La main de liberté

lechacalbleu645 tarafından

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Ça y'est la troisième grande guerre du nord à éclater, toute la diplomatie tout les complots n'ont pu empêch... Daha Fazla

Prologue
Chapitre 1 :Vous avez demandé un docteur ?
Chapitre 2: C'est là qu'il naquit
Chapitre 3: Le départ
Chapitre 4: L'Enfant partie1
Chapitre 5: Jour de foire
Chapitre 6: Et les ombres trament
Chapitre 8: Le Monde des puissants
Chapitre 9: Renedas
Chapitre 10: Le Sauvage.
Chapitre 11: Brume et sang
Chapitre 12: Tranche-la-lande
Chapitre 13: Un plan original
Chapitre 14: au milieu de l'enfer
Chapitre 15: Les forêts du Lothar
Chapitre 16: L'enfant partie 2
chapitre 17: la rencontre
Chapitre 18: le manoir
Chapitre 19: L'enfant dernière partie
Chapitre 20: Monstres ?
Chapitre 21: L'attente
Chapitre 22 le froid de l'hiver (chapitre pour le concours: la plume de cristal)
Attention !!!!

Chapitre 7: Bois-sous-l'Eau

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lechacalbleu645 tarafından


An 1933 ,12 du mois du feu Royaume du Lion

Le plan du roi Tehenphed était simple, défendre ses positions jusqu'à ce que toute ses forces soit prête. Ainsi des soldats de métier avait était envoyé aux frontières le temps que la grande armée Lionnaise se rassemble. C'est pourquoi le tout début de la guerre fut calme et seulement ponctué de guérilla dans les campagnes et les villages frontaliers. Mais tout cela Sevel et les autres recrues l'ignorait. Dirigés par le chevalier Hartoris Garios, connu pour ses victoires en tournoi et ainsi que par le jeune homme pour le savon qu'il avait passé au héraut, ils avançaient dans les marécages.

La route vers le fort de Bois-sous-l'eau était difficile. En effet, après avoir quitté les campagnes et les douces forêts, on arrivait dans une région rocheuse de mines et de carrières de pierres . Suivant cela on débouchait sur un immense marécage au pieds des Hebeles, plus grande chaîne de montagne du royaume. Sevel était un grand sportif endurant et fort des jambes, mais lui comme son père n'avait jamais quitté le comté de Josua et ils n'avaient jamais connu de long et fatiguant voyage comme celui-ci. Tout d'abord l'odeur de ce lieu était insupportable, elle vous montait aux narines et les transperçait comme une armée d'aiguille. Ensuite il y avait les moustiques qui vous collait à la peau tout comme l'humidité. Bois-sous-l'eau n'était pas réputé comme le lieu le plus horrible des terres du roi pour rien.
Après toute une matinée de marche dans les marécages, la troupe arriva au village. C'était très loin d'être un lieu de plaisance, les maisons étaient faite de bois et de quelques pierres si bien qu'on les aurait pris pour des cabanes d'ermites. De plus ceci ne jurait pas avec l'apparence crasseuse des habitants, les haillons qui leurs servaient de vêtement et l'odeur de produits où substance alchimique inconnu qui ressortait de tout cela. Toutes ces masures se situait sur une colline qui était surplombé par le fameux fort où Sevel allait passer des jours et des jours d'entraînement militaire.

-Mes jambes me font mal, j'ai les vêtements qui puirent et qui collent, et foutre dieu d'où sortent tous ces moustiques. " jura le jeune homme d'une voix exténué.

-Je ne sais pas peut-être des fourrées par ici et là." Lui répondirent Pramin et Jebe simultanément ,tout autant agacés.

Hé vous dans le rang, fermez-la." Beugla un soldats à cheval qui n'avait visiblement pas eu la chance de patauger dans ce paysage.

Dans ce rang se trouvai bon nombre des habitants du diocèse mais aussi d'autres lieu, ce qui mena à une longue procession d'armes et d'armure, de tissu et de terre. La fatigue et la faim traînait parmi la foule et dès qu'un fumet, bien que nauséabond, se fit ressentir les estomacs se mirent à gargouiller.

Deux jours avaient été nécessaire pour arriver en ce lieu et pourtant au fond d'eux les recrues ressentaient que le pire était à venir. En effet Bois-sous-l'eau n'était pas réputé pour faire de cadeaux, les hommes qui en ressortait était endurci et prés pour la guerre, et le seigneur Hartoris n'était point doux. Ainsi la promesse d'un quelconque repas réchauffa le cœur de toute la troupe et ils entreprirent la monté de la colline, vers le fort.

