Pas sans toi ( Partie 1) EN RÉÉCRITURE #wattys2017

Chapitre 70

 

           Cette soirée était juste incroyable. Les invités extraordinaires. Toutes les émotions toutes différentes les unes des autres s'étaient rencontrées, les rires, les larmes, toute cette joie partager.

              Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, il fallait bien que la fête se termine. Les invités quittèrent la salle de réception au fur et à mesure. Malgré la joie de cette journée et cette soirée extraordinaire, une petite appréhension ne cessait de me perturber, j'allais laisser mon bébé cette nuit pour la première fois. je savais bien qu'elle ne risquerait rien avec mes parents, pourtant je ne pouvais m'empêcher de m'inquiéter. Elle était si petite, mais Tyler et ma mère avaient fini par me convaincre. J'avais le droit à ma nuit de noce, même en temps que jeune maman. J'embrassais ma fille et mes parents, tandis que Tyler me pressait pour partir. Il semblait que Monsieur Dawson était pressé de vivre sa nuit de noce.

            Nous partîmes donc pour l'hôtel dans notre sublime voiture décorer. Le trajet fut relativement court jusqu'à notre destination pour la nuit. Tyler et moi entrâmes dans l'hôtel éclairait de petites lumières tamisée. 

               Une fois devant la porte de notre chambre, Tyler sortit la carte magnétique de sa poche et la glissa dans la fente accrochait à la poignée. Le petit voyant rouge s'éclaira en vert déclenchant de le mécanisme et la porte se déverrouilla.
     J'allais pénétré dans la chambre quand Tyler me retint par le bras.

     - Où comptez-vous aller Madame Dawson ?
     - Et bien...

              Je n'eus pas le temps de finir ma phrase, que Tyler me souleva de terre. Mes pieds ne touchaient plus le sol, mes bras entouraient son cou. Tyler me fit passé le seuil de la chambre comme j'avais pu le voir dans les films.

            Tyler me déposa sur mes pieds et pressa ses lèvres sur les miennes. Il referma doucement la porte alors que j'avançais lentement dans la chambre. Le lieu était féerique, tout de blanc immaculé avec uniquement des pétales de roses rouges sur le lit.

            Ma timidité commençait à faire son apparition, c'était oublié ma diablesse intérieure. Elle arrivait comme un cheval au galop, bien décidait à combler l'homme que je venais d'épouser.

          Je sentais sa présence derrière moi, cette tension qui s'installait progressivement, ses doigts qui effleuraient la peau de mon cou en descendant d'une lenteur
insoutenable sur mes épaules. Ses lèvres se posèrent délicieusement sur ma nuque, tandis qu'il ôtait un à un les épingles de mon chignon. Mes cheveux dégringolaient dans mon dos. Il repoussa précautionneusement ma chevelure sur le côté et défit en se délectant de chaque seconde les petits boutons en formes de perles qui refermaient mon bustier. Il glissa ses pouces entre les tissus épais que formaient ma robe et mon jupon et ma taille. Il fit descendre le tout jusqu'à mes chevilles, dévoilant mes sous-vêtements choisi avec minutie pour ce grand jour. Il avait effleuré la peau nue du haut de mes cuisses jusqu'aux bas blancs retenus par des jarretelles. 

             Je passais par-dessus le tissu étalait sur le sol et lui fit face. Mon soutien-gorge bandeau en forme de corbeille donnait à ma poitrine un effet galber et opulent que je ne lui connaissait pas. Je défis doucement sa cravate avant de la laisser tomber au sol. En gardant mon assurance je déboutonna les trois premiers boutons de sa chemise. Je levais mon regard vers le sien, un sourire lubrique fendit mon visage.

    - Cette chemise ne t'as pas coûté trop cher j'espère ?
    - Pourquoi ?

             Je ne le laissa pas terminer sa phrase, mes mains attrapèrent le tissu avec force. Les boutons sautèrent les uns après les autres, offrant à mes yeux la vue de son torse sculptural. En repoussant sa chemise je laissais apparaître l'encre noire de la rose tatouer sur son pec d'Apollon. Je caressais la peau de son torse avec délicatesse alors que ma diablesse intérieure s'agitait à l'intérieur. Elle était à explosée, mais je devais gardé le contrôle à tout prix.