Un amour différent...

By Lilou_561

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- Tu vas me foutre la paix oui ! Cette fois-ci je criais tellement fort qu'il en cligna des yeux, d'étonnemen... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Note de l'auteur
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Note auteur
Note auteur
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Chapitre 51
Chapitre 52
Chapitre 53
Chapitre 54
Chapitre 55
Chapitre 56
Chapitre 57
Chapitre 58
Chapitre 59
Chapitre 60
Chapitre 61
Chapitre 62
Chapitre 63
Chapitre 64
Note auteur
Chapitre 65
Chapitre 66
Chapitre 67
Chapitre 68
Chapitre 69
Avis couverture du livre
Chapitre 70
Chapitre 71
Chapitre 72
Chapitre 73

Chapitre 39

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By Lilou_561





 - Je voulais t'éloigner de moi. J'avais trop peur qu'ils s'en prennent à toi. J'aurais du t'en parler. Je ne savais pas comment faire. Je mourais d'envie de te rejoindre, de t'appeler et de répondre à tes messages. Ne m'en veux pas, s'il te plait. Je pensai bien faire, jusqu'à ce tu sonne à mon interphone.

Je me blottissais dans ses bras. Wyatt déposa un baiser sur mon front. J'étais si soulagée d'entendre ça de sa part. Soulagée mais tout de même apeurée sur ce que pourrai faire Jayden dès qu'il apprendrait, qu'on ne voulait pas céder face à ses menaces.

 - On ne va pas pas arrêter d'être ensemble à cause de Jayden ?

 - Je n'en ai pas envie, mais...

Il eu un long silence.

 - Mais, si c'est le seul moyen pour qu'il ne vienne plus te faire du mal...

 - Non !!!

Je me relevais et me mettais debout, face à lui.

 - Tu es sérieux ? Tu envisages que l'on rompe par sa faute !

Il était encore assis , la tête baissée. Il parlait d'une voix lasse et peu assurée.

 - Il faudra faire, ce qui sera le mieux. Si on n'a pas le choix...

 - Ah d'accord. Je compte vraiment si peu pour toi ? Tu baisses les bras après tout ça.

 - Pourquoi tu dis ça ? Tu sais très bien que je ferais tout pour toi.

 - Non, tu t'avoues vaincu, parce que tu envisages de casser avec moi.

 - T'énerves pas.

 - Je ne m'énerve pas. Je parle juste un peu plus fort que la normale.

- Ouai ba en gros, c'est la même chose chez toi ! Désolé mais ton intonation est exactement la même dans les deux cas.

Je soupirais et sentais mon portable vibrer dans le fin fond de ma poche de jean.

Wyatt me regardait.

 - Sauvée par un texto. Certainement de ton cher Nolan ! Putain, même à cette heure-ci, il me tape sur les nerfs et viens nous emmerder. Il n'a vraiment rien de mieux à faire que de t'envoyer des textos à cette heure ? Je croyais qu'il était avec Sophia ? Il est puceau ou quoi pour penser à autre chose qu'à passer du bon temps avec elle.

 - Qui te dit que c'est lui, c'est peut être mes parents. Ne parle pas comme ça de Nolan.

 - Je vais me gêner. Pourquoi tu prends sa défense tout de suite ?

 - C'est mon ami. Je ne veux pas que tu en dises du mal. Il a été là pour moi quand j'en avais le plus besoin. 

 - Ah oui, quand tu ma laisser comme un con à Hawaï.

Je ne voulais pas répondre à son attaque. Je lisais donc le texto. Mince, il avait vu juste. C'était bien un message de Nolan.

 - Vu ton regard, j'ai visé dans le mille.

 - "Je ne veux pas que tu le prennes mal que je sorte avec Sophia. Elle me plait et je ne savais, vraiment pas que c'était elle, la fille qui te mettait les bâtons dans les roues avec Wyatt. Je ne supporterais pas de te perdre. Tu sais, que je tiens beaucoup à toi. Réponds-moi s'il te plait. Nolan"

Je ne répondais pas au sms. Ce n'était franchement pas le bon moment. Il était tard, je n'allais jamais me lever demain matin pour aller au Lycée et j'étais encore bien trop en colère contre lui pour le rassurer. Et puis là, j'avais beaucoup plus important à gérer. Gérer un Wyatt en colère, c'était loin d'être une tâche aisée, croyez-moi.

 - Je dois rentrer. Il se fait tard.

 - C'est toi qui vois. Tu peux dormir ici si tu veux et ne partir que demain matin.