Rapidement après être passé entre les rues crasseuses du village, entre les pêcheurs, de je ne sais quoi, et les prostitués errantes, ils arrivèrent aux portes en bois du fort. Rapidement Sevel put remarquer la taille de ce dernier, cernée de pieux de bois acérées et de palissades. Le fort faisait bien deux hectares de surface, il était si grand qu'un millier d'hommes aurait pu y loger. Pour ce qui était du luxe il faut savoir que les soldats dormaient dans des tentes à même le sol sauf pour le commandant qui logeait dans un somptueux pavillon rouge et or. Figurez-vous que ce dernier était bel bien le chevalier Hartoris Gianos. Un monde aurait pu se former entre lui et ses hommes, mais ce-il pris toujours grand soin de s'occuper de ses subordonnées, à sa manière certes, mais d'une façon profondément juste.

Ainsi la foule entra et on dirigea rapidement les recrues vers un large pavillon marron, d'où émanait une fumée grisâtre. Arrivé devant la forge Jebe, Sevel et Pramin se regardèrent puis entrèrent sous le tissu. À l'intérieur comme ils s'en doutaient se situait un arsenal. Là dans ce lieu de chaleur et d'acier régnait un homme grand au muscle épais et au torse luisant de transpiration, surplombant ce corps de demi-dieu se trouvait une épaisse barbe cuivrée et des cheveux bouclé. Cet, homme, battait le fer avec son marteau si fort qu'il fallut que Pramin hurle pour se faire entendre. Alors l'artisan cessa son travail regarda les recrues qui entrait petit à petit dans sa tente, puis d'une voix douce comme le miel il énonça ses mots

-Ha les recrues, je vois, approchez, approchez.

Jebe fut le premier à faire face au dieu de l'acier qui lui fournit alors une floppé d'équipement différents en les énumérant.

-Voici donc ton gambison, tes chausses de tissu ton tabard, tes cubitières, tes gants, tes bottes, ta vouge, ton écu , la ceinture pour accrocher le tout , et ton casque, au suivant. "

L'homme agissait comme s'il avait pratiqué ce métier depuis sa naissance, et c'est ainsi qu'en à peine une ou deux heures toutes les recrues eures leurs paquetages et alors vint la douce soirée avant le dure entraînement. on avait donné à chacun une petit paquetage qui servait notamment de tente pour les hommes. Ainsi c'était un petit bout de tissu et quelques piquets pour maintenir le tout en place. Cela protégeait au mieux de la pluie. C'est dans cet abris que le jeune homme s'empressa de s'équiper de tout ce qui lui avait été fourni à la forge .

Sevel mit du temps à comprendre où se plaçait chaque élément de son armure, notamment les cubitières, se mettait elles aux genoux ou au coudes, il l'ignorait. Il mit ses chausses par dessus son pantalon, le gambison par-dessus son torse, la brigandine par dessus ce dernier, les gants, les bottes et la ceinture lui parurent assez évident, puis il il finit par mettre le tabard par dessus tout cela. Ce dernier vêtement était aux couleurs du royaume rouge et or, la tête du lion couronnée qui représentait le Fauve, un homme lion venu d'une lointaine contrée du Sud et qui avait fondé ce pays à partir de la cité de Renedas. Tous paysans , bourgeois et nobles connaissait l'histoire de ce héros reconnu pour avoir gagné de nombreuses batailles contre les seigneurs esclavagistes, il ya plus de mille ans. Néanmoins certains historiens mettait l'existence de ce fameux fondateur en question. Enfin il le faisait avant de passer au billot.

Après avoir fini de se recouvrir de tout cela le jeune homme pris le casque que le forgeron avait nommé "chapel de fer" et qui portait bien son nom car en effet il ressemblait à un couvre-chef. Après avoir posé le chapel de fer sur sa tête Sevel contempla pendant un instant la vouge, cette lance dont il allait devoir se servir. Il se demandait à ce moment si il serai capable au coeur d'une bataille de planter ceci dans le chair. Serait-il capable au coeur d'une bataille de tuer de mettre fin à une vie , à une histoire. Il ignorait à ce moment toute la furie de l'homme.

Le soir tombait sur le marécage , les crapauds et les grillon du marais s'était organisé en un concert arboricole et la lune leurs servait de chef d'orchestre. Au fort de bois-sous-l'eau le repas fut servi, soupe de lentilles, quignon de pain et quelques saucisses de porc pour les officiers , mais en vérité toute nourriture était accueilli comme un festin par les hommes épuisé du voyage. Ainsi de nombreux feux de camps avait été installé un peu partout, brillants dans la nuit. On fit cuire la soupe dans des marmites pendant toute la nuit, et les soldats riaient et chantaient à la belle étoile.

C'est autour d'un feu et d'un souper que Jebe, Pramin , Sevel et le vétéran qui s'était battu avec le père de l'adolescent, le dénommé Kerph, s'étaient installée. Quelques autres hommes traînait et dans cette petite assemblée un silence de mort régnait et une tension asphyxiante s'était posé tel l'air orageux. La lumière des flammes dessinaient les ombres sur leurs visage, soulignant les os et le creux du visage.

