Coeur Ardent - La légende d'A...

By Blue_Fantazia

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Un esclave ne représente rien aux yeux de ces bourgeois. Dans le royaume de Drakna, le jeune Izuku ne dira p... More

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Chapitre 1 : La prison dorée
Chapitre 2 : Divine créature
Chapitre 3 : Envoûte-moi
Chapitre 4 : Accepte-moi
Chapitre 5 : Doute et incertitude
Chapitre 6 : Fuis-moi, j'aime ça
Chapitre 7 : Le roi colérique
Chapitre 8 : Deviens nôtre
Chapitre 9 : Puis-je vous goûter ?
Chapitre 10 : Le peuple de Drākõnia
Chapitre 11 : Câlin poisseux
Chapitre 12 : Un grand voyage
Chapitre 13 : Le couturier extravagant
Chapitre 14 : Un bain à trois
Chapitre 15 : La cascade de Féria
Chapitre 16 : Mourir peut attendre
Chapitre 17 : Un réveil difficile
Chapitre 18 : Réveille-toi
Chapitre 19 : Retrouvailles humides
Chapitre 20 : Oh, l'amour~
Chapitre 21 : La cité rocheuse
Chapitre 22 : La cité marine
Chapitre 23 : Révélations inattendues
Chapitre 24 : Racontez-moi
Chapitre 26 : Le calme avant la tempête
Chapitre 27 : Unissons nos forces !
Chapitre 28 : Le héro ailé
Chapitre 29 : Ateas, notre défunt roi
Chapitre 30 : La bataille finale
Chapitre 31 : Dévorez-moi
Chapitre 32 : La famille s'agrandit
Epilogue
- Le goût de la liberté -
- Les flammes de ton cœur -
- L'amour dans les ténèbres -
- L'avenir dans le sang -

Chapitre 25 : Regarde nous !

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By Blue_Fantazia


Je viens de tout leur raconter, n'oubliant aucun détail. J'ai seulement hormis de dire certaines choses dont Yagi m'a fait part, car cela relève de sa vie privée. C'est à lui d'en faire part, pas à moi. En tout cas, à cette allure, la nuit risque d'être courte mais j'ai un besoin viscérale de parler à mes compagnons. Leurs conseils me sont indispensables mais aussi leurs avis. Ils m'ont écoutés sans broncher, sans m'interrompre et je leur en suis reconnaissant. Couché entre eux, Katsuki caresse mon bras de la pulpe de ses doigts, alors que Eijiro caresse ma cuisse. Leurs caresses sont réconfortantes mais aussi déstabilisantes. J'ai eu du mal à garder le fil de mes pensées tant cela m'a manqué. J'ai arrêté de parler, fermant les yeux pour savourer, et ils continuent leur manège.

- Alors maintenant, tu as un oncle ? Demande Eijiro en embrassant mon épaule.

- Oui. Dis-je en évitant le plus possible de gémir. Et bientôt, j'aurais un cousin. Eijiro descend plus bas, mordillant le haut de mon bras. Je baisse mes yeux pour le voir me fixer de son regard de braise. Eijiro ? Il bifurque sur mon ventre, léchant mes côtes. Ah ! Je gémis, mais plaque brutalement ma main sur ma bouche. Oboro et Yagi sont à côtés, ils peuvent m'entendre. En tout cas, cela semble satisfaire Eijiro puisqu'il sourit diaboliquement.

- Tu sais, Katsuki m'a fait part de quelque chose pendant que tu discutais avec ton oncle. Je fronce les sourcils, le regardant enfoncer sa langue humide dans mon nombril. C'est un endroit très sensible. Apparemment, tu as tendance à avoir les yeux ailleurs. Immédiatement, je tourne ma tête vers Katsuki qui me regarde profondément. J'ai espoir qu'il ait oublié, mais je me fourvoie.

- Absolument pas, je le regardais normalement. Katsuki se décale lui aussi, s'arrêtant à mon torse. Le voir avec un regard si noir alors qu'il ne parle pas, cela m'excite autant que cela m'effraie.

