Il arrive un moment où nous nous retrouvons tous confrontés à ce qui nous fait peur. Certains d'entre nous redoutent de ne jamais être pardonnés. D'autres s'inquiètent, va-t-elle découvrir la vérité ? Quelques unes s'interrogent, serait-il capable de me mettre à la porte ? Oui, le monde dans lequel nous vivons est effrayant. Et il est encore plus terrifiant si nous devons l'affronter, seul.
Je sors en dehors du café, la discussion que je viens d'avoir avec cet inconnu me rend paranoïaque. Et s'il fesait partie du gang ? Je reconnais une silhouette, Ellen vient juste d'entrer dans le café, elles se retourne et met une main sur son front, elle ressort et me rejoint.
-Desolé, je ne suis pas une personne du matin. dit-elle en riant
-Quelque chose ne va pas ? dit-elle en penchant la tête sur le côté
-Pas vraiment. dis-je
-Tu veux en parler ?
Je hoche la tête et elle tire une chaise et tapote dessus, je vais m'y asseoir et elle se met en face de moi.
-Alors ? dit-elle visiblement inquiéte
-Le garçon de piscine dont je t'avais parlé, c'est un criminel, il a volé des affaires à Harry mais je l'ai découvert, et il s'est fait poignardé et il est venue chez moi.
-J'en ai entendue parler dans le journal local. dit-elle
-Et je l'ai ramené en voiture jusque chez lui, et je me suis faite arrêté par la police, je roulais un peu vite, et il a vu le sang de Chris dans la voiture et il m'a embarqué.
-Je te laisse trois jours et voilà ce qu'il se passe. dit-elle
-Je viens de voir un de ses amis dans le café, il m'a posé beaucoup de questions et quand je lui ai dit que j'avais tout raconter à la police, il s'est précipité dehors.
-Vic, fait attention, je suis sérieuse, ne te promène pas trop dehors attend un peu que cette affaire se calme et qu'il soit arrêté. me dit-elle avec les yeux remplis d'inquiétude
-Harry est au courant ? demande t-elle
-Oui.
Elle me sert dans ses bras.
-Sois prudente, Harry est là pour toi.
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J'appelle Harry, mais il ne répond pas, je décide de me rendre à la villa, je ne me sens plus en sécurité dehors, après avoir rencontré cet inconnu, la façon dont il c'est précipité dehors m'a en quelques sortes effrayé, je rentre à la villa et Harry n'est pas ici, je le cherche partout mais rien, je monte à l'étage, il n'est pas dans sa chambre, j'entre dans son bureau et il y est, en pleine discussion avec Niall et Mr Payne, ils interrompent leurs conversation et me regardent.
-Bonjour Victoria. dit Niall
-Bonjour désolé de vous déranger, Mr Styles je peut vous apporter quelque chose pour vous et vos collèges ? dis-je en jouant parfaitement la comédie
Il sourit malicieusement et me regarde intensément.
-Non, ça ira comme ça, ne vous dérangez pas pour ça. dit-il en rentrant dans le jeu
Je referme la porte, en attendant dans le salon qu'ils finissent et partent. Après une demi heure je les vois tous redescendre et Harry les salut et referme la porte et soupir, nos regards se croise et il sourit en se mordant les lèvres.
-Harry je dois te parler.
-Plus tard. dit-il en enfouissant sa tête dans mon cou
-Je viens d'avoir une réunion super importante et super ennuyeuse. rajoute t-il
Il dépose des baisers humide sur mon cou et ma clavicule, une de ses mains glisse sur l'ourlet de ma jupe et il joue avec, tirant desssus, le bruit de la télé couvre ma respiration bruyante, il grogne quand ma mains se dépose sur ses cheveux et tire faiblement dessus, mon dos heurte le plan de travail de la cuisine et je sens ses mains sur mes hanches il me soulève et me dépose dessus, ses dents me mordre légèrement le lobe de mon oreilles, je ferme les yeux et ma tête glisse vers l'arrière. Il grogne de satisfaction, je joue avec le col de sa chemise, ses mains habile parcourent mon dos et je l'arête.
-Je dois vraiment te parler. dis-je à bout de souffle
-Je t'écoute. dit-il en réajustant sa chemise et ses cheveux désordonné par ma faute
-Ce matin je suis allée au café et un amie de Chris m'a reconnue et il m'a posé énormément de questions et quand il a sût que j'avais tout raconté à la police il s'est précipité pour sortir.
Il regarde le sol mais son regard est perdue dans ses pensées.
-Si tu le recroise dit le moi, et si il y a encore des inconnus qui vienne te demander quoi que se soit, continue ton chemin.
-Ok.
Il dépose un baisers sur mon front.
-Je suis là tu n'a pas à t'inquiéter. dit-il d'une voix rassurante
-Je sais, maintenant tu peut m'aider à descendre d'ici ?
