La main de liberté

By lechacalbleu645

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Ça y'est la troisième grande guerre du nord à éclater, toute la diplomatie tout les complots n'ont pu empêch... More

Prologue
Chapitre 1 :Vous avez demandé un docteur ?
Chapitre 2: C'est là qu'il naquit
Chapitre 3: Le départ
Chapitre 4: L'Enfant partie1
Chapitre 5: Jour de foire
Chapitre 6: Et les ombres trament
Chapitre 7: Bois-sous-l'Eau
Chapitre 8: Le Monde des puissants
Chapitre 9: Renedas
Chapitre 10: Le Sauvage.
Chapitre 11: Brume et sang
Chapitre 12: Tranche-la-lande
Chapitre 13: Un plan original
Chapitre 14: au milieu de l'enfer
Chapitre 15: Les forêts du Lothar
Chapitre 16: L'enfant partie 2
Chapitre 18: le manoir
Chapitre 19: L'enfant dernière partie
Chapitre 20: Monstres ?
Chapitre 21: L'attente
Chapitre 22 le froid de l'hiver (chapitre pour le concours: la plume de cristal)
Attention !!!!

chapitre 17: la rencontre

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By lechacalbleu645

Au milieu des forêt du Lothar alors que le soleil dansait à travers une fine couche de nuage et que quelques oiseaux venaient se poser sur les branches, nous attendions.

La veille j'avais recueilli trois déserteur Lothari. J'eu de la chance de savoir parler leurs langues, sinon ils m'auraient probablement attaqué. Or, tuer ne faisait pas, et ne fait toujours pas parti de ma vocation aujourd'hui. J'étais médecin, mon rôle était de sauver des vies. C'est ainsi que Je rencontrai Pershief, Oleg et Bogdan. Au milieu des pins alors que je vagabondais et je vis ce trio de guerriers du Lothar. Pershief portait des cheveux brun court une barbe hirsute, et une puissante musculature. Oleg lui avait une toison plus claire et un peu plus longue. Le dernier Bogdan était encore un enfant, ses cheveux blond clair s'accordait avec ses yeux verts. Les deux premiers portaient alors le dernier, blessé aux jambes. Ils s'arrêtèrent devant moi, Pershief sorti une épée ébréchée et il me menaça. Comprenant vite qu'ils étaient originaires de la région je leurs répondait dans leurs langages, leurs signifiant que je ne leurs voulait aucun mal. Oleg qui était moins méfiant me tendit la main, en signe de respect. Je leurs indiqua quel était ma profession et que je pourrais m'occuper de leurs amis blessés. Ainsi je les conduisis à mon campement dans une petite clairière. En examinant la blessure du dénommé Bogdan je vis que ces jambes étaient brulées, déchirés par le feu. Je questionnai mes nouveaux compagnons sur ce fait et ils me répondirent qu'à la lisière une grande bataille contre les Lionnais avait eu lieu. Un nouveau type d'arme avait été utilisé d'après Oleg, pour Pershief il s'agissait plutôt d'une forme de magie ancestrale, que les Lionnais avait invoqué un puissant démon et que par conséquent leurs âmes serait damné. Probablement que Pershief était assez superstitieux. Je n'en appris pas plus. Tout ce que je voyais en tant que médecin étaient les profonds stigmates sur la peau du Lothari blessé.

Je le recouvrir de baume et je m'occupai de panser la plaie. Mais il était sur que malgré mes compétences cet homme ne pourrait pas marcher avant longtemps. Il retrouverait peut-être l'usage de ses jambes, mais avant il devrait passer par de nombreuses douleurs.

