« - Je ne voulais pas vous abandonnez, mais ... ?

- Tu étais ... inquiète ? Dit une voix.

- Je ... Je sens que je suis ...

- Happé ? Dit une autres voix.

- Oui ... Mais je ne sais pas ce qui ce trouve de l'autre côté ...

- La paix mon enfant. Me répondit une voix.

- Tu ne sera plus jamais seule si tu la laisse t'emporter. Disait une autres voix.

- Plus de souffrance, plus de tristesse ...

- Juste le plaisir d'être auprès des ténèbres ... »

Je sentis alors comme de la fumée s'emparer de mon être, mais au début je résistais. Puis je posa une question.

« - Vous ne me quitterez plus jamais si je la rejoint ?

- Non ... Nous ferons partie de toi ... Dirent plusieurs voix. Nous te suivrons où que tu ailles, et nous t'accepterons telle que tu es. »

J'en avais marre depuis longtemps de cette foutu solitude qui me pesais. Mes parents incompétent, les enfants de mon age qui me traitaient de monstre, mon père qui me prenait pour Satan ... Avant que la fumée noir s'empare de moi, je dis:

« - Puisque je suis un monstre, alors je vais me comporter en tant que telle ... »

Je fis un large sourire que je ne pu contrôler, puis la fumée m'enveloppa totalement. Je ressentais comme une chaleur relaxante et apaisante, puis je me suis comme endormie instantanément. Je me suis soudain vue au dessus du lit de mes parents. Ils dormaient tout deux profondément et semblaient apaiser. Cette vision me mis comme hors de moi. L'ampoule au dessus de la tête de mes parents se mit alors à exploser en envoyant des bout de verres aux quatre coin de la chambre. Mes parents se réveillèrent alors en sursaut, et ma mère hurla d'horreur en regardant vers ma direction. Mon père quant à lui, semblait paralyser par la peur. Leurs yeux semblaient êtres à deux doigt de sortir de leurs orbites. J'avoue que les voir aussi terrifiés me fit jubiler. Mon père se mit alors à hurler.

« - Au nom de dieu partez espèce de sale monstre ! »

Un large sourire se dessina alors sur mon visage. Je le pris alors par la gorge, et je l'ai soulevé au dessus du lit aussi facilement que si je tenais une brindille d'herbe entre mes mains. Ma mère hurla encore plus fort en tombant du lit. Mon père me regardait alors dans les yeux, terrorisé. Je voulais qu'il continu à avoir peur. Elle me donnait de la force et de la joie en même temps. Je pris alors son bras droit et je l'ai arraché aussi facilement que pour le soulever. Il hurla alors de douleur jusqu'à s'en casser la voix et le sang gicla jusqu'au visage de ma mère qui continuait à crier de peur. Je pris alors le bras et l'approcha de ma bouche pour croquer un grand coup dedans. Mon père ce mit alors à vomir devant cette vision, et ma mère en fit de même. Ma bouche semblait plus grande, car j'avais tout de même réussi à dévorer son bras entièrement en trois bouchés. Mon père malgré sa peur, n'arrivait même plus à crier. Mais ma mère continuait à crier à plein poumon sans s'arrêter. Je lâcha alors mon père qui tomba sur le lit, et je pris la tête de ma mère dans ma main pour la frapper violemment contre le mur près d'elle. Sa tête éclata alors comme une pastèque bien mûre. Le bruit que fit son crâne brisé contre le mur me donna un frisson de plaisir intense dans tout le corps. Le mur était coloré de teinte rouge et quelque morceaux de cerveau dégoulinaient doucement du mur pour atterrie jusqu'au sol, couvert de sang également. Alors que je me délectais de cette vue, je pu entendre mon père qui essayait de se barrer de la chambre. Cela me mit très en colère qu'il m'ait prit pour une conne. Cela a été la dernière erreur de sa vie. Je m'approcha lentement de lui, pour qu'il prenne conscience que je ne l'avais pas oublié. Il se retourna, puis prit de panique, il se mit à courir dans le couloir, mais sans savoir comment, je me suis retrouvé instantanément devant lui. Il resta paralysé par la peur en me voyant. Je lui fit un sourire des plus sadique, avant le lui transpercer le ventre et d'en sortir une partie de son intestin. Il tomba au sol sur le dos en hurlant et en crachant du sang. Je dévora alors le morceau d'intestin qui était à l'air juste sous ses yeux, puis je l'observais tout en dégustant sa chaire, jusqu'à ce qu'il rende son dernier souffle, le visage tordu par la peur et la douleur. Alors que je continuais à le manger, tout en frissonnant à l'odeur du sang, j'ai soudainement tourné ma tête et je pu voir mon visage à travers un miroir. Mon corps tout entier était de la fumée noir avec une forme humaine. Seul mes yeux était blanc avec deux petits points noir en leurs milieux et des espèces de dents pointu étaient apparente, ainsi qu'une sorte de bouche assez grande dont elles sortait. Je sursautais soudain d'un bond. J'étais allongée dans mon lit, et la lumière du soleil vînt me réchauffer la peau. Alors ce n'étais qu'un rêve ? Je me suis alors levé de mon lit et j'essayais d'ouvrir la porte de ma chambre, mais elle était toujours fermée à clef.

« - Quelqu'un peut ouvrir la porte de ma chambre ? »

Personne ne répondit. Je pris alors mon téléphone portable et je les menacèrent d'appeler la police. Comme je n'eu qu'un silence en guise de réponse, j'ai appelé la police. Ils arrivèrent très vite, mais lorsqu'ils me firent sortir, je vis dans le couloir un véritable bain de sang. Il y avait un corps en miette sur le sol et on pouvait y voir à quelque endroit d'énorme trace de morsure. Intérieurement, je souriais de cette vue. Je fus disculpé de tout soupçon étant donné que j'étais enfermée dans ma chambre et que je ne pouvais pas non plus m'enfuir par la fenêtre. On m'a placé dans un orphelinat, mais j'ai bel et bien l'intention de m'en échapper ce soir. Les voix me disent que je suis maintenant libre de faire ce que bon me semble, et dorénavant, je ne serais plus jamais seule. Si vous trouvez ses notes, alors c'est que je suis déjà loin à répandre la souffrance, telle le monstre que je suis. Mais ne craigniez rien ... Rien ne pourra m'empêcher de revenir ...

Histoires TerrifiantesWhere stories live. Discover now