Save Your Tears

ChrisBonna

14.4K 2.6K 2.7K

Astrid vit à Paris. Élève dans un conservatoire de danse, elle prend des cours pour être chorégraphe afin d'... Еще

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
🎄Joyeux Noël 🎅🏼
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
En attendant...
Chapitre 42
Chapitre 43
Chapitre 44
Chapitre 45
Chapitre 46
Chapitre 47
Chapitre 48
Chapitre 49
Chapitre 50
Chapitre 51
Chapitre 52
Chapitre 53
Chapitre 54
Chapitre 55
Chapitre 56
Chapitre 57
Chapitre 58
Chapitre 59
Chapitre 60
Chapitre 61
chapitre 62
Chapitre 63
chapitre 64
Chapitre 65
Epilogue

Chapitre 23

202 43 42
ChrisBonna


                                  

De mauvaise humeur depuis que j'ai quitter Astrid, belle à en crever dans mon putain de t-shirt, prête à se donner du plaisir devant moi, afin d'assouvir cette tension qui nous bousille chaque fois que l'on est en présence l'un de l'autre, et que je la baise sur ce comptoir, je pénètre dans mon club comme une furie.

Et mon agacement ne va pas s'arranger car d'une, je n'ai pas respecté les consignes de Jaden en prenant un Uber, et de deux, le travail qui m'attend n'est autre que ma rencontre pour un dernier entretien avec ses enculés de MHN. Maintenant que je suis au courant de toute l'histoire, j'ai juste envie de leur faire bouffer leurs platines de merde, et d'envoyer en Alaska leur putain de producteur véreux. Encore un qui n'hésite pas à promettre monts et merveilles à des jeunes talents pour les mettre dans son lit de prédateurs. Ce mec, que je ne connais que de réputation est une véritable enflure. Mais bon c'est pas mon problème si ils ont été assez cons pour accepter de le sucer ou d'avoir écarté leurs culs.

Là tout de suite le mien, est d'avoir été obligé de laisser Astrid, chaude, humide, sans pouvoir en profiter.

Je n'aime pas le frustration putain.

Quand je pense à ce mec, Malone, qui sans aucun scrupule à abandonner un fille merveilleuse comme ma petite ballerine, je souris intérieurement et je me félicite d'être là pour elle, jusqu'à la fin de mes jours.

C'est pas un peu long ? moi j'aimais bien la diversité...

Je claque la porte à ce démon qui ne veut pas abdiqué face à ma volonté de me caser.

Tant pis pour lui, il a laissé passer sa chance, préférant la gloire, le succès et cette fille fade qu'il se tape et avec laquelle il est fiancé apparemment. Je n'ai pas honte d'affirmer, que depuis que je connais le nom du membre des MHN qui lui a fait si mal, je l'ai stalker sur internet pendant que j'étais dans le taxi qui me ramenait chez moi.

Avant, j'avais simplement fait mon enquête, afin de me renseigner sur ses trois Dj français qui commencent à se faire une bonne réputation dans le milieu.

J'ai écarté d'emblé le plus borderline des trois, à savoir celui qui se nomme Neal. Impossible que ce soit le mec qui sortait avec Astrid. Le second Hugo, pourquoi pas, mais il me semble qu'un jour mon ange a abordé le sujet en me précisant que c'est sa meilleure amie qui sortait avec lui. Il ne restait que Malone, mais comme je n'étais pas sûr de ma supposition précédente j'ai eu un doute.

— Bonjour, Sebastiàn, vos rendez-vous viennent d'arriver...

Il ne manquait plus qu'elle. Cassie derrière le bar me dévisage de la tête au pied.

— Merci Cassie, et arrêtez de me regarder comme si vous n'aviez pas mangé depuis des jours.

Je ne lui autorise pas à reprendre sa respiration et enchaine :

— Jaden est en haut ?

— Oui, répond-elle contrariée, il vous attend dans votre bureau.