Quand le soir vint j'alla chercher des herbes prés d'un lac pour aider à la douleur de mon patient. Alors que la nuit était bien avancée j'entendis un grand fracas venant de la surface noire de l'eau. Quelque chose ou quelqu'un avait plongé. Et ainsi je vis ce jeune homme émergé du lac, trainant sa jambe en sang. Il portait un gambison et des chausses de tissu. Ces bottes de cuir étaient en fort mauvais état. Je le vis s'écrouler de fatigue à quelques mètres de moi. Et je décidai ainsi de le ramener. Sa jambe, son genou s'était brisé sur quelque chose. Je le pris sur mon dos, et je le portais jusqu'au campement. Il susurra dans son sommeil, et c'est ainsi que je sus qu'il était Lionnais. Il avait des cheveux châtains attaché dans sa nuque. Une très courte barbe commençait à apparaitre sur ses joues. Son nez lui était fendu d'une cicatrice. J'étais inquiet à ce moment. Je ne savais pas comment allait régir mes compagnons. Mais mon métier m'ordonner de faire ce qui était nécessaire pour sauver ce garçon. Bien sûr en arrivant au campement je me disputai avec ces trois hommes. Ces derniers voulaient laisser « ce chien de Lionnais » aux corbeaux et aux bêtes sauvages. Ils se calmèrent très vite quand j'exposa un argument simple. Ceci était mon campement. Je n'étais pas soldat mais médecin par conséquent tout comme moi ce campement était neutre. Oleg comprenant cela accepta pour le reste de ses camarades. Et pendant ce temps, alors que Pershief me lançait des regards noirs dans l'obscurité, j'administra une infusion d'herbe à Bogdan et je m'occupai de la jambe de ce garçon. Lorsque que l'aube pointa à travers les arbres j'avais bandé et installé une attelle de bois sur son genou. Et ainsi nous quatre nous attendirent le réveil de cet étranger assis autour d'un feu de camp mourant.

Soudain je le vis ouvrir les yeux. Je fus soulagé, son pouls était faible et j'eu cru qu'il ne se réveillerai jamais. Il cligna des yeux et il tenta de se relever sur ses coudes. Probablement que ce geste tira sur sa blessure car je vis un grand rictus sur son visage.

-Bonjour » je préférai prononcer ces mots le plus tranquillement possible en un Lionnais des plus approprié à mon patient.

Il retourna brusquement son visage vers moi et il sembla m'observer. Peut-être croyait -il être mort. Pourtant il était toujours parmis les vivants au milieu des forêts du Lothar.

Après cela il tourna son regard vers les autres membres de notre petite compagnie. Tous étaient équipé de gambison comme lui, de cubitières, et de chausses sauf pour Bogdan dont ces dernières avaient été brulés. A la place apparaissait les bandages qui recouvrait ses jambes meurtris. Oleg portait un épais casque qui venait couvrir son nez et Pershief faisait jouer tourner la lame de son épée de manière menaçante. Tous le regardèrent avec hargne. Je décidai donc d'introduire mes compagnons au garçon.

-Excuse les pour cet air, ils sont Lothari, tu pourras donc comprendre qu'ils ne t'apprécient guère. Ils ne parlent pas ta langue j'aimerais te mettre en garde contre cela » j'essayai tant bien que mal de sourire pour rassurer ce nouveau venu.

-Moi je parle le Lionnais » intervint soudainement Oleg, à ma grande surprise, néanmoins dans sa voie on pouvait percevoir son fort accent du Lothar. « Je me nomme Oleg, celui qui te regarde méchamment c'est Pershief, le dernier allongé comme toi il s'appelle Bogdan. Celui qui t'a sauvé la vie c'est le docteur Kellios, remercie-le.


Je regardai avec attention le regard du jeune Lionnais. Ses lèvres s'ouvraient mais pourtant les mots semblèrent ne pas vouloir sortir de sa bouche. Il commença document à bégayer puis sa voix pris forme.

-Je... ...Je... ...Je suis très reconnaissant au docteur Kellios de m'avoir sauvé. Je ne vous veux aucun mal, je suis un déserteur... ...tout comme vous j'imagine. Je me nomme Sevel

-Cta an govrorit !? » demanda soudainement Pershief en faisant tourner son épée plus vite.

-Et vost Drag, Yeg Zovt Sevel » lui répondit son compagnon.