- En es-tu sûr ? La seconde d'après, ne pouvant plus attendre, Katsuki pousse Eijiro d'un coup d'épaule, faisant grogner ce dernier, et d'un coup de griffe, il arrache ma combinaison. Cette dernière tombe en lambeau. Je regarde les morceaux voler et s'échouer autour de nous, alors que mon corps se fait retourner mollement.

- Attendez. Dis-je précipitamment, effrayé par la tournure des événements. Ce n'est pas ce que vous croyez, je ne regarde que vous. Ma tête se retrouve enfoncé dans l'oreiller alors qu'une paire de main vient retirer les restes du vêtement. Je glapie, l'air frais fouettant ma chaire exposée. Ma tête pivote et je regarde derrière moi mes amants me regarder avec envie. Les fesses relevées, le buste plaqué, c'est la première fois que je suis dans une telle position de soumission. Ne me faites pas de mal, je vous en prie. Mes yeux deviennent humides tant je redoute leur colère. Je ne veux pas qu'un malentendu plane entre nous.

Je sens le poids d'un corps sur mon dos, un corps complètement nu. La queue de Katsuki s'enroule autour de ma cuisse, la pressant avec envie, alors que ses mains viennent jouer avec mes tétons.

- Nous n'allons pas te faire de mal. Dit-il en soufflant dans mon oreille.

- Nous allons seulement remplir ta tête, à tel point que tu ne penseras plus qu'à nous. Murmure Eijiro tout près de moi.

Ma peur retombe et mon excitation remonte. En baissant le regard, je vois mon sexe prendre de la vigueur, pas insensible à leurs paroles. Katsuki reste au dessus de moi, et presse son corps contre le mien avec plus de hargne. Je sens alors ses bourses reposer sur le haut de mes fesses et son sexe couler contre le bas de mon dos. Cherchant Eijiro des yeux, c'est en sentant un souffle contre mon sexe que je le vois se faufiler sous moi. Il vient placer sa tête entre le matelas et moi, et je vois sa langue sortir. Il la passe une première fois sur la fente de mon gland avant de totalement le lécher. Je gémis, mais une main puissante vient emprisonner ma bouche.

- Tu dois te retenir. Murmure Katsuki dans mes cheveux. N'oublie pas que nous ne sommes pas chez nous. À peine a-t-il le temps de prononcer cette phrase qu'il fait pivoter ma tête pour me voler un baiser. Sa langue prend possession de ma bouche, jouant avec sa jumelle. La chaleur monte d'un cran dans la pièce, alors qu'il commence à bouger son bassin contre mon dos, faisant glisser son sexe contre ma peau. Il engloutit mon gémissement, alors que nos corps bougent ensemble.

Sous nous, Eijiro a commencé à engloutir mon sexe, le suçant avec force. Il bouge sa tête activement, ne me laissant aucun répit. Plusieurs fois sa langue vient jouer avec mon gland, ou tourner autour de ma verge. Les sensations sont différentes, puisqu'à cause des coups de boutoir de Katsuki, j'impose à Eijiro un rythme soutenu. Je lui fais clairement l'amour, à sa propre bouche. Ses gémissements se répercutent contre ma verge, vibrant dans tout mon corps. Mes bourses frappent son menton et son nez s'enfonce dans mes poils pubiens. Je le vois révulser les yeux avant de prendre mon bassin à pleine griffe, amenant lui-même mon sexe entre ses lèvres avec une puissance inouïe. À sa place, je me serais étouffé, surtout vu la carrure de leur verge. Mais lui, il n'en est rien. Comprenant que je peux donc me laisser aller, sans risque de le blesser, je n'offre plus aucune résistance quant aux coups de reins de Katsuki, et lui laisse mener la danse. Il plaque son torse contre mon dos, mêlant notre sueur, et plonge sa tête dans mes cheveux. Une litanie de "Izuku" me parvient aux oreilles, comme un murmure lointain. Emporté par sa fougue et la bouche chaude de Eijiro, je ne tiens pas plus longtemps. Je me crispe, plaquant la tête de Eijiro sur le matelas avec mes reins. Je sens mon sexe tressaillir, et je jouis entre ses fines lèvres roses. Je remplie sa gorge abondement et le sens avaler à grande gorgée. Au dessus de moi, Katsuki se décale et Eijiro se relève. À peine je viens à me mettre sur le dos, qu'une furie rouge se jette à corps perdue sur moi, me dérobant la bouche. Je sens sa langue et goûte ma propre semence. Fortement amer et salé, mais pas déplaisant. Nos corps humides et nus se cajolent, alors que je noue par instinct mes jambes à ses reins. Il grogne dans le baiser et descend dans mon cou qu'il mordille. Je passe mes mains dans son dos, griffant ses omoplates et la base de ses ailes tandis qu'il mord avec plus de puissance. Il décolle son torse, la tête en arrière, et je remarque sa bouche ensanglanté. Leurs morsures marquent toujours ma peau à sang, mais cela ne me fait jamais très mal.