-Je suis désolé si je t'ai une peu brusqué le plouc" commença le vétéran en brisant la glace et en regardant Pramin droit dans ses yeux bleus.


Le paysan étonné lui renvoya son regard et en se redressant il lui lança.

-Parce ce que tu crois, que je n'ai pas vu pire que toi mon gars ! J'étais pugiliste dans mon coin et ce n'est pas le premier venu qui allez me "brusquer".

Les deux hommes se regardèrent avec hargne avant d'éclater de rire.

-Ah le plouc, t'est un marrant c'est quoi ton sobriquet.

-Pramin, ça veut dire fils de la Terre !" prononça-il avec fierté en montrant ses muscles." Lui c'est mon garçon Sevel et à côté de toi y'a Jebe, un sacré blagueur, pas vrai Jebe !"

-Tu l'as dit mon ami" rétorqua le concerné en levant son écuelle.

Le vétéran souris, d'une manière légèrement mélancolique."

-Et toi comment on t'appelle" lui demanda l'ancien pugiliste.

-Mon nom est Kerph, ça n'à pas de signification spécifique, mais c'est celui que m'a donné ma ribaude de mère avant de claquer."

-Désolé" répondit Sevel solennellement.

Alors Kerph posa une main sur l'épaule de l'adolescent, avec une force et une bonté immense.

-Merci gamin, mais mordiable ça fait des années, plus aucune tristesse me fait chialer aujourd'hui !

Et la discussion reprit passant de commentaire sur la soupe et le bienfait qu'elle apportait, à la fraîcheur de la nuit. Puis peu à peu la discussion dériva sur les ennemis qu'il aurait à affronter là-bas, et là le ton du vétéran devint bien plus grave.

-D'après ce que je sais on va devoir passer par le nord des forêts du Lothar. Là-bas ce ne sont pas les clans Lothari qui vont nous poser problème mais les tribus Viajirs. Je ne sais pas si vous avez déjà vu des Viajirs, les recrues, mais ce sont des cavaliers hors pairs et de guerriers de légende. J'en ai vu un jour atterrir au milieu d'une troupe de piquer et il a commencé à taillader avec sa lance et son bouclier, le sang y giclait sur ses tatouages. Après un bon bout de temps de massacre les soldats de la troupe ont fini par l'avoir mais ça à était compliqué. "

Le silence s'installa dans l'assemblée et chacun était suspendu aux lèvres de Kerph qui visiblement avait bien connu la violence des champs de bataille. Sevel percevait dans le regard du soldat un profond chagrin, de la haine et de la rage. Esse que cette haine était tourné contre lui-même où contre le peuple Viajir, voir contre les dieux qui avait autorisé cela. En lui le jeune homme sentait la culpabilité d'avoir put considérer ses problèmes comme importants alors que cet homme en face de lui, ce Kerph avait connu bien pire.

-Le pire c'est quand on entend leurs cors au loin , on sait alors qu'une horde entière de cavalier va débarquer, et là les commandants s'inquiètent et paniquent et c'est à nous soldats de s'occuper du sale boulot de former les lignes. Mais , on a beau essayer de maintenir la ligne de maintenir le rang , quand le choc est là c'est un éclatement de tripes et de sang. Ces foutus pa¨iens nous on mis en pièce ce jour là, on a dut fuir à toute jambe pour éviter de crever et j'ai eu de la chance de survivre , beaucoup de chance. vous comprenez maintenant les recrus il nous envoie au casse pipe, et vous allez prier tous les dieux que vous connaissez pour vous en sortir.

Aucun des membres de l'assemblée de dit un mot et même les rires et les chants dans tout le campement semblait s'être tut. Après un petit moment de recueillement, pour tous ces hommes mort contre les barbares, Sevel se leva presque solennellement. Il se dirigea alors vers sa tente pour aller dormir, demain serait une dure journée.

Le réveil fut violent , on leva les soldats alors que les soleil n'avait même pas entamer sa course. Nombreux furent ceux qui reçurent un saut d'eau en guise de sommation . On traîna les soldats en encore embrumée dans la nuit sur un champ d'entraînement où on les fit courir en arme et armure pour commencer. Le chevalier Hartoris et les officiers ,dont kerph qui se révélait être l'un d'eux, étaient posté sur des destriers, scandant des phrases pour motiver ou effrayer les troupes. ,

-Si vous n'êtes pas capable de courir avec tout votre équipement alors vous êtes mort, un cavalier va vous rattraper et vous piétiner, les flèches vont vous transpercer. Allez y courez bande de larves!" un sourire se dessina sur la tête de Kerph à mesure que la transpiration coulait sur la terre.

