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On rapporte que 'Umar رضي الله عنه nomma un gouverneur. Quand il apprit qu'il n'embrassait pas ses enfants, il lui dit: «Si tu ne témoignes d'aucune miséricorde envers tes propres enfants, comment en témoigneras-tu envers les gens? Par Allah, je ne te nommerai jamais.»
Il renonça à sa décision et déchira le décret de nomination.

[📚 Hayat As Sahaba]
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La bonté du frère envers son frère, c'est que chacun d'entre vous soit sincère, bon, serviable, bienveillant et vigilant. En privé comme en publique.

Que le plus âgé soit compatissant envers le plus jeune, qu'il s'empresse à accomplir tout ce qu'il aime, qu'il lui prête main-forte dans ce qui l'atteint, et qu'il soit indulgent quant à ses désirs.

Que le plus jeune donne la préséance à son aîné et que dans chaque chose il se conforme à ses volontés et choix. Qu'il le soutienne en privé comme en public et qu'il donne raison à ses paroles et actes.

Si il réprouve un acte commis en public, ou s'il lui semble qu'il a commis une erreur, alors il ne doit montrer ni sa réprobation, ni le corriger, ni montrer son erreur en public. Qu'il lui explique tout ça en aparté, avec douceur. Si il revient sur la vérité tant mieux, sinon qu'il le suive sur son avis. Le désaccord entre vous est pire que l'erreur commise en étant unis, du moment que l'erreur n'a rien à voir avec la religion.

Si ceci est en relation avec la religion alors qu'il suive la vérité où qu'elle soit. Qu'il soit prompt à conseiller et réformer son frère comme il le peut, et qu'il ne cesse de l'estimer et de le respecter.

[✒️ Précieux conseils paternels, ‘AbdAlWalid Al Baji]
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Ibn al Qayyim alla voir son maître Ibn Taymiyya رحمهما الله, voulant lui parler de quelque chose ou apprendre de lui.

Il le trouva donc assis faisant le rappel d'Allah (dhikr). Il craignit qu'il l'accomplisse entièrement (que ce soit long), jusqu'à ce qu'il le termina, puis Ibn Taymiyya se tourna vers lui et lui demanda:

«Depuis combien de temps es-tu là ?

- J'attend depuis tant de temps, dit Ibn Al Qayyim.»

Ibn Taymiyya dit alors:

«Ce dhikr d'Allah est mon déjeuner, si je ne le prends pas, je n'aurai pas de force et ne pourrai pas œuvrer aujourd'hui.»

يقول الإمام ابن القيم رحمه الله أنه جاء إلى شيخه شيخ الإسلام ابن تيمية يريد أن يكلمه في شيء أو يأخذ عنه العلم فوجده جالسًا يذكر الله، فهاب أن يكمله حتى فرغ من ذكر الله ثم أقبل عليه وقال: من كم أنت هنا؟ قال من كذا وكذا وأنا أنتظر، فقال الشيخ رحمه الله: هذا غدائي لو لم أتغدى ما قويت على العمل في ذلك اليوم.

[📚 Voir al wabil aç çayib p.63]
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Abu ‘AbArRahman Al Azdi a dit :

«Je passai sur la côte de Beyrouth, près d'un homme qui balançait ses pieds dans l'eau de mer en faisant le takbir (Allahu akbar).

Je lui demandai :

«Ô jeune homme, pourquoi es-tu assis tout seul?»

Il me dit:

«Crains Allah et ne dit que la vérité. Je n'ai jamais été seul depuis que ma mère m'a mis au monde. J'ai avec moi mon Seigneur سبحانه وتعالى partout où je me trouve, et j'ai avec moi deux anges qui me protègent de shaytan et qui ne me quittent jamais. Lorsque j'ai besoin de quelque chose, je Lui demande avec mon cœur et Il me l'accorde.»»

Islam notre lumière(nour dine ) 3Where stories live. Discover now