Salam mes oukthys ❤️🩹
Alala cette chronique !
C O M M E N T E R
Tiktok: @moietmoi0.9
📸: @mes_oukthys.
Que allah vous ouvre les portes du paradis.
—————————————————
Oh mon cœur, j'ai l'impression qu'il était en train de lâcher. Une dame s'approche de moi, et tiens là main, avec fermeté.
Madame: nous allons commencer le travail, vous allez devoir accoucher. On ne pense pas que votre bébé survivra, nous vous avons privilégié vous mais on est essayera. Mais oubliez pas que il y a de très grandes chances que vous y restez tout les deux. Ont n'a besoin de votre courage madame vous avez l'air d'une battante, montrez le nous.
Les paroles de la dame me réchauffer le cœur, et puis, sans vous mentir, le fait qu'elle soit auprès de moi, et qu'elle me rassure m'aidait réellement psychologiquement. Plus jamais de ma vie, je me moquerai du travail des femmes qui servent à ça.
Elle me tenait la main pour pas que je bouge trop. Je plie mes jambes vers moi. Il met une couverture au-dessus de moi. J'avoue que comme position c'était un petit peu bizarre et très gênant mais sur le coup on s'en fout littéralement, on n'en a tous rien à foutre. Je vais accoucher ou je vais mourir.
Ma douleur était toujours aussi présente, et pesante, et je savais que là sa allait être dur très dure.
الله u akbar.
Z A Y R
Le médecin était venu me voir pour m'expliquer qu'elle allait commencer à coucher, parce qu'il fallait quand même enlever le bébé du ventre, même si il ne sortira pas en vie. Il a dit que c'était impossible parce que ils avaient injecter un truc assez loin, et c'était obligé que ça tue le bébé il fallait qu'elle reste en vie. Elle m'en voudra toute ma vie, j'en suis sûre, mais je l'aime.
Dans la salle, il ne restait que Sofiane Kaïs, moi, Lina et Aya. Ont n'a forcé Khalti à rentrer bon j'avoue, on a pas seulement forcé, on l'a clairement fait sortir de l'hôpital. On pouvait pas la laisser rester ici. Je ne veux pas qu'il est une crise de panique ou quoi que ce soit je veux que ça santé à elle ce pote bien. J'arrive pas à m'occuper assez de celle de ma femme, il faut au moins que je m'occupe de celle de sa mère.
J'étais toujours assis ma tête entre mes mains. Le suspense était insoutenable. Je voulais juste ma femme. الله s'il vous plaît Pardonner tous les péchés que j'ai fait pardonner les meurtres que j'ai pu commettre contre votre volonté, je me suis prosterner devant vous des milliers de fois pour que vous me fassiez méséricorde de tous les péchés que j'ai pu commettre.
J'essaye de rester le plus droit possible, même si parfois c'est difficile car cette dunya est difficile. Mais ce n'est pas son heure. S'il vous plaît الله j'ai besoin d'elle.
C'est vous qui saviez mieux que quiconque à quel point je vous ai parlé d'elle à quelle point je l'aime.
Je n'ai besoin que de vous.
Cinq minutes, un blanc s'installe. Et si on a aussi commencé à entendre des cris des énormes cris. Elle provenait de la chambre. J'en ai entendu des accouchements, des femmes qui accouche, et j'en ai entendu plusieurs fois, mais ce genre de cris de détresse jamais. Je pense quand même à l'autre bout de la vie, il pouvait l'entendre.
Selma... Alala.
Je me lève directement pour regarder dans la vitre. Mais les rideaux étaient toujours fermé, je pouvais pas y aller c'est souffrir comme ça c'était au dessus de mes forces. Vraiment...
Je t'appais la porte coeur est âme, sans m'arrêter en les demandant de s'arrêter. Et de la laisser. C'est cris je ne pouvais pas les entendre. Mais c'est alors que Kaïs me prends la main.
Moi: Lâche moi ! Laisser la tranquille !
Mais il a réussi à me faire quitter à côté de la porte. Il m'emmène en dehors de l'hôpital.
Kaïs: Zayr CALME TOI !
Moi: me calmer ? ELLE CRIS !
Kaïs: Parce que ELLE ACCOUCHE !
Je m'adosse sur à mur et m'assoie au sol et dépose ma tête dans les mains, Kaïs s'assoit à côté de moi.
