Ceci est un message venant d'un jeune homme sur un forum de discussion. Un ami m'a envoyé les messages, mais il n'a pas pu me donner l'URL du forum, car la personne a effacé le message (vous comprendrez pourquoi en lisant la suite). L'homme souhaitait avoir un coup de main visiblement, et j'ai donc décidé de faire passer son message, afin que quelqu'un puisse lui donner une éventuelle réponse pouvant le rassurer ... Ou pas.
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Message envoyé le 14 Mars 2016
Bonjours, je m'appelle Jérémy. Je viens d'habiter dans un petit appartement depuis deux jours, et lorsque j'ai fais quelques travaux bénin, j'ai trouvé un gros livre assez vieux sous l'évier, caché derrière la tuyauterie. J'ai voulu le feuilleter, histoire de connaitre le propriétaire de ce livre délabré, mais les premières pages n'étaient constitués que de dessins très étrange de mauvais goût. Sur la plupart d'entre elles, il y avait des représentations de cadavres mutilés. Cela ne m'a pas rassuré, cependant j'ai juste supposé que c'était un artiste un peu cinglé. Mais en continuant de tourner les pages, j'ai trouvé des mots qui n'avait aucun sens. Mais plus loin, je vis des pages noir d'écriture, avec des dates, comme dans un journal. J'aimerais vous faire partager ma découverte, en espérant que quelqu'un puisse m'aider à comprendre quelque chose.
Certains mots sont incompréhensible, et il y a beaucoup de paragraphes, mais tout ceux que j'ai vu avant la date du 25 Février 1996 sont écrites dans une langue que je ne connais pas, probablement du russe d'après ce que je sais. Donc je vais essayer de retranscrire tout ce que je peux, en évitant de divulguer tout ce qui concerne les lieux cités, afin de préserver ma vie privée. Voici les textes:
25 Février 1996
Me voilà enfin arrivé dans ce beau pays qu'est la France. Je ne maîtrise pas bien la langue, surtout en ce qui concerne l'oral. Je ne sais pas comment je vais m'intégrer, mais je vais me débrouiller. Je vais commencer par écrire dans ce journal de bord en français, cela m'aidera sûrement à mieux comprendre cette langue [...]. Je dois rejoindre mon correspondant à la rue (nom de ma rue), afin de pouvoir m'installer comme il se doit ! Pour l'instant je suis toujours dans le train, mais la cadence des rails semble se ralentir, je dois sûrement être arrivé au [...].
J'ai enfin sorti toutes mes affaires de mes valises. Il faut dire que je ne suis pas venu les mains vide jusqu'ici. Il me fallait prendre mes affaires, ainsi que tout mon matériels de travail. Mon correspondant est comme je l'imaginais: un humain tout ce qu'il y a de plus banale. Comme le dit la rumeur, il est macho, et il ne s'en cache pas. Je ne savais pas que les français souffraient autant de complexe d'infériorité, même à notre époque. Personnellement, pour moi tout les êtres humains sont absolument répugnant que ce soit des hommes ou des femmes. Nous avons dîné, puis je suis partis dans la chambre d'ami. J'ai hâte d'être demain pour visiter cette belle ville qu'est (nom de ma ville).
26 Février 1996
Je suis plutôt satisfait par l'accueil des personnes vivants ici. Quand mon correspondant a annoncé aux habitants de l'immeuble que j'étais arrivé hier soirs, ils sont venu me voir pour m'offrir des tas de chose en guise de bienvenu: des [...], quelques fruits dans un panier et des gâteaux savoureux. Je suis comme on dit en France un ''bon vivant'' en ce qui concerne la nourriture. J'aime particulièrement les [...], mais il semblerait que ce ne soit pas le plat favoris de ce pays. Peut-être qu'à l'occasion je pourrais en préparer avec mon correspondant. Mais l'heure n'est pas aux plats, mais à la découverte. J'ai l'intention d'aller à une exposition de peinture avec mon correspondant. Je ne suis pas toujours sensible à l'art, mais bon, nous verrons bien.