Je présentais alors que l'ambiance au sein de ce petit groupe serait complexe, d'autant plus que ces membres ne parlaient pas tous la même langue et que leur peuple s'était affronté il n'y à pas longtemps. Pourtant Sevel lui ne semblait pas ressentir d'amertume vis-à-vis des Lothari. Je préférerai ne pas prendre de risque et je me levai soudain pour briser cette ambiance malsaine.

-Bien messieurs je pense qu'il est temps de discuter de ce que nous comptons faire dans les jours qui viennent. » je m'efforcer de prononcer ses mots en un Lionnais simple mais correct qui permettrait à Oleg de traduire à ses deux autres compagnons. « J'aimerais vous informer tout d'abord que mes provisions risques d'êtres amoindri plus rapidement que je ne le pensais. Ainsi j'aimerais que vous deux Oleg et Pershief vous partiez en reconnaissance pour trouver un peu de nourriture et de bois pour le feu, et aussi au cas où il y aurait... ... certaines choses dans les bois alentours. »

Oleg se chargea de traduire à son compagnon cette dernière phrase puis les deux hommes me regardèrent. Tous deux savaient de quoi je parlais à cet instant. Ils étaient des Lotharis, il connaissait bien ces forêts et les choses qui s'y cachaient. Mais esse que je me saurais douter que Sevel également connaissait des choses de bois. Car lui aussi me jeta un regard d'acier. Il comprenait de quoi il s'agissait. Nous savions tous que dans cette clairière, quand la nuit tomberait et quand ils le décideraient nous serions dévorés. Pour l'instant depuis que je me trouvais dans ce campement il n'avait pas osé venir, comme des fauves autour de leurs proies. Tout le monde le savait dans le campement, mais personne ne prononça un mot, par peur de faire revenir les souvenirs des contes d'enfant pour les trois autochtones et pour le jeune Lionnais, ce qu'il avait vu la veille.

Ainsi les deux déserteurs partirent en reconnaissance, ensemble. Il était sur et certains qu'ils ne voulaient et ne pouvait se séparer dans ces bois. Chaque Lothari savait depuis sa plus tendre enfance, de ce que lui répétait ses parents et sa famille, que jamais il ne fallait s'éloigner des sentiers, et qu'au grand jamais il ne fallait partirent seul dans les bois. De plus dans les alentours je présentais que quelque chose m'épiait moi et mes compagnons, mais que son regard était d'autant plus braqué sur moi. Je savais également que je n'avais pas besoin de préciser aux deux hommes valides qu'il valait mieux rentrer avant la nuit tomber.

Cela devait bien faire une heure que les deux hommes étaient partis du campement. L'air s'était chargé d'humidité et une fine bruine commencer à tomber sur nos peaux. Je m'empressai immédiatement de couvrir les blessures de mes deux patients de quelques fourrures pour empêcher que leurs cas ne s'aggravent. C'est le docteur Fartz lui-même qui conseillait cela dans ces travaux. L'humidité d'après lui serait nocive pour les blessures, elle fragilisera les os. De plus je ne souhaitais aucunement que ces deux jeunes gens prennent froid. Ainsi je décidai d'installer une tente de fortune que je transportait constamment sur moi. Il ne s'agissait que de deux bâtons, une toile de tissu et de piquet pour retenir le tout. Mais cela la vie à bon nombres d'hommes. Il valait mieux garder les malades au chaud.

Quand j'eu achevé cette tâche, je me dirigeai vers la lisière de la clairière pour observer à travers les arbres si mes compagnons rentrait. Pas un bruit, pas un mouvement dans les buissons. Je décidai donc de retourner vers le blessé pour veiller à qu'ils aillent bien. Alors que Bogdan dormait à point fermé, Sevel allongé regardait la toile de la tente fixement. Je me disais alors que je pourrais engager la conversation avec ce nouveau venu, historie de faire connaissance et de savoir qui j'vais sauver au-delà de son nom et de son origine.

-Dites-moi jeune homme, d'où venez-vous exactement.