 - Sur le canapé?

Je le défiais du regard.

 - Si c'est ce que tu souhaites.

 - Tu m'énerves à jouer avec mes nerfs. J'ai toujours l'impression d'être une enfant avec toi.

Je ne me sentais pas bien. J'avais la tête qui tournait. J'étais fatiguée, des sueurs froides montaient  et je me sentais pâlir à vue d'oeil. Wyatt le remarquait rapidement.

 - Tu nous fais quoi là?

 - Un coup de fatigue, je suppose.

 - Assis-toi Léna, sinon tu vas t'écrouler par terre.

Il se levait pour me faire asseoir sur le canapé.

 - Ne me dis pas que tu fais un malaise parce que tu n'as encore rien mangé ce midi?

Je ne répondais pas, faisant ainsi la sourde oreille.

 - Léna ! Réponds-moi.

 - Tu as tout faux. Figures-toi que j'ai mangé. 

 - Et tu as mangé quoi exactement ? Cinq haricots verts ?

 - N'importe quoi. J'ai mangé un reste de plat que ma mère s'était préparé.

 - En gros, tu n'as pratiquement rien mangé. C'est bien ce que je disais.

 - Je suis juste fatiguée. J'ai bossé, je te signal. En plus, tu me stress. J'ai pas arrêté de m'inquiéter à cause de toi et sur le fat que tu ne me donnais pas de nouvelle.

 - Fausse excuse. Tu n'as rien trouvé de mieux à me dire ?

 - Il faudra t'en contenter pourtant, parce que c'est la vérité.

 - Tu m'avais promis de manger correctement.

 - C'est bon, arrêtes avec ça. Je mange donc voilà. Je ne veux plus en parler.

 - Tu verras bien, quand tu finiras à l'hôpital.

 - Sympa.

 - C'est tout ce qui t'attend à ne pas manger. Je t'aurai prévenu.

 - Oui, papa. 

 - Arrêtes.

 - Arrêtes quoi ?

 - De te foutre de moi ! Tu sais, que je déteste ça.

Je tentais de me relever mais je n'avais plus assez de force.

 - Alors arrêtes de me materner.

 - Tu es tellement têtu aussi.

 - Je l'ai toujours été et je ne changerais pas. Je vais rentrer.

 - Il est hors de question que tu prennes la route dans cet état là. Tu restes dormir ici, point final.

J'abandonnais. Je devais avouer que j'étais totalement incapable de conduire mais je m'abstenais de le lui dire. Il aurait été bien trop content.

 - D'accord. Tu peux me passer une couverture pour que je dorme au chaud sur ton canapé.

  - Pourquoi tu ne veux pas dormir avec moi cette nuit ?

Sa voix s'était subitement radoucie.

Je levais les yeux au ciel.

- Parce que... je ne préfère pas. Je veux être seule. Je t'en veux encore pour m'avoir mise de côté.

Je n'osais lui avouer que je ne voulais pas partager le même lit que lui par peur de lui taper dans les cotes et de lui faire mal dans la nuit. Je m'en voudrais trop.

- Il y une couette, dans mon placard de chambre. Je vais t'en chercher une. Je reviens. N'en profites pas pour te barrer en douce.

Il revenait avec la couette en question et me la donnait.

 - Bonne nuit.

Il me regardait. Il semblait perdre toute assurance. Son regard était devenu plus triste. Un regard qui ne cessait de se montrer depuis le soir à Hawaï. Sophia avait raison, j'étais la cause de tout ça. Wyatt avait changé et tout cela par ma faute.

 - Tu sais Wyatt, malgré ce que tu peux penser, je t'aime vraiment. Je me bats pour te le prouver mais tu n'y crois pas.  

 - Je n'ai jamais dit que tu ne m'aimais pas.

 - Je sais, que tu crois que je ne t'aimerais jamais autant, que toi tu peux m'aimer. Ce qui est totalement stupide.  Je tiens à toi, plus que tout au monde. 

Il se rapprochait de moi et me prenait le main.

 - Tu peux être si distante parfois, si têtue.

 - Je sais. Je suis désolée. C'est mon seul moyen de défense. Parfois, je ne comprends même pas pourquoi je réagis comme ça. Je me sens, tellement dépassée par tous les événements... Il n y a rien qui se passe correctement. C'est fatiguant à la longue.