Quel spectacle magnifique ! J'ai vu plusieurs peinture toutes plus saisissantes les unes que les autres. J'ai malheureusement oublié le nom de l'un des artistes, mais il a touché le profond de mon être. Ses tableaux mettaient en valeur la beauté de la dissection et de l'intérieur dévoilé, telle une fleur qui s'ouvrirait après une éternelle obscurité. Bon, étant donné que je suis [...] depuis des années, il est normal que j'ai développé une certaine passion pour mon métier. Après avoir visité ce musée, nous avons pris un café non loin de l'appartement, puis nous sommes rentrés vers 19h30, afin de prendre un bon repas. Si il y a bien une chose que j'entretiens à merveille, c'est mon ventre bien remplit.
28 Février 1996
J'ai fais une découverte plutôt intéressante hier soir après une petite promenade nocturne. Comme je dors très mal, j'ai tendance à me [...] dans les rues pour m'occuper. L'une des voisine de mon colocataire du nom de Valérie, semblerait faire des choses peu catholique les nuits. Pourtant elle ne paraît pas être [...] à première vue. Je serais mal placé pour juger, je ne suis pas non plus un saint. Mais l'avoir vue m'a donné une petite idée. Une idée qui pourra occuper ma nuit prochaine. Je l'ai vue dans la rue [...], à dix minutes d'ici, je n'aurai qu'à y retourner ce soir pour la saluer.
Quelle soirée enrichissante ! Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas ressentis autant de plaisir que cette nuit. Je ne pense pas assez à me détendre, mais il le faut pourtant, sinon ma frustration risquerait de compromettre mon jugement. Son regard remplit d'étonnement quand je l'ai prise d'une main, et son corps contre le mien quand je l'ai soulevé contre le mur... Cela restera l'une de mes meilleurs expérience ici, enfin pour l'instant. J'aurais davantage apprécié le moment si j'avais couvert le mur de son sang, mais je me suis contenté de voir son regard se vider sous la pression de ma main serrant son cou.
1er Mars 1996
Mon correspondant m'a laisser la garde de l'appartement pendant deux jours, car il doit se rendre à [...] pour son travail. J'ai donc décidé d'inviter nos voisins d'haut-dessus à dîner ici. C'est un très jeune couple qui vient d'habiter dans cette immeuble. Ils ne connaissent que très peu de monde. J'ai donc acheté tôt le matin tout un tas de légumes, ainsi que des [...] pour accompagner tout ça. Je ne m'inquiète pas pour le repas: j'ai toujours été un très bon cuisinier.
Le soir lorsqu'ils sont arrivés, tout était près. Ils avaient l'air ravi de me rencontrer. Je les ai débarrassés de leurs [...], puis je les aient accompagnés jusqu'à la salle à mangé. Le repas étaient déjà servie: un gratin aux pommes de terre avec du bortsch. Nous avons donc discutés pendant la dégustation, et je peux dire que c'était des gens très charmant. Une fois le repas fini, je leurs amenèrent le dessert: de la vatrouchka. Mes invités avaient l'air ravi de goûté à des [...] de mon pays. Ils ont presque dévorés le gâteau, comme si ils n'avaient pas mangés depuis des jours. J'étais extrêmement satisfait de moi. J'avais conquis ces gens par mes talents de cuisiné. Ils se mirent alors tout les deux sur le canapé, et je leurs offrir une bière. Je débarrassa la table, et le temps que je revienne dans le salon, mes invités s'étaient endormi, leurs bouteilles à la main. J'ai sûrement mis trop de [...] pour qu'ils s'endorme aussi vite, mais c'est aussi bien. J'ai pris un disque avec des compilations de musique Fox Trot, puis je l'ai inséré dans le lecteurs DVD. Je sais que ce n'est pas de mon temps, mais j'aime écouté ces musiques en travaillant. J'ai ensuite attaché l'homme, puis je l'ai enfermé dans l'armoire de ma chambre. Quant à la femme, je l'ai tiré jusqu'à la cuisine, puis j'ai retiré [...]. Une fois nue, j'ai découpé ses membres avec mes ustensiles de travail. L'odeur de sang m'excitais tellement, que je n'ai pas pu m'empêché de rire. Les éclaboussures de sang après chacun de mes coups sur le mur, donnait un style qui me rappela ma maison. Je commence à avoir un peu le mal du pays. Après avoir séparé les bras, les jambes et la tête du corps, j'observa mon œuvre quelques minutes. Je ne pouvais résister à mes pulsions plus longtemps: j'ai pris [...] et je l'ai léché entièrement. Ce goût exquis du sang, me donna des frissons de la tête aux pieds. Je fis de même avec mes mains, puis je continua mon travail au rythme de la musique. Une fois fini et mon [...] lavé, je partis me couché, l'esprit allégé.