Katsuki se place derrière lui et embrasse sa nuque qu'il mord lui aussi. Je vois alors qu'il donne un profond coup de bassin et comprend qu'il est en lui. J'aimerais tellement pouvoir les accueillir avec tant d'aisance, pour savourer leur fougue. Sachant que mon tour n'est pas encore venu, je profite de ce qu'ils ont à m'offrir. Une nouvelle fois, notre blond commence la danse avec puissance. Eijiro gémit, et quand nos sexes s'entrechoquent, j'attrape sa nuque pour plaquer nos bouches ensemble. Je regarde derrière lui pour voir Katsuki avec un grand sourire tandis qu'il plaque ses cheveux en arrière. Son torse luise de sueur et ses tétons pointent vers moi. J'ai la folle envie de les engloutir. Je prends possession de cette bouche salé et nous nous embrassons à en perdre haleine. Katsuki, sans doute excité par la vision que nous lui offrons, prend le bassin de Eijiro à pleine main et le foudroie de coup désordonné. Aucun tempo n'est respecté, seul la jouissance nous guide.

Ayant déjà jouis, mon sexe prend plusieurs minutes avant de durcir à nouveau. Ne tenant plus, les regardant bouger sur moi, j'attrape ma verge et celle de Eijiro, avant de les faire glisser l'une contre l'autre. Il gémit, mais Katsuki plaque sa main sur sa bouche. Le rouge ouvre les lèvres, accueillant ses doigts, laissant sa langue jouer avec eux. Je les regarde, hypnotisé, puis commence à bouger mes doigts. De ma main droite j'impose un rythme comparable à celui de Katsuki, et de ma main gauche je joue avec nos glands. À force de nous retrouver dans de telles situations, je suis passé de passif à actif. Je ne prend pas encore les reines, mais je sais dorénavant quoi faire pour nous donner du plaisir à tous les trois.

- Izuku, ne t'arrête pas. Gémit Eijiro entre les doigts de Katsuki.

- Tu aimes ça ? Dis-je d'une voix légèrement rauque.

- J'adore. Dit-il en se relevant, déposant son dos contre celui de Katsuki. Continue.

