Amira - La bague au doigt suf...

By Bxd_bixch

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Amira, 19 ans quitte le Canada pour se rendre en France. Las-bas, elle va devoir assimiler école, travail et... More

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By Bxd_bixch

Dr. Oualou : Ont dirais bien que tu est en bonne santé.

Moi : Ah bon ?

Dr. Oualou : Oui. L'analyse de sang n'a rien détecté d'anormal. Ça se peut que tu ai mangé quelque chose qui n'a pas bien passé dans ton estomac et que tu fais une indigestion. Je vais te prescrire une ordonnance.

Moi : Bon, ma mère s'inquiétait pour rien alors.

Le médecin me parlait un peu de ma santé en générale puis il a fini par me donner la prescription. Arrivé chez moi, j'ai vite enfilé mon uniforme de travail parce que j'étais en retard comme d'habitude. J'étais prête à repartir sauf que ma mère m'a appelé du salon. Je vais la rejoindre et je la retrouve assise à côté de Ramos.

Je sentais déjà qu'elle allait me chicaner pour un truc futile.

Moi : Qu'est-ce que j'ai encore fait de mal aujourd'hui ? je souffle en m'accotant sur le mur.

Je porte mes yeux sur elle et je vois qu'elle a le regard anéanti. Je me suis toute suite redressé.

Moi : Qu'est-ce qu'il y a ? je lui demande mais elle ne me répond pas. Je me tourne vers Ramos et le questionne de la tête mais il évite mon regard.

Moi : Je parle au mur ou quoi ?

Encore une fois, ont m'ignore.

Moi : Si c'est à cause de la vidéo avec Kaïs, je suis désolé maman. Je te jure qu - elle me coupe.

Maman : De quoi tu parles, quel vidéo encore ?

Je met ma main sur ma bouche en m'insultant dans ma tête. Est-ce que je viens juste de me poucave comme une imbécile ?

Moi : Rien, laisse faire. Pourquoi tu m'as appelé ?

Personne parle.

Moi : Ok... moi je vais aller travailler avant d'être encore plus en retard. Si vous retrouvez la langue, envoyez-moi un message je dis en retournant mettre mes chaussures à la porte d'entrée.

Tout l'après-midi je cogitais en me demandant ce qu'elle voulait me dire et le fait que Ramos n'ait pas osé prendre la parole ne me rendait pas plus sereine.

J'ai travaillé jusqu'au soir en ayant le même état d'esprit. Fatima est venue me rejoindre mais elle était seule cette fois-ci. Même elle, elle avait pas l'air dans son assiette.

Moi : Mais c'est quoi votre problème à tous ? Maman et Ramos tire la même tête que toi.

Fatima : Viens on rentre c'est mieux.

Moi : Pas avant que tu me dise ce qui se passe.

Elle me lance un regard compatissant mais ne parle pas. Ça m'a juste énervée de la voir debout comme un piquet sans dire un mot.

Moi : Toi aussi tu t'y met ? je criais d'agacement.

Fatima : C'est pas à moi de te le dire, viens ont rentre s'il te plaît.

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Je jète mon sac sur le sol, retire mes air force puis je fonce au salon prête à ce qu'on me raconte tout. J'étais stressé depuis le début de la journée et ont a rien voulu me dire alors je voulais juste qu'on me déballe tout une bonne fois pour toute.

Personne était au salon.

Moi : Maman ? je crie pour savoir où elle est. Je l'entend à l'étage donc je me dépêche de monter les escaliers suivi de Fatima derrière moi.

Je cogne à la porte de sa chambre et entre en laissant Fatima derrière.

Fatima : T'es sérieuse toi elle dit derrière la porte.

Moi : C'est pas de tes affaires, va t'en.

Je me dirige vers ma mère qui était entrain de ranger ses vêtements.

Moi : Maman... ?

Maman : J'ai reçu un appel de la mère à Kaïs.

Je passe mes mains sur mon visage et m'assois sur le bord de son lit. J'étais pas prête à entendre toute la merde qu'elle allait me dire.

Moi : Qu'est-ce qu'elle a dit ?

Maman : Que t'es plus vierge.

Moi : Quoi ? Mais n'im- elle me coupe.