2 Mars 1996
La nuit dernière fut bien calme. L'homme toujours dans l'armoire avait gémit et essayé de crié malgré son [...] sur la bouche toute la nuit. Ces doux son à mes oreilles ont eux l'effet d'une berceuse. Mes rêves étaient remplit de [...] et de sang partout, de charmant hurlement et de visages terrifiés. Le comportement humain m'a toujours fasciné, aussi de ce fait, j'ai voulu tenter une expérience avec l'homme que j'ai gardé en vie. J'ai ouvert l'armoire, mais l'homme ne pouvait pas me voir. Sa bouche ainsi que ses yeux étaient [...]. Je me suis approché de son oreille puis je lui ai chuchoté que j'allais lui préparer [...]. Ma voix le réveilla en sursaut et il se remit de nouveau à produire des cries étouffés. Je le regarda un instant, puis je referma l'armoire. Je partis dans la cuisine, puis je prépara une omelette avec de la viande haché. Je suis retourné dans ma chambre avec l'assiette, et je rouvris l'armoire. Je lui proposa mon plat, mais il [...] la tête, comme pour dire non. Je lui mis alors une gifle tellement forte, que sa tête a rebondit violement dans l'armoire. Son crâne était [...] et du sang en coulait. Je referma l'armoire et je mis l'assiette dans le frigo. Il ne m'avait pas spécialement énervé, mais j'avais juste eu une envie soudaine de le frapper.
J'ai passé le reste de l'après midi à lire un roman, que je n'ai pas aimé d'ailleurs. C'était Le Dernier Jour D'un Condamné de Victor Hugo. Je ne suis pas vraiment d'accord avec lui. Disons que la mort est au fond un soulagement, une libération. Si ces personnes sont si perturbés, c'est peut-être parce quelles ont bien trop souffert. Les humains n'y comprennent rien de rien. Ils n'ont aucune idée de ce qu'est la véritable empathie. Je ferma alors le bouquin, en soufflant un bon coup. Après avoir déposé le livre, je me dirigea vers la cuisine, afin de récupérer le plat que j'avais préparé pour l'homme attaché dans l'armoire. J'ai tout de même pris la peine de le réchauffer, avant d'aller le rejoindre. Encore une fois, il poussa des gémissement en m'entendant arriver, mais il accepta de déguster mon plat. T'en mieux pour lui. Je lui aurai fait goûter à mon poing si il n'était pas satisfait du plat que je lui ai préparé. Même si il n'en a goûté qu'une bouché, j'étais ravi. J'ai ensuite refermé l'armoire, et je partis regarder la télé, avant d'aller me [...] dans les rues. J'ai décidé de rentré à l'appartement lorsque mon ventre se mit à faire du bruit. J'ai mangé une bonne omelette de douze œufs accompagné de truite et d'échalote, avant d'aller me coucher.
3 Mars 1996
Le matin fut calme à mon grand étonnement. L'homme dans l'armoire de criait pas, et mon correspondant n'était toujours pas rentré. J'ai tout de même réussi à occuper ma journée en lisant quelques livres, et j'ai fais un peu de ménage. Il est vrai que l'odeur du sang provoque une sensation de chaleur et de paix dans mes narines, mais je ne pense pas que mon colocataire sera de cet avis. Pour conclure, j'ai été faire quelque courses à [...] pas loin d'ici. Cela à prit pas mal de temps à cause d'une des voisines que j'ai croisé en bas de l'immeuble. Elle s'inquiétait pour les nouveaux voisins que l'on ne voyait plus depuis quelques temps. Je lui ai raconté que mon colocataire avait également disparu depuis la même date que le jeune couple, et elle fut choqué par cette nouvelle. Cette femme avait l'air d'une [...], et allait très certainement tout raconter aux autres habitants de l'immeuble, mais ça m'arrangeait.