Sevel sentait en lui tout le poids de son armure ,appuyant sur ses épaules ,comprimant ses poumons à mesure qu'il respirait. À ses côtés son père courait soutenant l'épais paquetage mais arrivant à peine à souffler. En observant autour de lui le jeune homme remarqua que la plupart des recrues était mis à rude épreuve, certains s'écroulaient même sur le sol. Pour ce qui était des vétérans s'entraînant avec les nouveaux venus on ne pouvait que constater de leurs endurances et de leurs forces impressionnantes défiant même la fatigue.

Après une ou deux heures de course de nombreux soldats semblaient épuisé et prêt à recraché leurs poumons . On pouvait voir les hommes en nage partout et même le puissant Pramin avait du mal à tenir debout. La chaleur prodiguait par le gambison était tel que le soleil levant arriva à toucher le crâne des recrues leurs faisant bouillir le cerveau. Malheureusement pour ses dernières l'épreuve était loin d'être terminé car à peine qu'il se remettait de leurs épuisement qu'un cor retentit et qu'on leur intima de faire des exercices de forces au sol que l'on nomma "pompe".

À chaque soulevé du corps le garçon sentait ses muscles se raidir et trembler, et après une dizaine d'entre elles il faillit s'écrouler sur le sol, mais il se retint avec panache. Autour de lui nombreux furent ceux qui s'était écroulé de fatigue et les officiers passait dans les rangs pour leurs asséner des coups de pieds tout en gueulant.

-Tout homme assez faible pour ne pas avoir tenu serait mort sur le champ de bataille. Pensez aux barbares Viajir vous écrasant de tous leurs forces, et contempler votre faiblesse ! "hurla Hartoris en mirant de haut les larves qui lui servait de bataillon.

Après toute une matinée d'entraînement, de souffrance et de sueur, on leva l'entraînement et on autorisa les troupes à se reposer. Certains retirèrent leurs armures pour trempait leurs pieds dans des bassines d'eau froide alors que d'autre en profitaient pour simplement faire une sieste bien méritée.

Les jours s'enchaînent avec leurs lots de courbature et de fatigues. Chaque soir le sommeil était accueilli comme libérateur, et le repas également. Malgré la bonne ambiance qui régnait dans le campement, un froide tension s'installait lentement au rythme des histoires autours des Viajir et de leur sauvagerie sur le champ de bataille. On parlait sans cesse de Zenoc le sauvage et des exploits meurtrier qui lui avait valu son nom. Il faut savoir que cette tension était présente dans tout le royaume depuis que la guerre avait été déclaré. Chaque mère pâlissait au récit de bataille sanglante, chaque soldat se faisait dessus lorsque qu'ont évoqué les terres sauvages, et ce qui pouvait s'y cacher.

Un soir alors que Sevel n'arrivait point à dormir dans sa couchette, il sentit une main se poser sur son épaule. Soudain en se retournant il vit le visage illuminé par la lune de son père et de Kerph. Il se leva, surpris par cette intervention et intrigué par le visage souriant des deux soldats, récemment devenus amis.

-Hé gamin, on à une idée de malade." le soldats s'arrêta un instant savourant un plaisir qui était pour l'instant inconnu du jeune homme" On va se rendre en ville avec les gars pour boire un verre où deux.

-Attendez... ... attendez" répondit le garçon inquiet" On ne peut pas faire ça, pas vrai"


Le vétéran le saisit alors par l'épaule et le prenant à part, il lui dit calmement.

-Tu sais gamin, demain le régiment part pour la capitale rejoindre l'armée, ce qui veut dire que c'est notre dernière soirée avant les futurs combat, et notre dernière soirée dans ce trou puant. Alors pour une fois ne désire tu pas la compagnie de quelques demoiselle, et d'une chope de bière de Bois sous l'eau".

Le jeune homme venait d'apprendre un fait assez important, le régiment partait demain. D'un côté il était inquiet de se faire punir pour sa mégarde de l'autre l'idée d'une petite fête de départ avant les combats ne lui déplaisait pas.

Alors toute une troupe ,d'une dizaine d'homme ,descendis la colline et sortir du camp ,grâce à quelques pot de vin que Kerph avait délivré aux sentinelles. Et bien entendu comme vous vous en doutez cher lecteurs notre jeune ami était de la partie.

Kerph poussa la porte de l'auberge de son pied , deux prostitués aux bras. Les hommes s'assirent aux tables et on fit commander du poisson et des "frites" spécialité de la région, ainsi que tout un tonneau de bière. La soirée se passa bien, pour le jeune homme, qui finit vite ivre. L'alcool se répandit par terre et des chants résonnérent qu'un chien accompagna de son hurlement. Alors les étoiles observèrent de leur tranquille regard cette orgie de plaisirs et de musique.

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