- Je suis là quand tu as besoin de parler. D'ailleurs, je serais toujours là pour toi. Quoi que tu fasses, quoi que tu dises. Je me rend bien compte, que je ne suis pas toujours le premier vers qui tu vas venir te confier et ça me ronge un peu plus chaque jour. Tu vas parler avec Stessy avec mon frère et surtout Nolan. Voilà pourquoi, je suis aussi jaloux envers ce naze. Tu partages beaucoup de choses avec lui et je ne suis pas aveugle non plus. Je sens que cela te gêne qu'il sorte avec quelqu'un. Au fond de toi, tu es jalouse. Je dois vivre avec ça. Que ton coeur ne m'appartient pas entièrement.

 - Je n'aime pas Nolan comme je t'aime toi. Nous sommes amis, lui et moi et rien de plus. Seulement une grande amitié nous lie.

 - Arrêtes de te voiler la face, Léna. Tu as des sentiments pour lui. Ne le nies pas. Tu étais en colère de savoir qu'il sortait avec Sophia. Tu t'es vendue toute seule. Je sais aussi que Nolan a des sentiments pour toi. Je ne peux rien y faire pour changer tout ça.

 - Il avait des sentiments pour moi. Ce n'est plus cas, tu devrais être rassuré. Tu n'auras plus besoin de t'inquiéter, on ne se verra pratiquement plus. Je vais rentrer chez moi maintenant.

 - Si tu m'aimes plus que lui alors reste ici avec moi. Ne réponds pas à son message. 

Je le regardais. Il venait de m'ouvrir son coeur. J'en avais les larmes aux yeux. Je ressentais du désespoir dans sa voix et dans son regard.

 - D'accord.

Je le sentais soulagé. Il me prenait dans ses bras et me déposait un baiser sur mes lèvres. 

 - Merci.

Il essayait de sourire mais la douleur à sa mâchoire laissa place à une grimace.

 - Allons nous coucher, tu veux bien ?

Je lui prenais la main. 

 - Il faut juste que j'envoie un message à mes parents pour les prévenir que je dors chez toi. Ils doivent être mort d'inquiétude. 

Comme pour être certain que je ne lui mentais pas. Il restait à mes côtés quand j'écrivais mon texto à mes parents. Je ne lui faisais aucun reproche et lui montrais, même, ce que j'écrivais. On s'apprêtait à aller dans la chambre quand il se stoppa.

 - J'avais oublié. Je devais recevoir un mail important. Je te rejoins dans deux minutes.

Je décidais de l'attendre dans le lit pendant qu'il pianotait sur son ordinateur. De toute manière je n'avais pas eu besoin d'attendre très longtemps car à peine cinq minutes plus tard, il m'avait déjà rejoins dans la chambre.

 - Et bien, c'était rapide.

 -Juste une réponse qu'un fournisseur devait me donner pour la librairie.

 - Ah ok.

Je ne fermais presque pas l'oeil de la nuit. J'appréhendais tellement de lui faire mal accidentellement. Wyatt s'était collé à moi et n'avait pas bougé de la nuit, un bras serré autour de ma taille. Je ne cessais de ressasser sur ce que m'avait dit Lysa et puis Wyatt concernant Nolan. J'ai toujours été possessive avec mes amis. Ma réaction avait peut être été un peu trop excessive mais je pouvais être si impulsive parfois. Je n'arrive pas à me contrôler moi-même. Si seulement il ne sortait pas avec cette Sophia de malheur. Pourquoi fallait-il qu'il s'effarouche de cette peste ? Je ne la supportais pas, ce qui veux dire que je ne pourrais plus le voir. Je ressentais une drôle de sensation mêlée à de la tristesse et de la colère. Je ne savais pas comment le définir mais ce sentiment me rongeait et je n'aimais pas ça. Je me sentais coupable de quelque chose. Comme-ci je cachais quelque chose au fond de moi. La fatigue emportait, finalement le combat et je m'endormais enfin.


***


Le bip à répétition de mon portable signalant que la batterie était faible me réveillait et me faisait sursauter, au point d'en oublier Wyatt et ces cotes brisées. Il se réveillait en grimaçant et moi je me fondais d'excuses de lui avoir fait mal. Il ne m'engueulait pas. Il se contentait de me fixer de ses yeux bleu océans encore ensommeillés.

 - J'aime beaucoup ta délicatesse pour me réveiller.

Il me souriait d'un air taquin.

 - Désolée. Je suis vraiment un boulet. Excuses-moi Wyatt. Le bruit de mon portable m'a fait bondir dans le lit. C'est pour ça, que je ne voulais pas dormir avec toi. J'avais trop peur de te faire du mal et ce que je craignais est arrivé. Tu vas bien ?