L'après midi fut étonnamment calme aussi. J'en ai donc profité pour fouiller un peu dans les affaires personnel de mon correspondant. Je suis quelqu'un d'extrêmement curieux voyez vous. De ce que j'ai pu voir, il était dépressif et [...]. C'est vrai qu'il avait des poches noir sous les yeux, mais avant ma découverte, je supposais qu'il était juste très fatigué. Une fois que je découvris assez de choses, je repris la lecture d'un des livres que j'avais commencé. Mon colocataire rentra vers 15h30, et il n'avait pas l'air très en forme. Je lui ai posé quelque questions, mais je ne comprenais rien de ce qu'il disait. Je l'ai accompagné jusqu'à sa chambre, puis je l'ai installé dans son lit pour qu'il se repose. Pendant qu'il dormait, j'ai préparé le repas pour lui et mon prisonnier. Je suis aller voir mon ami enfermé dans l'armoire pour lui présenter le plat. Il était hésitant, puis il a tout dévoré ce petit gourmant. Une fois cette tâche fini, j'ai réveillé mon colocataire afin de le faire manger. Nous avons mangé tout deux dans la salle à mangé. Au bout de la [...] bouchée, il écarquilla les yeux, comme si c'était le meilleur repas de sa vie. J'étais ravi que mon plat lui plaise autant. Quand il m'a demandé mon secret, je lui ai expliqué que seule la cuisse d'une femme pouvait donner un goût aussi moelleux et savoureux. Il a juste ri en me proposant d'aller dans un bar si je voulais me trouver une fille, mais je crois qu'il n'a pas bien compris que je parlais de ce qu'il était en train de manger. Nous avons un peu regardé la télé, puis nous sommes partie nous coucher.
6 Mars 1996
Il met arrivé beaucoup de chose ces derniers temps. C'est d'ailleurs pour ça que je n'écris que maintenant dans mon journal. Deux jours avant, j'ai pu rencontrer de formidable personnes dans un club de lecture. Pour trouver des femmes, il n'y a rien de mieux comme endroit, et puis cela m'aidera à améliorer mon langage. Mon colocataire n'est pas sortit de chez lui depuis qu'il est rentré. Je pense qu'il ce drogue lorsque je ne suis pas là, mais bon cela m'étais égale. Ce matin, j'ai décidé d'invité l'une des filles du club à venir prendre un verre se soir avec mon correspondant, et elle accepta sans hésiter. On ne dirait pas comme ça, mais j'arrivais à faire faire aux gens tout ce que je souhaitais. Quand je l'ai annoncé à mon colocataire dans l'après midi, il était ravi de rencontrer cette jeune fille, et pris tout le temps de l'après midi pour ce faire beau.