Maman : Qu'est-ce que je t'ai dis par rapport à ta virginité Amira ?

Je fronce les sourcils.

Moi : Qu'est-ce que tu m'as dit par rapport à ça ? je lui demande.

Maman : Tu devais attendre à ton mariage !

Moi : Déjà, tu m'as jamais dit ça. C'est les soeurs à papa qui m'ont tout appris quand tu nous à
lâché pour aller en France, tu t'en rappelle ?

Elle arrête de plier ses vêtements.

Maman : Tu veux vraiment qu'ont parle de ça ? Parce si ont le fait crois-moi que tu va avoir une autre image de celle que t'as de ton père.

Moi : Je veux juste que tu me racontes ce que tu voulais me dire ce matin.

Maman : Ça dure depuis quand ce manège avec Kaïs ? elle dit en ignorant ma question.

Moi : De quoi tu parles ?

Maman : Pourquoi c'est sa mère qui m'apprend que ma fille n'est plus vierge ? Pourquoi !

Elle allait faire une fixette sur ça, je le voyais déjà venir.

Moi : Mais maman tu veux que je te dise quoi ? Oui ont couche ensemble et alors ? Je suis responsable et je me protège mais me fait pas croire que c'est ça qui te cogite depuis ce matin. Qu'est-ce qu'il y a, dit-moi la vérité !

Elle croise ses bras et finit par me dit que la mère de Kaïs l'a proposé une somme d'argent pour me séparer de lui.

J'ai ris parce que je pensais qu'elle se foutait de ma gueule mais elle me regardait sérieusement dans les blancs des yeux.

Moi : T'es pas sérieuse quand même ?

Aucune réponse de sa part.

Moi : Mais pourquoi tu me dit ça que maintenant ? Tout le monde est au courant sauf moi.

Elle a commencé à expliquer la situation et à chaque fois qu'elle ajoutait un détail, mon coeur se déchirait un peu plus. Je vais jamais comprendre les parents qui font tout pour briser le couple de leur enfants. Je savais qu'elle était contre notre union mais au point de payer ma mère pour m'éloigner de lui ?

Ont est même pas encore marier mais j'imagine même pas ce que ses parents pourrait nous faire à l'avenir juste pour nous séparer.

Je sais même pas comment je dois réagir, je sais juste que j'ai une grosse boule dans le ventre.

Moi : Il est au courant Kaïs ?

Ma mère hoche la tête de droite à gauche.

J'allais tout lui raconter, c'est sûr qu'il allait pas laisser ça passer.

Maman : Tu dois pas lui dire Amira.

Moi : Hein ? Et quoi encore, tu va prendre l'argent aussi !?

Maman : Jamais de la vie. Je suis pas contre votre couple et tu le sais très bien mais si tu lui racontes, ça va faire encore plus de problème entre vous et avec sa famille.

Moi : Et juste pour ça je devrais fermer ma gueule ? C'est sa mère la fautive dans l'histoire.

Maman : Écoute moi. Si tu lui dit, tu risques de mettre fin à ton couple sans même le savoir. Crois-moi, c'est pas toujours bon de raconter tout ce qu'on sait.

Moi : C'est n'importe quoi je dis. Quelques secondes plus tard, je me retrouve en train de verser des larmes de frustration. Je me cache le visage avec mes mains.

Ma mère s'approche de moi et me sers dans ses bras.

🌜🌛🌜🌛🌜🌛🌜🌛🌜🌛🌜🌛🌜

Vendredi - 17h53 🌇

J'étais sur mon lit en train de contempler mon mur. Presque qu'une semaine s'était écoulé depuis la nouvelle que ma mère m'avait apprise.

Comme elle m'a recommandé de ne rien dire à Kaïs, et bien je l'ai écouté. Je vivais quand même la belle vie avec lui sans qu'il ne se doute que sa mère voulait filer un pot-de-vin à la mienne.

Par moment, j'avais tellement envie de tout cracher le morceau. C'était dur pour moi de ne rien lui dire surtout quand ont fait tout ensemble. À chaque fois qu'il me regardait avec ses beaux yeux bruns j'avais l'impression d'être une mauvaise personne. La culpabilité me rongeait peu à peu mais j'essayais de mettre tout ça dans un coin de ma tête.