Sans rien ajouter, je continue mon avancée en montant les escaliers. Je pense faire demi tour pour prévenir ma serveuse d'informer Astrid de passer par l'entrée extérieure, quand celle-ci arrivera, mais je me ravise en me remémorant son comportement de garce vis à vis de ma ballerine. Cassie est loin d'être con. Cela lui mettrait la puce à l'oreille, que quelque chose cloche et elle serait tout à fait capable de ne rien lui dire pour vérifier sa théorie.

Remarque ça te donnera une bonne raison de la virer.

Alors je ne m'arrête pas, je la préviens moi même par message que Jaden passera la chercher, comme ça je n'éveillerai pas ses soupçons, et gravis les quelques marches qu'il me reste jusqu'à me retrouver nez à nez avec les David Guetta en devenir... leur pédophile de producteur et mon ami qui me fusille de son regard de tueur.

Je ne m'attarde pas dessus, on règlera mon inconscience tout à l'heure, me concentrant sur les huit autres yeux qui sont braqués dans ma direction.

Je serre les mains que l'on me présente, plus fermement celle de Malone, d'ailleurs il me gratifie d'un haussement de sourcils. Je comprends qu'il ne comprenne pas mon désir de lui broyer les doigts, mais je fais comme si... et en le fixant de mon regard le plus noir je retire ma main.

— On a failli attendre, se permet de la ramener l'autre enflure.

Je pivote vers lui, celui qui se nomme Hugo, le reprend, mais les mains dans les poches, ma poker face en place d'un ton froid je réplique :

— Et moi, je suis très occupé.

Jaden me jette un sourire en coin non équivoque. Il n'est pas dupe de mon occupation.

— Mais je vous en prie monsieur Barns, si votre temps est si précieux, je ne vous retiens pas, fais-je, en avançant dans mon bureau.

J'entends un des mecs le recadrer, avant que leurs pas ne foulent le sol de la pièce.

J'allume mon MacBook Pro tout en m'asseyant sur le fauteuil, je leur fait signe de prendre place sur les deux canapés du coin salon, où des boissons sont à volonté sur la table basse en verre, puis je les rejoins quand j'ai sélectionné ce que je cherchais.

Jaden se tient droit contre la porte, les bras croisés, mais avant qu'il ne puisse s'installer je prend plaisir à le prévenir.

— Jaden ? je l'interpelle, j'ai prévenu As, à ce surnom je sens le regard de Malone posé sur moi, mais je fais comme si je ne l'avais senti, et poursuit à l'intention de mon garde du corps, que tu passeras la chercher le temps de mon entretien. Par contre, passez par la porte de derrière et, qu'elle m'attende au loft. Tu n'as pas besoin de rester avec elle. Elle a les codes et les clés.

Je jubile parce que maintenant les pupilles de l'autre connard me brûlent la nuque.

Un raclement de gorge me fait tourner la tête et je m'aperçoit que c'est Neal, le camé, queutard, et j'en passe qui fusille son pote de ses iris tellement dilatées par ce qu'il a du prendre, que je ne sais pas comment il tient encore debout.

— Un problème ? Je demande à Malone.

— Non, non, se reprend-il.

— Bien. Merci Jaden.

Il hoche la tête puis sort du bureau pour aller récupérer ma belle ballerine. Et rien qu'à cette perspective, je commence à bander en me remémorant son petit jeu sexy.

Putain, il n'aurait pas fallu qu'elle insiste plus pour je craque et la prenne sur son îlot.

Pense à autre chose mec ! Notamment que tu es avec son ex... et qui l'a aussi vu nue...

Bien joué petite voix, maintenant je ne suis plus énervé, je suis un monstre avide de faire couler le sang.

Au moins tu bandes plus.

Connasse.

Afin d'éviter que les quatre autres me prenne pour un timbré, je me racle la gorge et me reconcentre sur eux.

— Alors monsieur Barns, est-ce que tout vous paraît correct dans les contrats que je vous ai fait parvenir par mail ?

— Nous les avons relus et signés monsieur Alvarez. Tout est ok pour nous.

C'est Hugo qui prend la parole, en me tendant les documents que j'inspecte vite fait, ne laissant pas le temps de répondre à son manager, et à mon tour, je paraphe et signe les feuillés.

