Pas sans toi ( Partie 1) EN R...

By Yvyayden

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Jenny est une jeune femme de 24 ans, qui vit à New York. Elle a quitté sa ville natale, sa famille et ses ami... More

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
message personnel
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Explications
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Chapitre 51
Chapitre 52
Chapitre 53
Chapitre 54
Chapitre 55
Chapitre 56
Chapitre 57
Chapitre 58
Chapitre 59
Chapitre 60
Chapitre 61
Chapitre 62
Chapitre 63
Chapitre 64
Chapitre 65
Chapitre 66
Merci
Chapitre 67
Chapitre 68
Chapitre 69
Chapitre 70
Chapitre 71
Chapitre 72
Chapitre 73
Chapitre 74
Chapitre 75
Chapitre 76
Chapitre 77
Chapitre 78
Chapitre 79
Chapitre 80
Encore merci
info
Coucou
1
2
3

Chapitre 31

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By Yvyayden

J'étais arrivée devant les portes du restaurant. Sur la devanture, on ne lisait plus "Chez Lise" mais "Chez Lise & Co" mon coeur était envahi de joie, d'émotions et d'une grande fierté. Je poussai nerveusement la porte, mais ma nervosité allait vite s'évaporer grâce à l'accueil chaleureux de tante Lise. Comment mieux réussir sa reconversion professionnelle autrement qu'en travaillant avec la personne que l'on admirait le plus au monde ?

- Ah te voilà ! Mesdames et Messieurs je vous présentent mon associée. Ma fabuleuse nièce Jenny !

Il n'y avait que quatre personnes dans le restaurant, mais tous m'accueillaient avec un large sourire de bienvenue. J'entrai d'un pas plus assuré.

- Bonjour !
- Viens par là ma chatoune !
- Tante Lise ! S'il te plais ne...
- Ohhh ! Il va falloir que j'arrête de t'appeler comme ça en public. Excuse moi ma chérie.
Je lui fit un sourire empli de satisfaction.
- Très bien ! On va faire un petit tour du propriétaire Mademoiselle l'associée ! Ici tu as les machines à café, là les tireuses à bière. Je vais te montrer comment ça fonctionne dans quelques minutes. Mais je suis certaine que tu vas vite apprendre car tu vas en servir des milliers par jour. Là tu as les sets de table et les couverts. Ça c'est le passe plat où Bobby déposera les assiettes à servir et là c'est la caisse. Tu as tout saisi ?

Je lui fit un oui de la tête. Cela faisait beaucoup à assimiler en même temps, mais je m'en sortirai comme toujours.

- Bien ! Maintenant j'ai une surprise pour toi ! Tu as pris ton nouveau tablier ?
Je levais le bras, le tablier au bout des doigts.
- Extra !! Comme tu le sais, après le service du midi c'est plutôt calme ici, jusqu'au service du soir. Je ne veux pas que tu passes tes soirées ici, au lieu d'être avec ton fiancé. Donc j'ai eu une idée ! Suis moi. Tu te souviens de la pièce qui ne servait à rien à côté ?

J'acquiescai de la tête et la suivit jusqu'à la porte. Quand elle ouvrit et que nous pénétrâmes à l'intérieur, mes yeux brillaient d'émerveillement. Tout était magnifique, des tables et des chaises en fer forgé blanc. Les murs étaient bleu clair avec au milieu une bande rose et un comptoir gris métal. La caisse enregistreuse était spectaculaire, comme tout droit sortit d'un film des années cinquante. Et juste au dessus une pancarte lumineuse sur laquelle était écrit" Les Cupcakes de Jenny" je n'en cru pas mes yeux.

- Je voulais te faire une surprise. J'espère que ça te plais ?
- Tante Lise ! C'est magnifique !
- L'après-midi tu pourrai peut-être tenir ce salon de thé ? Et tu serai chez toi vers dix-huit heures. Qu'en penses-tu ?
- J'en pense que c'est une idée géniale ! Merci, merci !