Là, je me préparais pour notre sortie de ce soir. Depuis quelques jours, il me parlait d'un restaurant où il voulait m'invité et le jour est enfin arrivé. J'étais toute excitée et je savais qu'on allait passer un bon moment.

J'ai attaché mes longues bouclettes en queue de cheval puis je me suis légèrement maquillé. J'ai enfilé une longue robe noire moulante qui m'a coûté la peau des fesses puis j'ai demandé à Fatima de boutonner le dos de la robe.

J'ai mis des petits bijoux puis je me suis parfumé avant de recevoir un message de Kaïs une vingtaine de minutes plus tard qui me demandait de le rejoindre en bas de chez moi.

Je sais pas pourquoi mais j'ai eu une peur soudaine mélangé avec un stress. J'étais gênée de sortir et de le voir me regarder. Fatima essayait de me raisonner et me disais que j'étais ridicule en rigolant. Elle m'a littéralement jeter de la maison cette folle.

Je regarde autour de moi et je vois la voiture de Kaïs. Il fait un appel de phare pour marquer sa présence.

Je suis sûr qu'il me voyait arriver vers lui. D'un coup, j'ai commencé à marcher tout croche, c'était comme si j'avais plus le contrôle de mes pieds.

Vous avez vu quel effet il a sur moi cet homme ?

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Au restaurant, tout se passait vraiment bien. Ont faisait que de rire aux larmes et ont avait tellement de choses à ce dire qu'on a fini par oublier la nourriture qui était sur notre table.

Kaïs : Je suis bien avec toi il dit en prenant ma main avant d'y poser un petit baiser.

J'ai rougis.

Moi : Je suis bien avec toi aussi.

Il sirote son verre et je ne peux m'empêcher de le regarder intensément. Quand il le remarque il s'arrête.

Kaïs : Ont rentre ?

Je me mord la lèvre et hoche la tête d'haut en bas.

Il y avait une tension palpable dans la voiture. Il avait posé sa main sur le haut de ma jambe et la caressait.

Chez lui, il n'a pas attendu qu'ont soit dans chambre pour qu'il me retourne dos à lui. Il a parsemé mon cou de bisou avant de déboutonner le dos de ma robe.

Une fois atterri sur le sol, le vent frais passe sur ma poitrine dénudé. Il reprend ses baisers sur le long de mon dos puis je prend l'initiative de me retourner face à lui. Il me soulève par les jambes et me contemple.

Moi : La chambre je dis doucement.

Il nous apporte enfin dans sa chambre puis me pose doucement sur son lit. Il se met au dessus de moi et colle sa tête sur le creux de mon cou avant de couvrir ses belles lèvres sur ma peau comme il a l'habitude de faire. Je lâche un petit gémissement et il me chuchoter un truc sur l'oreille.

J'enlève ma culotte sous son regard et il fait de même avec ses vêtements. Quand nos peaux nues se touchent, je prend sa nuque avant de l'embrasser.

Je glisse ma langue et il fait de même. J'ai pas pu m'empêcher de lâcher un petit ricanement parce que ça m'a fait penser à la journée de la pool party.

Cette nuit était tellement magique. Je sais pas ce qui avait dans l'air mais c'est comme si je ressentais x1000 tout les sentiments que j'avais pour lui.

Après nos préliminaires, j'ai voulu lui faire plaisir donc je lui ai demandé de se mettre sur le bout du lit. Je me suis mise à genoux entre ses jambes et j'ai pris son membre dans mes mains avant de faire des va-et-vient.

J'étais tellement prise par l'adrénaline que je réalisais pas encore ce que j'étais en train de lui faire.

J'ai finalement mis ma bouche puis je lui ai fait une fellation. Il a pris mes cheveux toujours en queue de cheval et il m'a dirigée avec sa main.

je le voyais basculer sa tête vers le haut et ses muscles se contractait. Il lâchait des petits râlement et ça me rendait folle de lui de le voir dans cet état pour la première fois de ma vie.

