Histoires Terrifiantes

Petite Balade

    Comme tout les matins, je suis dans le tramway pour rejoindre le lycée. Qu'est ce que je déteste les transports en commun : les gens y sont tellement serrés, que l'on peut sentir l'odeur corporel de chaque personnes. Le pire c'est que tout le monde s'agglutines devant la porte, puis pousse tout le monde afin de pouvoir sortir de là dedans ... Comme vous avez pu le remarquer, je n'aime pas trop les êtres humains. Ils sont ... si ... Il n'y a même pas de mot assez fort qui existe pour exprimer mon dégout. Pour essayer d'oublier un instant cette endroit, j'ai décidé de mettre mes écouteurs dans les oreilles pour écouter de la musique. C'est la seule chose qui arrive à m'apaiser. Une fois arrivé à mon arrêt, j'ai essayé de sortir, mais des merdeux bourrinaient pour rentré dans le tramway. Cela me mit davantage en colère, donc j'ai bousculé tout le monde afin de pouvoir me barrer. Putain de merde, la journée s'annonce mal pour moi.

Une fois à l'air libre, je pu enfin souffler un bout coup, puis j'ai marché vite afin de m'éloigner le plus loin possible de ces gens exécrables. Une fois à environ un mètre plus loin, je sortie mon paquet de cigarette de ma poche, mais je me fis interpeler par une jeune fille au moment même où j'avais ouvert mon paquet.

« - T'aurais pas une clope s'te plaît ? »

Le langage de cette fille fit remonté ma colère. En plus d'être impolie, elle m'a demandé au moment où je sortais mon paquet pour que je sois contrainte de lui en donner une, sans pouvoir avancer le moindre prétexte. Je l'a fixa pendant un moment, puis je lui en passa une, avant que je ne perde patience. Elle l'a prit, et avança plus loin, sans même me remercier. Cette petite garce en plus d'être impolie, portait un legging qui faisait ressortir son gros cul, un gilet trop large pour elle, et était maquillé comme une prostitué. En plus de ne pas avoir un langage très châtié lorsqu'elle demandait un service à quelqu'un, elle manquait cruellement d'élégance et de goût. Après quelques minutes, elle avançait toujours devant moi. Elle devait sûrement être dans le même lycée que moi, ou dans celui qui ce situait un peu plus loin. Plus je la regardais, plus j'avais envie de lui faire du mal. Ce n'est pas du tout mon genre de frapper les autres, encore moins les filles, mais cette fois ci, quelque chose me poussait à me défouler sur cette petite traînée. Rien que d'entendre sa voix ... la regarder marcher ... ses formes disgracieuse ... sa démarche si peu féminine ... ses cheveux puants l'ammoniac ...

Au bout d'un moment, elle tourna dans un petit chemin désert à droite. Pour rejoindre mon lycée, il aurais fallu que je continue encore tout droit, ... mais j'ai préféré suivre cette fille. Nous étions seules dans cette petite ruelle isolé qui semblait infinissable. Mon cœur c'est alors accéléré, et mes pas aussi. Plus je me rapprochait d'elle, plus mon visage était défiguré par un sourire affreux. Elle se retourna un instant, puis lorsqu'elle me vit, son regard exprima une grande peur. Elle regarda droit devant elle en faisant semblant de ne pas m'avoir vue, puis elle marcha plus vite. Cette réaction me rendit à la fois en colère, et heureuse. J'avança alors encore plus vite, et au moment où cette fille voulut jeter de nouveau un coup d'œil derrière elle, il était déjà trop tard : mon couteau était enfoncé dans son estomac. Elle me regarda terrifiée, mais moi je l'a regardais, souriante. Elle n'arrivait pas à crier, mais elle fit de petit gémissements qui me fient rire. Je tourna alors le couteau dans sa chaire afin de faire couler encore plus de sang. Se liquide chaud coulant le long de ma main me fit pousser un rire inhumain. Elle eût un sursaut puis essaya de reculer, mais je l'attrapa par le cou et enfonça le couteau encore plus profondément dans sa chaire. Ses yeux avaient l'air de vouloir sortir, un peu comme une balle voulant sortir d'un flingue. L'adrénaline était si intense que je ne voulais pas m'arrêter là. Je ressortie d'un coup sec le couteau de son ventre, puis elle tomba au sol. Heureusement elle était encore en vie, se qui me laissais un peu de temps pour m'amuser davantage. Je me mis assise à côté d'elle, puis avec mon couteau, j'ai extrais son œil gauche de son orbite. Elle poussa un hurlement tellement fort, que cela me brisa presque les oreilles. Je laissa son œil pendre sur sa joue, puis je lui coupa la langue, afin qu'elle ferme sa gueule. Je pris ensuite son œil dans ma main, puis je tira violemment dessus. Elle sortit un espèce de bruit ressemblant aux plaintes d'un animal. J'avais tellement serré son œil dans ma main, qu'il était en bouille. Du liquide visqueux et noir dégoulina alors sur ma main, et une odeur répugnante s'en dégageait. J'attrapa alors la fille par les cheveux, puis je l'égorgea avec une telle force, que sa tête de truie resta dans mes mains.

    Je repris alors soudain mes esprits devant un feu. J'étais sur le chemin du lycée, et la fille que j'avais imaginé massacrer venait de tourné à droite. Je l'a regarda un instant, puis je continua mon chemin jusqu'à mon établissement, avec un sourire malsain gravé sur mon visage.

____________________________________________________________________

Salut les petits démons ☺

Alors comment vous expliquez comment m'es venue cette histoire ... ? Et bien je peux juste vous dire que d'après une étude, on rencontre dans une seule journée au minimum 7 psychopathes : cela peut être des passants, ou des amis à vous ...

Sur ce, faites de beaux rêves hihi ... !