chapitre 17: la rencontre

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Au milieu des forêt du Lothar alors que le soleil dansait à travers une fine couche de nuage et que quelques oiseaux venaient se poser sur les branches, nous attendions.

La veille j'avais recueilli trois déserteur Lothari. J'eu de la chance de savoir parler leurs langues, sinon ils m'auraient probablement attaqué. Or, tuer ne faisait pas, et ne fait toujours pas parti de ma vocation aujourd'hui. J'étais médecin, mon rôle était de sauver des vies. C'est ainsi que Je rencontrai Pershief, Oleg et Bogdan. Au milieu des pins alors que je vagabondais et je vis ce trio de guerriers du Lothar. Pershief portait des cheveux brun court une barbe hirsute, et une puissante musculature. Oleg lui avait une toison plus claire et un peu plus longue. Le dernier Bogdan était encore un enfant, ses cheveux blond clair s'accordait avec ses yeux verts. Les deux premiers portaient alors le dernier, blessé aux jambes. Ils s'arrêtèrent devant moi, Pershief sorti une épée ébréchée et il me menaça. Comprenant vite qu'ils étaient originaires de la région je leurs répondait dans leurs langages, leurs signifiant que je ne leurs voulait aucun mal. Oleg qui était moins méfiant me tendit la main, en signe de respect. Je leurs indiqua quel était ma profession et que je pourrais m'occuper de leurs amis blessés. Ainsi je les conduisis à mon campement dans une petite clairière. En examinant la blessure du dénommé Bogdan je vis que ces jambes étaient brulées, déchirés par le feu. Je questionnai mes nouveaux compagnons sur ce fait et ils me répondirent qu'à la lisière une grande bataille contre les Lionnais avait eu lieu. Un nouveau type d'arme avait été utilisé d'après Oleg, pour Pershief il s'agissait plutôt d'une forme de magie ancestrale, que les Lionnais avait invoqué un puissant démon et que par conséquent leurs âmes serait damné. Probablement que Pershief était assez superstitieux. Je n'en appris pas plus. Tout ce que je voyais en tant que médecin étaient les profonds stigmates sur la peau du Lothari blessé.

Je le recouvrir de baume et je m'occupai de panser la plaie. Mais il était sur que malgré mes compétences cet homme ne pourrait pas marcher avant longtemps. Il retrouverait peut-être l'usage de ses jambes, mais avant il devrait passer par de nombreuses douleurs.

Quand le soir vint j'alla chercher des herbes prés d'un lac pour aider à la douleur de mon patient. Alors que la nuit était bien avancée j'entendis un grand fracas venant de la surface noire de l'eau. Quelque chose ou quelqu'un avait plongé. Et ainsi je vis ce jeune homme émergé du lac, trainant sa jambe en sang. Il portait un gambison et des chausses de tissu. Ces bottes de cuir étaient en fort mauvais état. Je le vis s'écrouler de fatigue à quelques mètres de moi. Et je décidai ainsi de le ramener. Sa jambe, son genou s'était brisé sur quelque chose. Je le pris sur mon dos, et je le portais jusqu'au campement. Il susurra dans son sommeil, et c'est ainsi que je sus qu'il était Lionnais. Il avait des cheveux châtains attaché dans sa nuque. Une très courte barbe commençait à apparaitre sur ses joues. Son nez lui était fendu d'une cicatrice. J'étais inquiet à ce moment. Je ne savais pas comment allait régir mes compagnons. Mais mon métier m'ordonner de faire ce qui était nécessaire pour sauver ce garçon. Bien sûr en arrivant au campement je me disputai avec ces trois hommes. Ces derniers voulaient laisser « ce chien de Lionnais » aux corbeaux et aux bêtes sauvages. Ils se calmèrent très vite quand j'exposa un argument simple. Ceci était mon campement. Je n'étais pas soldat mais médecin par conséquent tout comme moi ce campement était neutre. Oleg comprenant cela accepta pour le reste de ses camarades. Et pendant ce temps, alors que Pershief me lançait des regards noirs dans l'obscurité, j'administra une infusion d'herbe à Bogdan et je m'occupai de la jambe de ce garçon. Lorsque que l'aube pointa à travers les arbres j'avais bandé et installé une attelle de bois sur son genou. Et ainsi nous quatre nous attendirent le réveil de cet étranger assis autour d'un feu de camp mourant.

Soudain je le vis ouvrir les yeux. Je fus soulagé, son pouls était faible et j'eu cru qu'il ne se réveillerai jamais. Il cligna des yeux et il tenta de se relever sur ses coudes. Probablement que ce geste tira sur sa blessure car je vis un grand rictus sur son visage.

La main de libertéWhere stories live. Discover now