Kaïs: tu l'aime. Sa ce vois.
Je reprends mon souffle et relève la tète.
Moi: comment ne pas l'aimer elle est belle, gentille, incroyable, elle tellement...
Kais & Moi: Selma.
Je me met à sourire en pensant a elle.
Moi: je peux pas la voir souffrir.
Kais: je sais mais faut que tu fasse confiance en الله, Zayr, je sais pas si tu m'en veux encore pour les histoires d'avant, c'est quand même de ma faute, si vous vous êtes pas vus pendant un an.
Moi: c'est vrai que je t'ai toujours voulu pour ça. Mais c'est fait, c'est pas grave, je t'ai pardonné à partir du moment là où tu as accepté notre mariage.
Kaïs: en fait, si tu aurais pu tout simplement me frapper et me séquestrer ou jouer ton pouvoir.
Moi: J'aurais pu c'est vrai, mais t'es mon sang Kaïs. Et je te ferai jamais sa.
Il me sourit, et il se lève.
Kais: allez viens, on va voir ta femme.
Je me suis levé et nous sommes reparti dans la salle d'attente. Ces cris de douleur étaient toujours là c'est pas comme ci ils pouvaient disparaître. Non c'est pas comme ci. Malgré les cris. Je me rassois la tête dans mes mains, j'avais un point dans le cœur. Sa fait mal vraiment.
{...}
Toujours des cris mais ils c'était légèrement calmé je pense que l'ont a passer 5h a écouter sa. Lina et c'était endormi sur Kais en larme et Aya aussi sur Sofiane en larmes. Sofiane et Kaïs avait les yeux rouges. Sa ce voyais qu'il avait pleuré. Moi je n'arrivais a penne à dormir. Je n'avais même pas sommeil honnêtement.
Le médecin sort de la salle.
Médecin: vous ne vous êtes toujours pas endormi ?
Moi: non ! Comment elle vas ? Elle vas bien ?
Médecin: oui nous attendons juste de sortir l'enfant le travail s'achève bientôt, même si il ne sortira pas en vie.
Mes yeux devenait rouge mes je lève les yeux pour ne pas pleuré. Je ne pleure jamais en tout cas presque jamais.
Médecin: vous pouviez rentrer si vous voulez, mais il faut d'abord que vous preniez un truc pour entrer.
Moi: oui quoi ?
Médecin: suivez moi.
Il me ramène dans un sorte de hangar. Il y avait des blouses des sortes de trucs pour se camoufler, j'ai pas trop compris. Il me donne une combinaison bleue que je peux enfiler par-dessus mes habits, pour ne pas me salir avec quelques petites protections pour les mains. Il me demande de les porter pour que je rentre dans la salle, c'est ce que je fais. Quand j'ai fini, je le suis jusqu'à la salle et je rentre.
Je la voyais là allongé. Encore en train de crier. Elle avait mal. Je la voyais pousser de toutes ses forces. Je me mets à côté de elle. Au départ, elle ne me voit pas, puis quand elle voit mon visage, elle sourit son visage s'illumine. Je me mets à côté d'elle, et prends la place d'une dame. Et je maintiens la main.
Moi: t'en n'a bavé aujourd'hui princesse je te promets que dès qu'on rentre à la maison, tu vas manger des fraises.
Et elle se met à sourire. Malgré sa douleur. J'avais les yeux très rouge, mais j'ai cligner pour pas que une larme coule.
Les cris ce son estompé petit à petit et sa a fait place à un autre cris mais pas celui de ma femme non. Celui d'un bébé. Le médecin écarquille ses yeux. Je ne comprenais pas ce qui se passer. Tous les médecins étaient comment dire à bah sourdie ça se voyait qu'ils étaient plus perché que nous.
Selma et moi nous regardions. Et je vais voir le médecin monter quelque chose ou plutôt quelqu'un, et c'est là où je le voit il avait un bébé dans les mains, qui pleurait. Selma tend le bras et le médecin dépose le bébé dans ce bras.
Médecin: c'est un garçon.
Il le dis stupéfait par la scène. Ils n'en croyaient pas leurs yeux.
...: mais.. comment....
Moi: un garçon.
Elle me regarde en le disant, je voyais ses larmes couler à flot. Elle était heureuse, ces mois et de combat ont servi. Pour de vrai.