Tante Lise soupira bruyamment.
- Ouffff... Me voilà soulagée. Oncle John confectionnera tous les Cupcakes dont tu auras besoin, et les livrera ici tous les matins. Tu auras juste à faire le glaçage et à les vendre.
- Oncle John ? Mais il est à la retraite !
- Oui ! Et il s'ennuie comme un rat mort. Bon on retourne de l'autre côté ? Tu vas t'exercé à la tireuse prête ?
- Oui madame !

Elle se mit à rire et nous nous dirigeâmes côté restaurant. Tante Lise s'appliqua à m'expliquer de manière très pédagogique le fonctionnement de la tireuse. Je ne réussi à maîtriser la bête qu'au bout de la vingtième pression. Ce qui selon ma chère marraine n'était pas si mal pour une première fois.
Midi moins dix, la salle de restaurant avait commencé à se remplir depuis une trentaine de minutes. Lise me rassurait continuellement, je devais bien avouer que cela m'étais d'un réconfort immense. La porte s'ouvrit et quatre policiers firent leurs entrée. Il y avait trois agents et le quatrième était mon fiancé. Le premier agent s'avança jusqu'à moi en souriant.

- Jenny ! Je suis content de te revoir dans notre petite ville !
- Euh... Bonjour.
- Tu ne me reconnais pas ?
Je hochais la tête de gauche à droite. Apparemment je connaissais cet homme.
-Doug ! On était en maths ensemble au lycée.
- Doug Kessler ?
- Je seul et l'unique ! Je te présente Abby Smith notre nouvelle recrue.
- Enchantée ! Jenny Wyatt. Cette fille est superbe avec ses cheveux blond coiffés en chignon et ses yeux verts.
- De même. Ravie de rencontrer la fiancée de notre adjoint. Elle eût soudain un sourire confus. Désolée j'étais à la fête de Noël.
- Il n'y a pas de mal. Toute la ville est au courant et c'est un plaisir pour moi aussi. Sinon je vous sers quoi de bon ?
- Quatre plats du jour. Reprit Doug.
- Ça marche ! Aller vous installez je vous apporte ça.

Tyler me fit un sourire satisfait et me fit signe de les rejoindre. Je saisis mon calepin et me hâta jusqu'à leur table.

- Ça va bébé ?
- À merveille ! Je peux vous servir quelque chose à boire ?
- Euh... Deux Pepsi, une eau minérale et... Une eau gazeuse pour moi.
- Parfait ! Je vous apportes ça de suite !

Tyler et ses compagnons prirent leurs déjeuner en riant tout le long. Le voir sourire et si à l'aise avec ses équipiers était une facette de lui que je ne connaissais pas. Tout en continuant de servir mes clients, je ne pouvais décrocher mes yeux de lui. Tout en lui était fascinant. Les muscles de ses bras qui se contractaient quand il bougeait, les fossettes qui se dessinaient quand il souriait. Je ne pouvais m'empêcher d'admirer celui pour qui mon coeur battait.
Quand ils eurent fini, les quatre comparses se levèrent. Tyler se dirigea vers moi en souriant.

- Tu peux mettre la note sur le compte du poste ? On règle à la fin de chaque mois. Madame Collins passera.
- Ok pas de soucis. Lise me montrera comment faire.
- Super. Je dois filé, on se voit ce soir. Je t'aime.
- Je t'aime plus encore.

Il m'embrassa délicatement et fila. Le reste du service se déroula plutôt bien, compte tenu de mon inexpérience totale dans le milieu de la restauration. Vers quinze heure, Lise vint me voir.

- Alors tu as survécu ma grande ?
- Je crois que oui. Pas trop déçue de pas performance ?
- Déçue ? Tu plaisantes ? Tu as été parfaite !
- Vraiment ? Alors maintenant je dois aller au salon de thé ?
- Non ! C'est pour demain. Aujourd'hui tu as quartier libre.
- Très bien je vais en profiter pour passer voir maman alors.
- C'est une excellente idée ma chérie ! À demain.
- À demain ma chère marraine.
- Oh j'adore quand tu m'appelles comme ça !

