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by yvrya99

by yvrya99

Lana...

Je n'avais que ce prénom en tête depuis un certain temps, je la voulais, je l'ai cherché et maintenant qu'elle se donnait à moi je la désirait encore plus. Cette fille me rendait dingue, elle accaparait mon esprit et autre chose d'ailleurs... Je passais le plus clair de mes soirées chez elle qu'elle se trouve à Dallas ou à Georgetown. J'avais arrêté de me rendre à sa boite, j'évitais en ce moment tout ce qui pourrait troubler ma quiétude. Et je ressentais bizarrement de moins en moins l'envie de m'adonner à la torture physique : ça tombait bien puisque le Boss ne m'avait pas informé d'affaires graves juste de petites bricoles par-ci par-la des petits merdeux à effrayés avec quelques éraflures mais pas trop d'effusion de sang.

A chaque fois que je venais soit elle était posé sur son Macbook entrain de bosser, elle me disait de patienter un peu dans ce cas le temps qu'elle finisse ce qu'elle avait à faire, soit elle m'attendais elle même dans des tenus toujours plus affriolantes les unes des autres, pour moi en tout cas. Un soir par exemple, elle m'avait ouvert en portant juste un tout petit short qui épousait parfaitement sa cambrure et mettait en valeur ses fesses charnues : j'ai été faible ce jour la j'avoue. Mais dans tous les cas, elle se jetait sur moi et c'était partie pour une partie de la nuit remplie de gémissements, de caresses, de fessées, d'orgasmes en tout genre. Une chose indéniable c'est qu'elle savait se servir de sa langue oh que oui, elle me suçait toujours en me regardait droit dans les yeux, ça m'excitait encore plus. Et ses caresses, la douceur de ses lèvres et son corps tout entier était un appel pour que ma queue se réveille. Nos ébats étaient très intenses, je mettais quasiment toute mon endurance tellement elle en demandait, elle me disait que c'était parce que je lui donnait énormément de plaisir qu'elle en redemandait encore et encore. J'avais l'habitude de faire jouir toutes mes maitresses mais avec elle s'était beaucoup plus interessant d'autant plus qu'elle avait l'habitude après chaque orgasme de m'offrir un sourire paisible qui me permettait de voir ses magnifiques fossettes ça valait le coup pour quelques gouttes de sueur.

Mis à part le sexe et toute la satisfaction que j'en tirait, j'avais également pris le temps de l'observer quand j'étais posé chez elle, elle était vraiment très belle. J'avais remarqué chez elle quelques petits tics comme le fait qu'elle tordait un peu trop sa bouche lorsqu'elle réfléchissait ou se concentrais sur quelque chose.Lana était aussi accro aux friandises elle en avait un pot plein et il y avait constamment des emballages de bonbons et de chocolat a ses pieds quand elle bossait devant son ordinateur Son parfum aussi avait retenu mon attention, elle avait sur elle une douce senteur d'agrumes. Je l'avais surpris plusieurs fois à détailler mon corps, au début je pensais qu'elle me mattait juste puis je me suis rendu compte qu'elle était attiré par mes tatouages et trouvait toujours une bonne occasion pour les toucher.

On parlait souvent de tout et de rien, mais je prenais particulièrement soin a ne pas trop rentrer dans les détails de ma vie, elle savait déjà l'essentiel ça suffisait. J'avais remarqué qu'à chaque fois que je partais, elle avait une petite lueur de tristesse dans le regard mais elle ne disait jamais rien. Elle ne me retenait pas, elle ne demandait jamais plus. Avec les filles, il y avait toujours un moment ou elles voudraient autre chose que des parties de jambes en l'air mais elle non ou peut être qu'on en était pas encore là. Tant mieux parce que je m'acclimatais à ses petits moments après le boulot ou je pouvait la retrouver et j'aimais ça comme ça.

-arrête de penser à la paire de fesses que tu te tapes me dit-Dereck en me donnant une tape sur la nuque, je regrettes presque lorsqu'il était blesser, au moins il pouvait rester tranquille

-laisse-moi avoir mes flash-backs sexuels s'il t plait, repiquais-je avec un petit sourire.

- Tu exagère, on te voit presque plus au QG, bon c'est vrai que pour le moment il n'y a rien de bien interessant mais tout de même

j'haussais les épaules, pour une fois que j'avais droit à un peu de repos dans ma vie, je devais bien en profiter. Mais c'est vrai que je me faisais rare et je passais moins de temps avec Dereck aussi. Je m'en voulais un peu et ce soir je l'avais inviter dans notre restaurant préféré, on avait pris nos plats à emporter et on mangeait vautrer sur nos motos sur le parking du resto. Il me parlait de son sujet préféré : les meufs, il m'avait dit qu'il s'était tapé toutes les filles de la boite de strip mais n'avait pas pu avoir celle avec les cheveux roses : s'il s'avait. Je ne lui avait rien dit de cette histoire car je voulais conserver le secret de Lana et j'aimais bien avoir ma petite vie privée connu de personnes même mes proches.

On avait fini de manger et on se dirigeait chez moi pour un petite partie de Mortal Kombat , c'était le rituel habituel. Nous roulions dans les rues vides car il faisait assez tard, lorsque je me rendit compte qu'une voiture nous suivait. J'avais accélérer et heureusement Dereck m'avait suivit, je ne sais pas s'il avait aussi remarqué la voiture mais je ne pouvais pas lui faire signe il ne devait que me suivre. Je tournais et pris une route qui s'éloignait un peu de la ville mais la voiture avait aussi tourné.

Derek avait commencé à ralentir m'obligeant aussi à faire de même , je voulu lui faire signe quand j'entendis le premier coup de feu. Je fis volte face et je vis quelqu'un sur le siège passager tiré sur mon ami. Je n'eu pas le temps de réagir que je vis ce dernier se faire tirer dessus à trois reprises subitement sa moto tomba dans un grand bruit et il roula sur plusieurs mètres. J'étais tétaniser mais je repris vite ms esprit quand je me rendis compte que la voiture se dirigeait vers moi. Je contrôlais de justesse mon engin mais j'entendais les coups de feu dans mon dos, je n'ai pas pu aller bien loin, car ma moto avait un problème, je n'arrivais plus à la maitriser. La voiture se trouvait maintenant sur ma gauche et me cognait de plein fouet, je sentis mon corps se surélever et fini par s'abattre violemment sur le bitume.