir se durcir et me plaçai pour le laisser entrer. J'ondulais sur lui des mouvements de va et vient. Je me mordis les lèvres en signe d'excitation... Je sentais mon pouls dans mon sexe... Puis, je vis le regard de Damien sur mon ventre et une petite lueur bleue fit disparaitre la blessure.
Je le regardai avec un petit sourire... Et là, il me renversa sous lui. Ma bouche et la sienne ne faisait plus qu'un... nos langues se caressaient dans une danse quasi divine. Il prit mes seins dans sa bouche pour les suçoter et les mordiller. Je laissais sortir des sons de ma bouche qui augmentait le désir de Damien. Il descendit sa bouche vers mon sexe et je me cambrais. Je sentais sa langue et ses mouvements de doigts, j'avais chaud... Je le voulais en moi... Je l'agrippai... et j'écartai mes cuisses pour lui donner la place entre mes jambes. Il y entra doucement et je lui soufflai :
- Je t'aime Damien.
- Je t'aime Alexandra...
- Laisse-moi te faire voir comment je te vois et comment je t'aime.
Je plaquai mes lèvres sur les siennes et je lui fis par de mon pouvoir. De ma vision partagée. Il voyait ce que je voyais et ressentis ce que tout ce que j'avais ressenti pour lui, jusqu'à ce jour. Une larme solitaire coula sur sa joue, il avait finalement compris comment je pouvais l'aimer, même si je n'avais pas de mot pour le décrire. Damien amplifia ses coups de reins et je laissai son sortir de ma douche à chaque plaisir qu'il me donnait. Je me retrouvais assise entre ses jambes où je pouvais le sentir encore plus profond. Nos deux corps étaient collés et en sueur. Mon excitation était tellement grande, que le mordit au cou et il fit de même. Nous étions tous les deux en extase, dans une explosion de jouissance. Puis, vint le dernier coup de rein et je sentis sa semence se déverser en moi.
Nous furent l'acte de s'accouplé pendant deux jours de temps, combien de fois? Je ne sais plus, j'avais arrêté de compter après la dixième fois. Nous étions collés, lui toujours en moi, épuisé et à bout de force tous les deux. J'avais eu tellement besoin de son toucher, de son amour... Deux mois dans le coma, j'en avais un peu souffert et lui plus que moi, puisqu'il ressentait tout.
On toqua à la porte et Damien poussa un fort grognement. Il ne voulait pas bouger et voulait toujours restés dans cette position, en moi. On cogna de nouveau et avant qu'il grogne, j'avais dit à la personne de rentrer. Damien me jeta un regard et me recouvrit. Il ne voulait pas que quelqu'un pose le regard sur moi et je ne pus retenir un petit rire.
La personne qui était entrée, c'était Bast. Je l'aurais dû le devenir. Il nous regarda avec un sourire et avait fini par dire :
- Je suis désolé de vous interrompre... Mais Damien, nous avons besoin de toi... Pour les préparatifs.
- Vous n'êtes pas capable seul? Grogna-t-il.
- Hmm... Je doute que les choix de Christina, te fasse plaisir, mon ami.
Je regardai Damien en lui donna un baiser sur la joue.
- Vas-y! Je vais aller prendre une douche....
- D'accord.
Bast sorti et mon âme-sœur se releva, mais son désir n'était pas toujours descendu. Je le trouvais tellement sexy... ses cheveux en bataille, en sueur et ses bras couvert de tatouage. Je me mordis la lèvre et je rougis de voir que mon âme-sœur était un bel appolon.
- La vue de te plait!?
- Plus que tu le penses!
- Ne me regarde pas comme ça... Sinon, je ne pourrais pas sortir et j'aurais encore le goût de te faire l'amour...
- Hmm... ça ne me dérange pas.
Il rit.
- Mais non... Vas-y! De toute façon... Je vais aller prendre une douche et je dois parler avec James.
Il arque un sourcil.
- Ce n'est rien... Ne t'en fais pas.
Il grogne.
Je me lève et lui donne une tape sur la fesse avant de m'enfermer dans la salle de bain.
- Tu n'as pas fini avec moi, mon amour.
- C'est ce qu'on verra.
Je l'entendis claquer la porte et je fis couler l'eau de la douche. Je passais une demi-heure sous l'eau et j'appelais James par le biais de notre lien de venir dans notre chambre. Une fois séché et habillé, je sorti et vis que mon ami était dans déjà arriver. Il me regarda avec un sourire et me dit :
- Pourquoi voulais-tu me voir?
- Et bien... J'ai un service à te demander...
- Hmmm.... Dit toujours.
- Comme tu sais... Nous allons avoir de la famille et des amis... Mais je n'en ai pas beaucoup... J'aimerais donc, tu retrouves des gens pour moi, s'il-te-plait.
- Des gens? Des humains?
- Non... Des loups... Ils sont solitaires... C'est un couple, la dernière fois, que je les ai vu, c'est quand je les ai quitté pour rejoindre l'Amérique.
- Tu penses qu'ils sont toujours en vie?
- Je ne sais pas... Ils ont tellement fait de choses pour moi... C'est grâce à eux, si je suis en vie.
- Bien... Où est-ce que je peux les trouvés?
- En Espagne... À Bercelone. Ils sont fermiers, du moins, ils étaient. Le loup s'appelle Emelio et la louve s'appelle Claudia.
- J'essayais de les retrouver, s'ils sont toujours en vie....
- Merci.
James était parti depuis la veille et je n'avais toujours pas eu de nouvelle de lui. Les préparatifs avançaient à bon pas... Christina était surexcitée et sautait partout comme une vraie gazelle. Je ne lui avais pas reparlé depuis mon réveil et j'avais ce petit pincement au cœur. Je l'avais donc retrouvé dans a cuisine avec Bast qui essayait de trouver une musique et je riais de la voir agir comme une vraie gamine. Je l'interpelle et elle vient me voir.
- Christina... J'aimerais te dire que je suis vraiment désolée... On se sait pas vraiment reparlé.
- Oh! Ne t'en fais pas... Je comprends... tu sais... Et je comprends que tu avais un besoin à ton réveil.
Je lui souris.
- Aimerais-tu m'aider à trouver quelque chose?
- Oui bien sûr, c'est quoi?
- Hmmm... Quand vous avez emménagez ici, restait-il des choses du passé?
- Oh oui... Mais Damien a fait mettre les choses dans la tour ouest... Il n'y a personne qui y va...
- Viens avec moi...
Christina sautait derrière moi, je l'aimais bien, mais elle dégageait trop d'énergie. La porte de la tour ouest avait condamné surement sous les ordres de mon âme-sœur. J'enlevai avec ma force de loup, les planches et j'entrai. Christina était derrière moi. Il y avait beaucoup de poussière et je pouvais encore sentir l'odeur de mes chers disparut. Je n'étais pas sûr de savoir ce que je cherchais...
Au bout, d'une heure.... Christina trébucha sur un gros coffre. Je le reconnu immédiatement. C'était le coffre qui était au pied du lit de mes parents. Je fus ému. Je forçai un peu la serrure et je l'ouvris. Il y avait beaucoup de chose et je tombai sur une grande couverture avec le symbole de notre famille. Elle recouvrait quelque chose. Je commençai à le défaire et je tombai sur une robe blanche. Je ne pus de m'empêcher de pleurer....
- Lexie! Qu'est-ce que c'est? Me demande mon amie.
- C'est.... La robe... de mariée de ma mère.
- Oh... Je suis sûre qu'elle serait ravie que tu l'a porté... Viens... Il faudrait aller te préparer.
- Oui.