Je ne me fais pas prier et presse nos glands ensemble. Je gémis sans bruit, alors qu'une nouvelle fois je me sens venir. Katsuki continue de faire l'amour à Eijiro, ralentissant le mouvement. Cette fois, il bouge avec des mouvements amples et longs, le faisant languir. Nous ne restons pas longtemps dans cette position, car supporter le poids de deux Drākõn n'est pas chose aisée. Cette fois, Katsuki s'allonge sur le dos, alors que Eijiro s'empale sur sa verge gorgée de sang. Je me met moi-même entre eux, emprisonnant mon sexe entre le ventre musclé de Katsuki et le mien, alors que Eijiro a sa verge contre mes globes. Le Drākõn doré pose ses mains sur mes hanches, tout comme le Drākõn rouge, et ils lient leurs doigts sur ma peau trempé. Ainsi prit entre eux, je me sens comblé comme jamais. La chaleur de leurs corps, la pulpe de leurs doigts et la fièvre de leurs baisers, ils me font partir loin. Eijiro pose sa tête dans mon cou, dévorant ma nuque offerte, alors qu'il commence à bouger. Katsuki dépose ses mains sur mon torse et malmène mes tétons, ce qui me fait gémir à outrance. J'oublie un bref instant où nous sommes, me laissant bercer par le plaisir montant. Le bruit de nos peaux claquant l'une contre l'autre, celui de nos baisers, mais surtout le son de leurs gémissements. J'aime leur voix. Rauques, suaves et bestiaux. Ils sont de vrais bêtes sauvages en ce moment et leur seul but est de me dévorer.

Katsuki se relève et vient mordre mon torse, se délectant du goût de mon sang. Sa morsure prend place en travers de mes tétons, et je durcis encore plus à cette vision. Ils continuent de danser inlassablement, alternant entre poussée longue et profonde. J'aime ce rythme, car il m'empêche de penser. Je vis le moment présent, je savoure ce plaisir. Derrière moi, Eijiro grogne et Katsuki répond en retour. Je sens leurs yeux noirs sur mon corps alors que je me frotte sans honte. La pression se fait contre ma verge et entre mes globes. La sensation des deux ensembles me fait perdre pied, totalement. Dans un ultime mouvement, nous nous crispons tous les trois. Katsuki marque Eijiro au plus profond de ses reins, le remplissant abondamment. Le rouge me dépose son précieux liquide tout le long de mon dos, alors que je le sens glisser sur moi. Ne pouvant plus, car devenu trop sensible d'avoir jouis plus tôt, j'inonde le torse ainsi que le ventre du blond, le maculant de ma semence épaisse.

Nous terminons dans un amas de bras et de jambes, essoufflés mais rassasiés. Toujours au centre de cet amas, je cale ma tête contre l'épaule de Eijiro, alors que Katsuki m'utilise comme petite cuillère. Nous reprenons notre souffle, souriant béatement.

- Ne refaites plus jamais ça. Je les menace en respirant par le nez. J'ai cru que vous alliez me dévorer.

- N'est-ce pas le cas ? Souffle Katsuki près de moi, son souffle chatouillant la base de ma nuque. Ses mains caressent mes hanches avec douceur, alors qu'il fait glisser ses griffes sur mes côtes. Oses me dire que tu n'aimes pas quand nous prenons soin de toi. Je rougis, enfouissant mon visage dans le torse de Eijiro. Ce dernier rigole face à mon comportement.

- Et encore, tu n'as jamais vu Katsuki excité au maximum. Je lève mes yeux, et le regarde, perplexe.

- Parce qu'il est pire que ça ? Je mords ma lèvre.

- Je vous ferais remarquer que je suis là. Dit-il en se hissant sur son coude, mais nous l'ignorons royalement.

- Oh que oui, c'est délicieusement pire, Izuku. Je me souviens quand il s'est jeté sur moi alors que j'étais encore en armure. Il lève les yeux et secoue la tête. Les armures l'excitent, sans doute.

- Ce n'est pas l'armure en elle-même. Se défend ce dernier. C'est ce qui se cache à l'intérieur. Nous pouffons face au ton suave qu'il emploi. Un corps recouvert de sueur, une peau à la senteur boisé et des muscles tendus. Il n'y a rien de plus excitant. Eijiro rougit légèrement, à tel point que cela reste discret.

- Et si moi j'en portais une ? Dis-je innocemment. Un silence suit, puis deux soupirs profond me répondent.

- L'armure ne t'irait pas. C'est la tenue de noce qui est faite pour ton corps. Je rigole alors que Eijiro plonge sa bouche dans mon cou, me chatouillant les côtes.

- En parlant de tenue, dit Katsuki en bougeant pour regarder derrière nous, il faudra demander des vêtements à Oboro. Je me suis légèrement emporté.