Il sourit et me prend par la taille et m'aide à descendre.
-C'était pourquoi la réunion ? lui demandais-je
-Une collaboration, nous avons un concurrent potentiel depuis quelque temps mais rien d'efrayant. dit-il
-Qui donc ?
-Un certain Tomlinson, il rachète des clubs de foot pour se faire de la pub même si cela n'a rien avoir avec la finance et le marketing.
Je réajuste ma jupe, il le remarque et sourit en se passant la langue sur les lèvres, ce qui me fit monter le rouge au joues. Il me prends dans ses bras et mon dos se plaque sur son torse, je sens quelque chose qui me gêne, une bosse, je m'enlève se son emprise le pluz vite possible et j'ecarquille les yeux, espérant que ce n'est pas à quoi je pensais, mais mes doutes son confirmer.
-Harry !? Déjà ? demandais-je en essayant de ne pas regarder son pantalon
-C'est pas de ma faute, je t'ai dit que cet uniforme me fait de l'effet. dit-il un peu gêné
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Le nuit commence à tomber, je prends mon sac afin de rentrer chez moi, je viens de frôler l'encadrement de la porte quand Harry m'interpelle.
-Vic, tu pourrais rester encore une nuit de plus ?
-Tu comptes me retenir en otage ici pour combien de temps encore ? dis-je ironiquement
-Je t'accompagnerais jusque chez toi et tu prend quelque affaires.
-Ce n'est pas comme si j'avais accepté. dis-je en croissant les bras
-Juste cette nuit, aller.
Je comptais accepter quand Harry reçoit un appel du bureau, il me prévient qu'il doit y aller de suite, il s'en va, me laissant seul dans la villa.
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Je regarde la télé dans la chambre d'Harry, quand j'entends la porte se claquer, il est revenue, je descend en bas, mais je ne vois personne, je cherche partout mais rien, j'entends un cliquetis dernière moi, je me retourne et je vois Chris avec un pistolet pointé sur moi, je me fige sur place.
-Tu as tout dit à la police. dit-il froidement
-Il le fallait.
-Tu n'est qu'une imbécile toi est ton copain, il n'y a rien d'urgent à son bureau, j'ai appelé, je surveille la villa et je savais que tu serais ici, maintenant il faut juste que je me débarrasse de toi.
-Tu n'est qu'un, m'énervait-je
-Con, oui je le suis. dit-il en souriant
J'attends quelque secondes avant de courir à l'étage, je l'entends tirer et une balle à faillit m'ateindre, je m'enferme dans la chambre d'Harry, je me souviens qu'il a dit qu'il gardait un revolver près de son lit en Grèce, j'espère que c'est le cas ici. Je regarde sous le matelas, rien sous le lit non plus, il y a juste une boîte, je la prends et je l'ouvre, j'y trouve un revolver. La porte s'ouvre et je pointe l'arme sur Chris.
-Je ne ferais pas ça si j'étais toi.
-Mais tu n'est pas moi. dis-je en tirant sur sa jambe
Il s'écroule par terre et se met à jurer et m'insulter de tout les nom, je prends mon téléphone et j'appelle la police.
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En quelques minutes la police arrive. Ils passent les menottes et embarquent Chris.
-Il a tenté de vous tirer dessus ? me demade l'inspecteur
-Oui.
-Et vous lui avez tirer dessus par légitime défense.
-C'est ça.
Je vois Harry arriver en courant dans la villa.
-Que c'est t-il passé ici ? demande Harry
-Il a tenté de se débarrasser de votre femme de ménage, et elle lui as tiré dessus.
Il s'approche de moi.
-Tu va bien ? demande Harry inquiet
-Oui. dis-je froidement
La police s'en va, nous laissant seul, moi et Harry.
-Tu va bien ? demande Harry pour la dixième fois
-Je vais bien et arête d'agir avec moi comme si j'étais une petite chose fragile.
-Je suis désolé de t'avoir laissé, je ne savais pas, et il n'y avait rien au bureau.
-C'est lui qui t'a appelé.
-Vic, excuse moi.
-Ça va tu ne pouvais pas savoir, raccompagne moi chez moi, s'il te plaît.
-D'accord. dit-il déçue que je ne reste pas pour la nuit
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Le chemin se fait silencieusement, aucun de nous ne dit un mot, je sais qu'il culpabilise et qu'il s'en veut mais ce n'est pas sa faute, ce fût une journée horrible, j'ai touché la mort de près, je repousse cette pensée de mon esprit. Il se gare et je le regarde, il regarde ses mains et fronce les sourcils. Je sors de la voiture et je rentre chez moi. Comment ma vie tranquille a pût prendre cette tournure ?
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Je m'excuse d'avance ce chapitre est vraiment inintéressant et court j'ai pas trouvé l'inspiration aujourd'hui :/