  - Je l'ai sentit, oui. Je ne suis pas en sucre, ça va.

- Il est quelle heure ?

Wyatt cherchait son réveil du regard.

- Il est l'heure de ton deuxième cours de la journée.

- Merde. Je vais me faire trucider par mes parents.

Je bondissais du lit et partais à toute vitesse dans la salle de bain.

- Tu crois vraiment que ça vaille le coup d'aller en cours pour deux heures ? Restes avec moi.

Je passais la tête par la porte.

- S'il n'y avait que moi, je n'irai plus du tout en cours et prendrais mon indépendance en me trouvant un job à plein temps.

 -  Pourquoi tu ne te lances pas ?

 - Tu veux ma mort ? C'est clair que mes parents me renient sur le champs. Je ne suis pas trop chaude pour me retrouver à la rue.

Je rigolais.

 - Tu n'auras qu'à venir vivre avec moi.

 - Bien essayé, mais non merci. Je ne nous vois pas vivre ensemble pour le moment. On a le temps Wyatt, rien ne sert de tout précipiter à la va vite.

 - Je sais. C'était juste une suggestion. Tu ne m'en veux pas d'avoir tenté ?

Il me faisait un clin d'oeil.

 - Il faut que j'appelle mes parents.

Je m'apprêtais à prendre mon portable. Oups, il n'avait, vraiment plus de batterie, il s'était éteint.

 - Je peux t'emprunter ton portable ?

 - Tiens.

Il me le lançait.

 - T'as pas peur que je le fasse tomber en me le lançant comme ça.

 - C'est qu'un portable.

Je prenais donc son téléphone pour appeler mes parents. C'est mon père qui décrochait.

 - Allo papa. C'est moi, Léna.

 - Oui, j'ai hâte d'entendre ton explication pour ne pas être en cours à l'heure actuelle.

 - Comment tu le sais ?

 - Ton proviseur à appelé. Tu sais bien que tu es connu comme le loup blanc. Il parait que tu n'as pas été en cours non plus hier après-midi ? Tu as l'intention de sécher aujourd'hui aussi ?

 - Je vais tout t'expliquer, papa.

Mince, mon père était en colère contre moi.

 - Léna, je ne veux rien savoir. Si tu ne vas pas en cours immédiatement, tu seras renvoyée du Lycée. Ton proviseur a été plus que clair, là dessus.

Oui, mon père était remonté.

 - Je vais me préparer papa. Je m'excuse, j'ai pas entendu la sonnerie de mon portable.

 - Tu as toujours une excuse. Je commence à douter, sérieusement, que Wyatt soit une bonne fréquentation pour toi. On en reparlera ce soir, compte la-dessus. Maintenant, file en cours !

 - Oui, papa. Encore désolée.

Voyant me visage déconfis, Wyatt se levait.

 - Oula, ça c'est mal passé.

 - Tu peux le dire. Mon père était remonté. Le proviseur l'a appelé. Si je ne vais pas immédiatement en cours, je serais virée du Lycée. Il faut que je me prépare et que je file.

 - Ils n'abusent pas un peu là ! Il doit y avoir un paquet de personnes qui manquent des cours.

 - Oui, mais moi, j'en ai trop abusée et voilà le résultat. Le moindre écart et je le paye cash. Je vais dans la salle de bain.

Je me préparais à la vitesse de l'éclair. Je prenais mes affaires. Je devais passer à la maison pour prendre les livres dont j'avais besoin. Tan pis, je ferais sans et demanderai à Stessy de suivre avec elle.
Je déposais doucement un baiser sur les lèvres de Wyatt pour ne pas qu'il est mal et m'en allais.

 - A plus tard.

Je claquais la porte derrière moi.


***

Je me garais devant le Lycée. J'avais raté les deux premiers cours de la journée. Je devais me faire toute petite et éviter de croiser le proviseur. Je rejoignais Stessy qui était à son casier. Un coup de chance.

- Qu'est ce que tu farfouilles la dedans ?

Elle sursautait.

 - Tu m'as fait peur. Préviens quand tu arrives comme ça, derrière les gens.

Je lui souriais.

 - T'étais où ce matin ? Je t'ai attendu moi !

 - Navrée. J'étais chez Wyatt.

 - Voyez-vous ça.

  - C'est une longue histoire...

 - C'est parfait, tu vas pouvoir me raconter tout ça pendant le cours d'histoire. Pour une fois que je ne vais pas m'y ennuyer.

On se mettait à rire. Elle m'attrapait le bras et on se dirigeait vers notre salle de cours.

























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