Résumons un peu

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Ceci n'est pas un chapitre.

Dans la vie, rien n'est tout noir ou tout blanc. Oui, la vie amène son lot de hauts et de bas. Nos héros l'ont bien appris à leurs dépens.

On se réveille un beau matin ensoleillé, d'un temps idéal pour faire un tour avec ses copains, pour que maman emmène bébé au parc, que papa tonde le gazon, que les plus sportifs fassent un jogging avec leur chien, et que les vieux fassent une promenade de santé en traînant leur arthrite et autres. On ne se doute pas un seul instant que tous les rats, qui n'ont pas simplement la rage, de la ville soi-disante tranquille de Hawkins, dans l'Indiana, accouraient d'une seule ligné vers la vielle aciérie Brimborn pour se léquifier (littéralement) sur place dans d'atroces souffrances afin de donner corps à une antité supérieure passablement énervée de s'être faite dominer par une gamine de treize ans habillée en punk quelques mois auparavant.

Ou on peut passer cette belle journée de l'été 1985 enfermé à embrasser sa copine à en perdre haleine, s'attirant au passage les foudres diaboliques du beau-père, et provocant la déception et l'agacement de ses amis. Le tout, menant à des mensonges, des séparations, et des groupes en dangers chacun de leur côté. Alors qu'ils s'apprêtent tous à vivre la même et unique dangereuse et potentiellement mortelle bataille menée par une bande d'adolescents et trois adultes que l'on pourrait croire au chômage. Et avec l'aide d'une gosse à la répartie drôlement tranchante et juste pour son âge.

Pourtant, la petite coupure d'électricité générale (un tantinet stressante quand on sait tout ce qu'il s'est passé en un peu moins de deux ans), la chair de poule sur la nuque de Will Byers, le rencard demandé à Karen Wheeler de manière très subtile par Billy Hargrove au bord de la piscine municipale, la croissance excessive des cheveux de Steve Harrington et son dorénavant incapacité à draguer, la pauvre Mrs Driscoll qui avait encore toute sa tête et son rat en cage. Et évidemment, le message codé des vilains russes capté par Dustin Henderson grâce à son Cerebro qui ne devait initialement lui servir qu'à contacter son génie de petite-amie Suzie avec un " z ", qui habite dans l'Utah et qui est encore plus belle que Phœbe Cates ;  pour faire le fière devant les copains. Sans oublier les aimants de Joyce Byers qui ne cessent de tomber de son satané frigo. Oui, tout ça, ça met un peu la puce à l'oreille. Normalement.

Les amis ne mentent pas. À part, quand il s'agit de choses essentielles, pour ne pas dire vitales, et de dire si on va bien ou si on a la nuque qui chatouille et qu'on sent la présence du démon comme s'il était en nous. Et comme si c'était logique, évitons de tout de suite communiquer entre-nous et demandons de l'aide que quand on sera dans la mouise jusqu'aux coudes.

La suite, vous la connaissez. La fin aussi. Bataille, souffrance, Russe attachant, Russes pas attachants, gore, humour, chant, morts, pleurs, lettre, encore des pleurs, et aurevoirs déchirants.

Ici, vous trouverez la suite de la fin. Parce que les choses avancent, la vie évolue..., et que la fin n'est jamais vraiment la fin, mais le début d'un nouveau chapitre. En gros, la continuité de la vie avec des changements plus ou moins conséquents. Hormis si tu crèves, là, on dit que c'est vraiment la fin.

...

Ceci est une fanfiction se basant après la saison 3 de Stranger Things , donc nul besoin de présicer qu'elle contiendra forcément des spoilers. Je n'ai pas le talent des frères Duffer, et je n'y prétends pas. Ni aujourd'hui, ni demain. Et je n'ai pas spécialement de talent pour l'écriture. Et je fais de vilaines fautes, soyez-en sûrs. Mais j'espère de tout cœur qu'elle plaira à certains. Je suis ici pour m'amuser sans prise de tête. Easy, Peasy ! (on ne t'oublie pas, Bob) Ou " À l'aise, Blaise " pour la team vf. On vous juge mais pas trop.

Bonne lecture !

STRANGER THINGS 4 : Le Monde Renversé (abandonnée) Where stories live. Discover now