Il retourna brusquement sa tête vers moi, et se redressant sur ses coudes, il me répondit.

-Je viens du comté de Joshua, cela fait parti du domaine du roi Tenhenphed.

-Oui je vois à peu près, au sud de Renedas n'esse pas ? Tu es un paysan j'imagine, habituer à travailler la terre.

-Oui c'est ça, c'est ce que j'étais. Maintenant je suis un déserteur.

-Pourquoi tu dis cela, la guerre n'est pas une fatalité, et même si tu es un déserteur, parmi tous les soldats des armées du Lion tu peux facilement te faire oublier et rentrer chez toi. Ne désespère. Ne désespère comme ça, tu pourras remarcher, ta blessure n'est pas trop grave. Et même si je me trompe je ne compte pas abandonner un patient au bêtes sauvages de ses bois. Dès que nos deux compagnons seront rentrés je pense que nous changerons d'endroit.

-Pourquoi vous me raconter tout cela je vous ais dis que je n'étais plus un paysan, je suis un déserteur. Je ne compte pas rentrer chez moi.

-Je te raconte tout ça pour que tu comprennes qu'il y a toujours de l'espoir pour toi. Et ne t'inquiète pas pour tes proches. Tu n'as qu'à te cacher pendant la guerre, de toute façon je ne pense pas qu'elle va durer bien longtemps de ce que je sais. J'ai déjà vu bien des hommes comme toi faire cela. Une fois que les guerres sont finies les hommes enrôlés de force, n'intéresse plus l'armée. Tu n'es pas soldat de métier tu ne risques rien. Troque ton gambison contre des frusques et à toi la liberté. L'armée maintient la peur d'une poursuite par la justice du roi, il n'y a rien d'autre. Je m'y connais dans ce monde fait moi confiance. Il n'y a jamais eu de recensement clair et nette des levées paysannes.

-Je devrais vous faire confiance parce que vous m'avez sauvé la vie.

-Pas forcément, et c'est ton droit de douter, mais remarque que je n'ai rien demandé en retour. Mon objectif est d'aider les gens en les soignant.

Soudain son expression changea. Cette dernière phrase que j'vais prononcer provoqua un bouleversement en lui, ou plutôt cela fit émerger une vérité qui s'était jusqu'alors tapis à la frontière de sa conscience.

-Ca ne suffira jamais de faire cela »dit-il en replongeant son regard dans la toile de la tente.

Cela m'étonna. Moi qui avais tant donné aux gens il questionnait alors ma façon de faire. Je pris d'abord cela pour un affront, ou pour une marque de bêtise de sa part. Ce qu'il allait m'exposer comme vérité était bien différent de mes attentes vis-à-vis de son intelligence.

-Comment cela ? Tu considères que je n'en fais pas assez ? Tu ne sais pourtant pas le nombre de vie que j'ai sauvé.

-Oui je ne sais pas cela, mais comprenez bien, sauvé les gens est une cause juste. Qu'il soit du petit peuple, qu'il soit un criminel, qu'il soit noble ou qu'il bourgeois, personne ne mérite de mourir. Pourtant il faut parfois choisir entre deux vies.

-Continue jeune homme, je t'écoute. « Cela m'intriguait, un simple paysan allez alors me montrer quelque chose que j'avais refusé d'admettre pendant tant d'années.

-Vous sauvez des vies mais combien meurent chaque jour. Combien de lavandières sont violés puis égorgé. Combien de marchand dépouillé, ou qui dépouille des petites gens. Combien de boucs émissaires exécutés par le bucher ou le bourreau. Vous tendez la main à ceux qui ont mal. Mais je vois clairement que vous refuserez de tuer quiconque, même si cette personne s'apprête à massacrer la terre entière. Vous réparez les blessures et les os brisés. Mais tout ce que vous ferez n'empêchera jamais la violence de proliférer. Je l'ai vu au fil des batailles, ce dont l'homme est capable. Sur un champ de bataille, les hommes s'entretuent comme des chiens enragés se sautant à la gorge. Ils brulent des chaumières, violent des femmes, arrachent des nourrissons au sein de leurs mères pour les noyer dans la rivière. Vous endiguer une partie de la souffrance de ce monde, à votre échelle, mais le vrai problème est plus large. Ce n'est pas juste la guerre ou la maladie, c'est le monde entier qui est corrompu et qui corrompt les hommes.

