Chapitre 22 le froid de l'hiver (chapitre pour le concours: la plume de cristal)

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Je sors le chapitre 22 avant le chapitre 21, pour la raison simple que je participe au concours la plume de cristal. Je devais pour ce concours rédiger un texte où mes personnages se trouvaient dans le contexte de l'hiver, il se trouve que ce chapitre correspondait à cela. Ainsi je vais essayer d'écrire le chapitre 21 au plus vite.

Hiver, 1934, mois des étoiles

Un souffle glacial qui s'introduit dans les veines. C'était l'époque des neiges et des feu de bois. Les animaux de la forêt, aussi divers qu'ils puissent être, rentrait dans leurs terriers. Seuls les hommes, toujours prêt à braver le monde, osaient sortir.

Moi et Sevel étions parti dans les bois chercher quelque gibier mais également pour explorer les bois autours du manoir . On ne savait pas si d'autres déserteur, ou simplement voyageurs égarés aurait eu besoin de notre aide. Même si la première catégorie se rencontrait plus en ce temps-là.

Le chevaux que nous avions récupérer en automne dans un village Lothari abandonné nous aidèrent bien dans ce voyage. Nous avions pas à nous débattre dans la neige épaisse. Les chevaux du Lothar n'était certes pas des étalons les plus rapides, mais ils étaient fort endurant et apte à résister à bien des climats. Pendant qu'ils avançaient lentement nous pouvions nous réchauffer les mains dans nos épais manteau de fourrures. Des gants de cuir nous permettait également de pallier, en partie certes, à ce problème. Car même avec cela nous sentions que nos mains étaient engourdis et prêtes à se craqueler en morceaux.

A nos ceinture pendait une lame plus ou moins en bonne état. Ici encore il s'agissait d'un coup de la chance qui nous permit de les obtenir. Mais vu leurs état nous préférions éviter tout combat. De plus je n'étais point un guerrier et la jambe de mon ami n'avait pas totalement fini de guérir.

Tout autour de nous venait de petits flocons, tournoyant et tombant entre les arbres. Un spectacle qui aurait paraître enchanteur, voire digne de grands peintre, mais qui pour nous semblait plus inquiétant qu'autre chose. En effet cela voulait clairement dire que l'épaisse couche de neige n'était pas prête de s'arrêter. Nous avions déjà trouver un chevreuil égaré dans le froid, qui nous servirait facilement de repas, compte tenu des réserves que nous avions accumulé ces derniers mois, ainsi je proposais à Sevel de revenir sur nos pas et de rentrer au manoir, avant de faire enfouir par le froid.

-Pas encore »me répondit-il calmement « je voudrais aller voir du côté de la lisière, j'ai entraperçu la lueur de flammes hier soir, dans cette direction.

-C'est donc pour cela que tu m'as emmené ici, dans cet endroit glacial. Mon jeune ami, tu aurais pu tout de même me prévenir.

-Je ne savais pas si vous alliez accepter docteur. Et avant même que vous ne demandiez pourquoi j'avais besoin de vous spécialement , sachez que tout d'abord je ne voulais pas me balader seul dans les environs, et deuxièmement si jamais des blessés sont présent dans cette direction nous pourrions peut-être les sauver.

-Intelligent de ta part jeune homme, tu mets donc à l'épreuve ma détermination en tant que médecin . Mais je pense qu'il ne s'agissait que de voyageur.

-On ne sait jamais docteur. » me répondit-il avec un sourire et un doigts pointé vers le ciel enneigé.

-Hé bien dans ce cas mène la route, mais j'espère que nous faisons pas cela pour rien.

Et ainsi nous nous mirent en route vers la lisière du Lothar, à la frontière de la civilisation.

Lentement nous descendions une pente légère entre les pins. Les chevaux progressait dans la neige sans semblants vouloirs se plaindre. Il avançait tranquillement et nous leurs donnions un peu d'avoine pour les encourager quelques peu.

La main de libertéWo Geschichten leben. Entdecke jetzt