Le soir venu, nous sommes allés chercher la jeune fille devant chez elle. Nous avons dû attendre vingt minutes avant qu'elle ne descende avec une de ses amies. J'étais plutôt ravi de voir qu'il y en avait une autre qui nous accompagnait, mais mon correspondant semblait avoir le traque. La soirée c'est extrêmement bien passé, et nous nous sommes bien amusés. Nous sommes partis dans un bar assez sympas avec une bonne [...]. La seule chose qui me dérangeait, c'était la musique de sauvage qui passait en boucle. Mon correspondant avait l'air de bien s'entendre avec l'une des filles. D'ailleurs, je les aient même vue partir ensemble au toilette. Je n'avais pas vraiment envie de savoir ce qu'il faisait, donc malgré ma curiosité, je suis resté avec mon amie. C'était une fille très [...] et intelligente, contrairement à mon colocataire, avec qui je ne pouvais pas avoir de sujet de conversation très varié. Une fois que les deux autres tourtereaux sont revenues vers nous [...], je leurs donnèrent un verre d'alcool dans lequel j'avais discrètement mis du [...] pour la fille, et de LSD pour mon correspondant. Au bout d'une heure, nous avons raccompagné les deux jeunes filles jusque chez elle. Nous avons d'abord ramené mon amie, puis l'autre fille, mais mon colocataire décida de passer le reste de la nuit chez sa conquête. Je suis donc rentré seul, plutôt satisfait de savoir que je serais seul avec mon prisonnier. Quand je suis rentré, je me suis empresser d'aller regarder dans l'armoire. L'homme était dans un sale état, et il semblait [...]. Il était tout rouge et avait [...] dans l'armoire. L'odeur était assez écœurante. Pour lui apprendre les bonnes manière, j'ai décidé de lui infliger [...]. J'ai commencé par lui couper la langue. C'était assez difficile parce qu'il bougeait beaucoup, mais après quelques coup dans les côtes, il fut plus docile. J'ai pu couper jusqu'à la moitié, mais il bougeait de trop pour que je puisse tout couper avec mon ciseau. J'ai donc tiré très fort sur le reste, pour tout enlever. L'homme poussa un cri effroyable, mais heureusement, les voisins ne semblaient pas avoir prêté attention aux hurlement de l'homme. La langue n'était pas coupé comme je le souhaitais, donc je lui ais mis un coup de poing bien mérité pour son insolence. Je suis partie dans la cuisine pour mettre la langue dans [...], et je pris un [...] au passage avant de retourner dans la chambre. L'homme gesticulait dans tout les sens, sans doute à cause de la douleur. J'ai ensuite pris le [...], pour lui enfoncé dans l'oreille droite. L'homme poussa de nouveau un cri effroyable, mais je ne lui laissa pas le temps de [...] pour retirer l'outil de son oreille et l'enfoncer dans l'autre. Il cria de nouveau, mais il bougeait de moins en moins. Alors qu'il était maintenant sur le sol de la chambre, je lui ai mis un peu de son propre sang dans les yeux, sans enlever son [...]. Il poussa un petit cri, semblable à celui d'une petite fille. J'ai ensuite retiré son [...]. Comme il était aveugle dorénavant, ce n'était plus d'aucune utilité. L'homme avait du sang partout et sentait extrêmement mauvais. Il n'était pas encore mort, mais cela ne saurait tarder. Cela m'excitait toujours autant de voir du sang, mais l'odeur de [...] me gâchait tout le plaisir. Je suis ensuite partie prendre une douche, puis j'ai préparé ma valise que j'ai l'intension de cacher dans un buisson près de la gare, avant d'aller voir mon amie une dernière fois avant de rentrer chez moi. J'ai tout préparé afin de n'avoir aucun problème. Je me suis même entaillé le bras sur le canapé pour être sûr que tout est bon. J'ai hâte de rentrer chez moi. Je reviendrai sûrement ici. En attendant, je vais laisser mon journal ici. Même si quelqu'un le trouve un jour, personne ne pourra savoir ce qu'il c'est vraiment passé. Et puis il faut que je m'en rachète un nouveau. Au revoir journal, à bientôt.
Voilà, cette histoire de cinglé est enfin terminé ! A votre avis qu'est ce que je dois faire ? J'ai déjà appelé la police, mais ce type c'est possible qu'on le retrouve ?? Comme il a supposé qu'il allait revenir, je devrais partir de chez moi ?? Je ne sais pas quoi faire ! Aidez moi s'il vous plait !!
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Salut mes petits cobayes !☻
Alors, vous en pensez quoi ? Canular ou réalité ? C'est toujours la même question quand on est confronté à un problème sans véritable preuve. Moi personnellement, par sécurité, j'aurai appelé la police si j'étais tombé sur ce journal XD Sinon j'espère que vous allez bien, et je m'excuse pour mettre autant de temps avant de publier de nouvelles histoires :-( Mais comme toujours, mes cours me prennent BEAUCOUP de mon temps :'( Vivement la fin XD Si ça vous a plu, laissez un petit commentaire, j'aimerai beaucoup avoir votre avis sur cette histoire :-) Ah, et certaines fautes d'orthographes ont VOLONTAIREMENT été laissé, alors ne m'incendier pas là dessus en commentaire pour les puristes de la langue française XD
Sur ce, bonne nuit mes petits hi hi hi ...