- Étais-tu fâché ? Je demande en regardant derrière moi pour le sonder. Il baisse ses yeux sur moi.

- Non, simplement irrité. Que tu regardes d'autres hommes ne me dérange pas, tant que cela reste dans les limites de l'acceptable. Mais je ne tolère pas qu'un autre te désire. Il passe ses bras sous mon corps et me presse contre lui.

- Tu es jaloux. Dis-je avec un demi-sourire.

- Et possessif. Ajoute Eijiro en rejoignant le câlin. C'est normal après tout. Nous te faisons confiances, mais les esprits d'autres peuvent s'égarer. Nous devons garder un œil sur toi constamment.

- Puis, cela ne semble pas te déplaire comme punition. Je frémis, sentant leurs mains venir caresser la peau sensible de mes fesses. Ce n'est pas inédit qu'ils me touchent là, mais c'est la première fois que cela arrive alors que je ne suis pas plongé dans un état second. Katsuki se décale, sans doute pour me regarder sous un autre angle.

- Mes fesses semblent vous plaire. Dis-je en me retenant de gémir, alors que leurs doigts passent encore et encore sur ma peau.

- Elles nous plaisent et nous tentent. Dit Eijiro en fondant sur mon torse, descendant ses mains plus bas.

- Elles sont douces, tendres. C'est un endroit interdit et foutrement délicieux. Jure Katsuki en reposant son front contre mes omoplates. Nous avons hâte de nous unir à toi. Te sentir autour de nous, partager notre chaleur.

- Te voir dans les positions les plus folles. T'entendre demander plus, toujours plus. Eijiro lèche un premier téton, longeant mon dos de ses griffes. D'habitude, je ne serais pas partant pour un troisième round mais leurs paroles additionnées à leurs caresses sont une dissuasion efficace.

- Aurais-je mal ? Dis-je entre deux soupirs d'aise.

- Pas le moins du monde. Nous prendrons soin de toi, et mettrons tout en œuvre pour que tu nous accueille sans mal. Katsuki mordille mon lobe, passant sa langue dans mon oreille. Son action engourdi mon visage et me provoque des frissons dans l'oreille. C'est mon point faible.

- Nous prendrons notre temps pour que tu sois assez détendu. Tu nous accueilleras l'un après l'autre, puis tu nous prendras tout entier en même temps. Mes yeux partent en arrière, appréciant la façon de Eijiro torture mon torse pendant que Katsuki caresse mes bourses, les faisant rouler entre ses doigts.

- J'ai tellement hâte de vous sentir. D'être à vous corps et âme. Je veux vous sentir fondre en moi. Une nouvelle fois, mes paroles les font réagir. Ils grognent de concert et me plaquent sur le matelas, chacun ayant une main sur mon épaule.

- Coquin. Murmure Katsuki d'un sourire diabolique. Tu es finalement le plus impatient de nous trois.

- Évidemment ! Dis-je un peu trop fortement. Je vous aime, c'est normal pour moi d'avoir envie de faire l'amour avec vous. Pas seulement laisser nos corps se rencontrer, mais bel et bien s'emboîter. Ils se regardent, et la seconde suivante je sens deux corps brûlants pressés contre moi. D'instinct, je passe une main dans leurs cheveux, les caressant tendrement. Restons comme ça encore un peu. Je ferme les yeux, et ils font de même. Leurs ailes viennent nous couvrir, remplaçant les draps devenus inutilisables, et leurs queues s'emmêlent à mes jambes. Ils déposent des baisers sur mon corps, le temps qu'ils s'endorment. Je souris continuellement, et sens mon cœur tambouriner dans ma poitrine. Je suis bien plus qu'heureux et comblé. Je suis enfin là où je dois être. Je suis à ma place uniquement quand je suis entre eux. C'est mon destin.

C'est avec le bruit lointain des vagues, et les légers ronflements de mes compagnons que je me laisse guider vers les songes.

Que me réserve demain ?

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