J'ai l'impression que l'ambiance est bonne entre eux !

— C'est parfait. Souhaitez-vous, ajouter autre chose ?

— J'ai lu, intervient Malone mal à l'aise, que nous devions vous donner en avance la liste des morceaux que l'on a prévu de mixer ? car des danseuses doivent répéter pour nous accompagner durant les trois soirs ?

— Oui c'est bien ça. J'ai une chorégraphe attitrée, très douée d'ailleurs, mon double sens ne lui échappe pas, je ne suis pas certain que Astrid apprécierais que je parle d'elle comme ça, mais putain, j'ai envie de lui faire mordre la poussière à ce con, qui doit créer et ensuite répéter avec mes danseuses. Donc si vous pouviez me les faire parvenir le plus tôt possible...

— Est-ce que...

Je comprends en lisant dans ses yeux ce qu'il souhaite me demander. En plongeant dans les miens, il peut lire ma réponse... oui.

Mais je pose quand même la question.

— Quoi ?

— Malone ? Ça suffit ! L'interrompt l'autre camé.

— Vous vouliez savoir quoi ?

Je suis un connard. J'ai très bien compris ce qu'il cherche à savoir, il est complètement ailleurs depuis que j'ai prononcé le diminutif d'Astrid.

— Rien. Entendre le surnom que vous avez donné tout à l'heure m'a rappelé quelqu'un... Mais ce n'est certainement pas elle.

— Une amie ?

— Oui.

Je ricane intérieurement. Une amie, prends moi pour un débile.

— Le monde est vaste. Et puis si je ne me trompe pas vous êtes français non ?

— Ne me faites pas croire que vous ne vous êtes pas renseigné sur mes poulains monsieur Alvarez. Je serais déçu.

— Loin de moi l'idée de vous décevoir Barns, ce serait un manque flagrant de professionnalisme que de ne pas le faire ? Pas vrai ?

Il crispe la mâchoire en se calant plus confortablement dans le canapé.

Car il a très bien saisi que les informations que j'ai en ma possession ne s'arrêtent pas à ses poulains justement.

— Si nous en avons terminé, précisé-je en regardant ma montre, je ne vous retiens pas.

Je me lève pour les inviter à quitter mon bureau quand Hugo prend la parole le premier :

— Merci beaucoup monsieur Alvarez.

— Sebastiàn, nous allons travailler ensemble, et puis nous n'avons pas tant d'écart que ça.

Hugo et Malone rigolent alors que les deux autres restent de marbre.

— D'accord, Sebastiàn ca marche.

Nous nous serrons la main, puis ils sortent tous les quatre non sans que Neal me jette un regard meurtrier.

— C'est quoi son problème à ce mec ?

Si je m'en réfère à ce que m'a raconté Astrid c'est à cause de lui, du moins elle en est persuadée, qu'ils sont tous partis sans un regard en arrière. Il ne faut pas être Einsteins pour comprendre que cela l'a gonflé que Malone ai essayé de savoir si c'était l'Astrid qu'il avait connu. Surtout s' il a toujours tout fait pour les éloigner d'elles.

Regrettes-tu de l'avoir laisser tomber Malone ?

Trop tard. Tu vas t'en mordre les doigts jusqu'à l'os c'est sur et certain, mais tu me trouveras sur ton chemin si tu tentes quoi que ce soit.

Le temps de faire le tour des mails et autres dossiers qui trônent sur ma planche de travail et il est l'heure d'aller retrouver la femme qui fait tourner ma tête, battre mon cœur, et lever ma bite.

Mais quel poète aujourd'hui !

J'arrive à l'étage de mon penthouse, tape le code digital puis je rentre en étant étonné de ne pas trouver une belle ballerine en train de m'attendre dans le salon. Pas de Jaden non plus.

Peut-être qu'ils ne sont pas encore arrivés. Afin de m'en assurer, je commence à sélectionner le numéro de mon garde du corps quand j'entends du bruit provenant de ma chambre.

Et putain, je me fige sur le seuil en me tenant au chambranle.