Je sortis du restaurant et me rendis chez mes parents. Une fois devant la porte, je frappa et entra dans la maison. Ma mère était assise dans son fauteuil et lisait un livre. En me voyant elle se leva et vint à ma rencontre en souriant.

- Ma chérie ! Comment c'est passé ton premier jour ?
- Étonnamment bien ! J'ai vraiment aimé travailler avec Lise.
- Je trouve ça génial. Tu veux un café ?
- Avec plaisir ! Charly n'est pas là ?
- Non, il est chez sa petite-amie.
- Sa petite-amie ?
- Oui il sort avec Chistie Martins.
- La fille de Mark ? Qui travaille à la gare ?
- Oui elle est adorable !
- Elle est magnifique aussi !

Nous avons passé l'après-midi à parler de tout et de rien. Elle me raconta, comment Charly avait conquit le coeur de Christie, neuf mois auparavant. Elle me demanda ensuite, comment se passer la vie à deux, moi qui avais été une solitaire endurcie pendant des années. Je lui expliquait à quel point j'étais heureuse et que ce bonheur me faisait peur. La peur de tout perdre, était le seul nuage dans mon ciel si bleu.
Quand je regardais ma montre, il était déjà dix-huit heures trente. Je pris congés de ma mère et rentra à la maison. Devant notre allée je m'aperçu que Tyler était déjà rentrer. J'ouvris la porte en m'exclamant.

- Tyler ! Je suis rentrée !

Il vint à ma rencontre, il ne portait qu'un pantalon fluide noir, qui lui tombait de façon très sexy sur les hanches. Il prit mon visage entre ses mains et m'embrassa sauvagement. Il me colla contre la porte, en soulevant le bas de ma robe.

- Ty... Tyler je dois prendre une douche...
- On verra après...
Je le repoussa doucement mes deux mains posaient sur son torse.
- Non Ty... Je veux prendre une douche !
Il me regarda agacer. Il me saisit pas la taille.
- Très bien si tu le prends comme ça !
Il me souleva et jeta sur son épaule.
- Ty ! Mais qu'es ce que tu fais ?!
- Tu veux prendre une douche ? On va prendre une douche !!
Il monta les escaliers deux par deux.
- Ty ! Je vais tombé !
- Tais-toi !
Arrivait en haut, il ouvrit la porte de la chambre d'un coup de pied et se dirigea vers la salle de bain. Il alluma la lumière et ouvrit le robinet et me déposa dans la douche sous le jet.
L'eau froide me fit sursauter.

- C'est froid ! T'es malade !
- Tu vas te réchauffé fais moi confiance.

Il me plaqua contre le mur et serra mes poignets au dessus de ma tête à l'aide d'une de ses mains et m'embrassa durement. Il me relâcha et passa ses mains sous ma robe et déchira ma culotte. Ses doigts glissaient jusqu'à mon entrejambe et ils dessinèrent des cercles sur le point de mon excitation. J'encerclai son cou de mes bras et collais encore plus contre lui. Je sentis son doigt s'insinuer lentement en moi et faire des va et vient lents puis plus rapides. D'un geste rapide il baissa son pantalon libérant ainsi son désir. Il plaça ses bras sous mes fesses et me souleva avant de me pénétrer profondément. Il fit des va et vient lents, avant de faire des coups de reins de plus en plus brutal. Je sentis le plaisir montait d'une manière fulgurante. Ma vision se troublait, une chaleur me brûlant le ventre signe du jouissance proche. Je serrais mes jambes autour de sa taille et je criais son nom en explosant en mille éclats autour de lui. Il rejoignis rapidement et laissant retomber sa tête sur ma poitrine.

- Bonne douche ?
- Très bonne mais tu as ruiné une robe hors de prix.
- C'est important ?
- Absolument... Pas !
Il me sourit et m'embrassa tendrement.
- Je ne me laisserais jamais de ton corps.
- Et moi de tes idées complètement tordues.
- Bienvenue dans mon monde bébé...

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