-Tu est très perspicace, pour ton jeune âge, c'est une très belle qualité, tu as seulement compris cela en te battant. Après tous les champs de bataille nous apprennent bien plus de choses sur le monde que n'importe livre de philosophie. Mais dit moi, tu crois que le monde peut changer par le meurtre. Je ne tue pas parce que cela fait partie de ma philosophie de vie. J'ai commis bien des choses horribles dans ma jeunesse et je ne désire plus verser le sang de toute ma vie, je sais que tu peux comprendre cela si tu as déjà tué.

-Je le comprends, oui, j'ai aussi pensé cela. Que tué ne devait jamais arrivé, et je le redis prendre la vie du diable lui-même n'es pas excusable. Le problème et que si tu reste là les bras ballants face à un massacre, alors que tu peux l'empêcher, cela est impardonnable. Tu tends la main aux gens, tu les libéré des souffrances physiques. Mais cette main doit savoir être de fer parfois. A quoi bon sauver une enfant de la variole, si c'est pour quel meure l'année suivante égorgée par des bandits. Ce n'es pas glorieux, ce n'es pas noble de tuer, mais il arrive un moment ou cela est nécessaire. Mais tu as raison un homme seul ne peut pas changer le monde, il faut être des milliers pour cela.

-intéressant, mais nous reparlerons de cela plus tard j'entend nos deux amis éclaireurs qui reviennent.

Je vis volteface, et je partie en direction des deux, Lotharis qui émergeais des buissons. Il revenait avec trois lapins et quelques baies, mais surtout avec des visages glacés d'effrois. Je m'approchais d'eux à grands pas et je leurs posait une question simple en Lotharis.

-Qu'avez-vous vus ? »

-Près d'un ruisseau... » hésita Pershief qui avait alors perdu toute animosité au profit d'une peur sans nom « ... A un kilomètre d'ici, Il y a un corps, enfin ce qu'il en reste. Ce n'est pas une bête, sauvage, rien ne peut faire cela...

Alors voyant que son compagnon ne pouvait continuer Oleg me regarda droit dans les yeux et ce qu'il me dit à cet instant me glaça sur place.

-Il y a des traces de pas, pas de bottes, mais bien de pieds, difformes. Puis on a entendu des bruits et on à détaler.

-Je comprends vous avez bien fait. Il va falloir qu'on bouge.

-Dans les bois on pourra survivre éternellement, faut qu'on trouve un abri ou on peut se défendre. Vous savez au nord d'ici je crois que...

Je le coupai immédiatement, à ce moment je désirais à tout pris ne pas aller au nord.

-Je sais c'est très bien ce qui se trouve à lieu, au nord d'ici. Il ne faut surtout pas aller en ce lieu.

-Pourtant c'est un ancien manoir abandonné, on pourrait s'y abriter et renforcer les portes.

-Ou tomber sur des horreurs bien pires. Nous n'avons pas le temps de discuter, nous allons au sud vers la tour Sylve.

-C'est de la folie docteur Kellios. Ces trucs vont nous rattraper à un moment ou un autre.

Que devais-je faire. Peut-être qu'après tout Oleg avait raison. Je savais tout à fait qu'on ne pouvait survivre éternellement dans ces bois, il devait y avoir deux cents lieux jusqu'à la tour sylve, le fief des rois du Lothar. Je devais prendre une décision et vite. Ma raison me dictait de me rendre vers le manoir, mais mon instinct repoussait cette possibilité avec hargne. Je ne voulais pas retourner vers cet endroit de cauchemar. Pourtant c'était notre seule chance de survivre.

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