La vision d'Astrid qui me fait face est digne d'une peinture des plus grands peintres. A la lueur de plusieurs bougies, les flammes dansent sur les murs, éclairent son corps d'une lueur orangé qui la propulse directement au rang des créatures célestes, ses cheveux bruns étalés sur les coussins blancs, mes draps immaculés font ressortir la dentelle noire de la lingerie qui l'habille.

Je déglutit face à ce spectacle des plus sensuel et torride qui m'est été de voir.

Des femmes en sous-vêtements, j'en ai vu un nombre important, mais elles n'arrivent pas à la cheville de ma diablesse.

Astrid bouge légèrement plantant ses orbes vert jade dans les miennes. Je suis hypnotisé par les doigts de sa main droite, qui partent de sa clavicule, effleurent le sillon entre ses deux seins, dont je devine les pointes dressées sous la dentelle fine transparente, par l'excitation de ses caresses, ou de mon regard incandescent posé sur elle. Je n'ouvre pas la bouche pour en avoir confirmation, en aucun cas je ne veux troubler ce moment où je devine l'effort que fait ma ballerine pour se donner à moi de cette façon. Mes iris se portent maintenant sur sa main qui atteint son ventre plat, tourne autour du nombril, son grain de peau se pare de léger frissons, je suis de plus à l'étroit dans mon pantalon, je passe une main sur mon entrejambe, me caresse à travers le tissus, mouvement qui n'échappe pas à la magnifique créature allongée sur mon lit. Sa bouche s'entrouvre, laisse passer cette langue, que je rêve de voir sur toute la longueur de mon sexe, pour lécher sa lèvre inferieure.

Astrid est affamée.

Je suis bouillant.

Toujours sans un mots, seul nos yeux se parlent, Astrid continue cette lente torture, je suis excité comme jamais, j'ai de plus en plus de mal à me retenir de fondre sur elle pour remplacer sa main par les miennes, mais malgré cette envie qui frise l'obsession, je m'abstiens. Je hurle intérieurement quand elle arrive à ce mont de vénus où je rêve de m'enfuir, mais je n'en fais rien. Ses doigts glissent à l'intérieur de sa cuisse, soulève le tissus de sa culotte, je devine plus que je ne vois... et putain, je peux mourir sur place. Ses lèvres s'ouvrent en un O parfait, sa tête bascule en arrière, mes yeux ne quittent plus cette dentelle noire, je ne peux faire qu'imaginer, son index qui tracent des cercles sur ce petit bouton de chair, que j'aime tant lécher, mordre, son majeur qui s'insère dans sa moiteur, je ne peux qu'imaginer... mais des qu'Astrid de plus en plus excitée, ondule du bassin, plonge ses iris brillant de plaisir dans les miens c'est comme si elle m'appelait pour que je vienne la soulager. La délivrer.

Oh non ma belle.

Elle est au bord de l'orgasme. Je me décale du battant, je commence à me déshabiller sans précipitation, j'essaie de reculer mon rythme cardiaque, mon afflux de sang vers ma bite, pour ne pas jouir comme un mec précoce, dès que j'aurais touché ce corps que je vénère tous les jours un peu plus. Marche vers le lit, d'un pas maîtrisé. Quand je suis complètement nu, je fais coulisser mes doigts le long de ma hampe, Astrid gémis de me voie faire, alors je continue à me donner du plaisir, elle accélère ses mouvements, j'en fais de même, je suis à rien de jouir dans mon poing, comme ce n'est pas mon intention, je lâche mon sexe, lui intimant du regard de faire pareil avec le sien. Elle n'obtempère pas, ma petite ballerine têtue. Je grimpe sur le lit, en mode prédateur, lui écarte les jambes d'un coup de genoux pour venir m'allonger sur elle, toujours sans prononcer un mot. A ce stade, ils sont inutiles.

J'entrelace nos doigts de sa main libre, mon autre main rejoint la sienne dans sa culotte, je suffoque en sentant comme Astrid est mouillée, puis je place mes doigts sur les siens et entame des caresses sur son clitoris en la guidant. Astrid gémit de plus en plus fort, quand je la pénètre de nos phalanges, je râle quand ma queue au bord de l'implosion appuie sur le tissu trempée. N'en pouvant plus, d'un geste brusque je tire sur l'élastique qui cède, je balance le bout d'étoffe, j'accélère, Astrid crie sa jouissance, je sens son sexe pulsé sous mes doigts, je les retire et n'attends pas pour la pénétrer d'une seule poussée jusqu'à la garde.