Il m'a arrêté avant qu'il vienne. Il a essuyé ma bouche avec son pouce puis m'a remis sur le lit avant de se placer au dessus de moi. Je le vois se décaler légèrement pour prendre un préservatif dans sa table de nuit et il l'enfile.

Moi : Je veux que tu me fasse mal je glisse doucement sur son oreille.

Kaïs : Me demande pas de faire des trucs que tu va pas assumer.

Moi : Je veux que tu me la mette au complet je dis en ignorant son commentaire.

Il me scrute pour voir si je suis sérieuse.

Kaïs : Tu va me supplier d'aller moins fort il dit en me mordant délicatement le lobe d'oreille.

Je le croyais mot pour mot alors j'ai un peu paniqué mais une bonne panique, vous voyez ? J'ai placé mes jambes autour de lui pour lui montrer que j'étais prête.

De là, il a soulevé mes jambes avant de les poser sur ses épaules. Il est entré en moi et pendant plusieurs longues minutes, il alternait entre des coups de basins lent puis brusque.

Il a remis mes jambes sur le lit et a placé ses bras de chaque côté de ma tête pour avoir un appui. Il continuait de me faire crier dans toute la pièce et je suis sûr qu'on pouvait m'entendre dehors. Il m'embrassait pour étouffer mes gémissements.

Moi : Retire le je dis entre chaque souffle. Il n'avait pas l'air de comprendre ma demande alors il m'a demandé de répéter.

Moi : Retire le préservatif, je veux vraiment te sentir en moi.

Il fronce les sourcils.

Kaïs : T'es folle ou quoi ?

Moi : Bébé, s'il te plaît.

Il retire son membre de ma 🐱 et me lance un regard concerné.

Kaïs : Je t'ai dis que je voulais des enfants mais c'est pas pour maintenant.

Moi : Mais je prend la pilule, y a aucun risque.

Kaïs : T'a arrêté de la prendre depuis longtemps, non ?

Moi : Oui parce que j'avais plus mal quand j'avais mes règles mais ça me dérange pas de la reprendre pour nous.

Il avait l'air d'hésiter pendant un moment.

Moi : Je sais que toi aussi t'a envie de l'enlever.

J'ai pris sa tête dans mes mains avant de bloquer mon regard sur ses yeux.

Moi : Fait moi confiance, je vais la prendre je dis en chuchotant.

Je descend ma main vers son membre. Nos yeux toujours scellé ensemble, j'enlève le préservatif.

Ont a continuer où nous étions et je regrettais pas mon choix une seule seconde.

Il me donnait aucun répit et c'est vrai que je l'ai supplié cette nuit là mais qu'est-ce que c'était bon. Je tirai vraiment mon coup avec lui et j'ai pas manqué de lui faire savoir.

Le lendemain matin, je me suis réveillé avec une douleur dans l'entrejambe. J'étais toute crispé mais je me suis levé du lit et je suis allé prendre une douche avant de faire mes soins et d'enfiler un chandail à Kaïs.

Je le retrouve dans la cuisine en train de préparer des œufs. Il se retourne vers moi.

Kaïs : Ça va ?

Moi : Mhh...

Kaïs : Comment tu t'sens ?

Moi : Bien, pourquoi ?

Kaïs : Oublie pas de prendre la pilule.

Moi : T'inquiète pas, je rentre bientôt chez moi. Je vais même te facetime pour que tu me vois la prendre en direct.

Kaïs : Viens il dit en me tendant son bras. Je la prend et m'avance difficilement vers lui. Il me donne des bisous sur le front puis me serre dans ses gros bras.

J'entend un bruit de notification provenant de son téléphone qui était posé sur l'autre comptoir.

J'ai voulu faire le tour de la cuisine pour lui remettre son téléphone sauf qu'il m'a stoppé net.

Kaïs : Laisse. Je vais répondre plus tard.

Je l'ai quand même pris et j'ai posé mes yeux sur son écran. Quand j'ai lu le message, j'ai cru que j'allais mourrir. Le temps c'est arrêté autour de moi et j'entendais rien d'autre que mon cœur qui voulait sortir de ma poitrine.

Moi : Tu m'expliques ? je lui dit les lèvres tremblantes. Je tourne le téléphone en sa direction.


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