— J'adore ton initiative mon ange...

On souffle de soulagement. Je suis à l'endroit où je dois être

— Je suis pour les actes...

J'entame de longs et lents vas et viens, même si j'ai apprécié le spectacle, mon sexe douloureux d'être aussi tendu, je souhaite pendre mon temps, chérir ce corps dont je ne pourrais plus me passer, montrer à Astrid qu'elle m'a touchée, prouvée son amour en se mettant à nue, sans mauvais jeux de mots, comme elle vient de le faire.

— Je pourrais faire ca toute la journée mon amour.

— Et je suis assez dingue pour te laisser faire...

Elle ne pas terminer sa phrase car je lui donne un coup qui touche cet endroit si sensible en elle.

— Merci Astrid.

Merci pour tout.

Merci de me prouver que je peux aimer.

Merci de me faire confiance.

Ses ongles s'enfoncent dans mon dos, signe qu'elle comprend ce que signifie ce merci. J'aurais certainement des traces en demi-lune, mais je m'en tape. Elle a compris pourquoi je la remercie.

J'accélère mes mouvements quand elle noue ses jambes autour de mes hanches pour me prendre plus profondément, nos respirations sont chaotiques, nos souffles se mélangent tant nos bouches se frôlent, puis quand je sens qu'Astrid se resserre autour de ma queue, je m'enfonce une dernière fois brutalement, prend ses lèvres pour enrouler ma langue avec la siennes et nous atteignons l'orgasme entrelacés de toutes les manières possibles. Impossible de savoir où son corps commence et où le mien fini.

Pas un morceau de nos peaux ne se touche pas. Pas un bout de nos âmes n'est pas mélangé et enfin pas un bout de nos cœurs n'est pas enlacé.

Quelque chose de nouveau vient de se passer.

— Tu l'as senti toi aussi ? Questionné-je Astrid alors que je suis toujours en elle.

Je suis trop bien putain !

— Oui Sebastiàn, c'était comme une décharge électrique qui m'a reliée à toi d'une manière irrévocable.

Mes pouces caressent les joues d'Astrid pour essuyer ses larmes qui coulent.

— Ne pleure pas mon ange.

— C'est de bonheur cette fois Seb.

— Alors tant mieux. Je t'aime Astrid.

Astrid ne me renvoie pas mes mots. Ce n'est pas grave. Ses iris ne trichent pas. Ses gestes ne mentent pas. Je vais attendre et l'aimer pour deux.

Elle est pour les actes, elle vient de me le rappeler... tant mieux, je le suis aussi.

Nous restons encore quelques minutes dans cette position, moi en elle, absolument pas pressé de retourner à nos obligations. Puis sentant que mon sexe reprend de la vigueur, Astrid colle son bassin au mien, et sans attendre je lui refait l'amour.

Продолжить чтение

Вам также понравится

108K 6.7K 72
Toute histoire à un début. Certaines festif et heureuse, d'autre beaucoup moins. Notre vie aussi à un début, on écrit notre histoire, on laisse nos t...
My Soul SeineXZoo

Разное

58.6K 2K 24
Elle le détestait mais l'aimait comme elle n'a jamais aimé personne.Il l'a blessée mais l'a fait découvrir le vrai bonheur. Elle ne l'oubliera jamais.
Lost Memory (en correction) Laura Emria

Любовные романы

5.5K 260 9
Olivia Lane n'as plus goût à la vie depuis que deux hommes de l'armée sont venu taper à sa porte un soir pour lui dire que son mari militaire égaleme...
Tu es mienne ! Déesse

Любовные романы

224K 4.4K 40
- Met toi à genoux, pour baiser les pieds de ton maître Elle s'agenouille pour presser ses lèvres sur mes pieds. - c'est bien,si tu es bien obéissant...