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Bởi MelodineDC

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Maxine est élève en terminale dans un lycée de Sète, elle a de bonnes notes, a une famille unie, des amis tou... Xem Thêm

Chapitre 1
Chapitre 2.
Chapitre 3.
Chapitre 4.
Chapitre 5.
Chapitre 6.
Chapitre 7.
Chapitre 8.
Chapitre 9.
Chapitre 10.
Chapitre 11.
Chapitre 12.
Chapitre 13.
Chapitre 14.
Chapitre 15.
Chapitre 16.
Chapitre 17.
Chapitre 18.
Chapitre 19.
Chapitre 20.
Chapitre 21.
Chapitre 22.
Chapitre 23.
Chapitre 24.
Chapitre 25.
Chapitre 27.
Chapitre 28.
Chapitre 29.
Chapitre 30.
Chapitre 31.
Chapitre 32.
Chapitre 33.
Chapitre 34.
Chapitre 35.
Chapitre 36 : Epilogue
- Petit mot de Fin -

Chapitre 26.

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Bởi MelodineDC

Maxine avait tellement de médicaments contre la douleur dans son organisme qu'elle avait l'impression d'être couchée sur un nuage, ou sur quelque chose d'extrêmement moue et doux.
Au lieu de cela, elle était tout simplement couchée dans son lit, dans sa chambre, regardant son plafond blanc comme s'il contenait toutes les réponses de l'univers, ce qui n'était définitivement pas le cas.
C'était juste blanc et donc sans intérêt.
Elle était tellement dans son monde qu'elle n'entendit même pas la porte de sa chambre s'ouvrir.
Elle n'entendit pas non plus sa Mère rentrer dans sa chambre, là encore bien trop occupée à compter des points imaginaires sur son plafond.

- Maxine ?
- Mamaaaan ! Hey !!!! S'exclama la brunette avec beaucoup trop d'enthousiasme, ne s'en rendant même pas contente, se sentant simplement heureuse de voir sa Mère.
- Est-ce que tu veux que je t'apporte quelque chose à manger ? Ou est-ce que tu veux descendre manger avec nous peut-être ?
- Manger... Manger... Manger..., souffla Maxine, testant le mot sur sa langue, essayant de trouver quoi dire à cela, est-ce qu'elle voulait manger ?
- Oui, manger.
- Est-ce que l'on peut manger les nuages ? Fini par demander l'Etudiante, faisant froncer les sourcils de Cléa, qui ne comprenait pas le pourquoi du comment de la question de sa fille.
- Manger les nuages ?
- Oui... Est-ce que tu penses que ça a le goût de la Barbe à Papa ?
- Maxine Chérie, je ne pense pas que...
- Je pense que tu pourrais lui dire n'importe quoi elle ne t'écouterait pas totalement. Les médicaments, ajouta Laurent qui venait de monter pour voir ce qu'il se passait avec sa fille, faisant comprendre à sa femme le problème.
- Oh, elle est totalement...
- Ouai, je pense que le mieux serait de la laisser tranquille un peu. Une fois qu'elle sera redescendue et à nouveau totalement consciente d'elle-même elle voudra surement manger, mais pour le moment il n'y a rien d'autre à faire que de la laisser dormir.
- Tu as surement raison... Maxine, chérie, nous allons te laisser te reposer, si tu te sens mieux tu pourras venir manger un morceau, je te garderai une assiette au réfrigérateur.
- Une assiette de nuages ?

Un léger rire sortit d'entre les lèvres du père de Maxine, visiblement grandement amusé par les pitreries de sa fille.

- Si tu te reposes, nous verrons pour te trouver une assiette de nuages, répondit Laurent, avant de tirer sa femme à sa suite, fermant la porte, laissant sa fille seule.

Comme un fait exprès, c'est exactement le moment que choisit le téléphone de Maxine pour sonner sur sa table de nuit.
Table de nuit qui se trouvait décidément trop loin pour la brunette, qui le regarda sonner, encore et encore et encore...
Jusqu'à ce qu'il se stop complètement...
Pour se remettre à sonner quelques minutes plus tard, faisant soupirer l'étudiante.
Le bruit était vraiment ennuyant, elle ne pouvait plus penser aux nuages à la barbe à papa, peut-être devrait-elle faire l'effort de l'attraper sur sa table de nuit pour ensuite être tranquille ?
Puisant dans les toutes petites forces qu'elle avait encore en stock, Maxine se pencha pour attraper la méchante machine qui l'empêchait de rêver de son futur repas.

- Max' ! Enfin tu réponds ! Je commençais à m'inquiéter ! Retentit la voix de nulle autre que sa petite amie, faisant sourire grandement la plus petite des deux brunes.
- Clémentine Heeeeey !!!! Est-ce que tu sais où je peux trouver des nuages pour les manger ? Demanda avec énormément de sérieux Maxine.
- Des... Des nuages à manger ? Souffla Clémentine, l'incompréhension se faisant entendre dans sa voix.
- Ouiii des nuages à manger, je suis sûre que ça a le goût de barbe à papa, mon Père a dit que je pourrai en avoir pour le repas si je me repose...
- Max' Chérie... Combien de médicaments t'ont-ils donné à l'hôpital ?
- Beauuuucoup ! Ma Grand-Mère a dit que si je ne les prenais pas j'allais souffrir pendant qu'ils me remettaient les os en place.
- Ok... Ceci explique cela... Je suppose que tu n'es pas vraiment en état de parler n'est-ce pas ? Je devrais te rappeler plus tard...
- Nooooon, ne me laisses pas seule, s'il te plait... Tu me manques...

Un léger rire sortit du haut-parleur de Maxine, avant que Clémentine ne recommence à parler.

- Bien, je reste, mais juste parce que tu es bien trop mignonne et que je ne voudrais pas te rendre triste...
- Tu es la meilleure ! Même meilleure que les nuages au goût de barbe à papa...
- Meilleure que les nuages au goût barbe à papa ? Je suis flattée.
- Tu devrais l'être, parce que c'est vraiment super important, bailla Maxine, se laissant doucement bercer par la voix de sa petite amie.
- Super important hein ? Plus important que de battre Kévin ?
- Kévin est un connard, il ne mérite pas de toucher aux nuages à la barbe à papa. Tu dois l'empêcher d'y toucher, promets-le moi ! Retentit la voix de l'étudiante avec sérieux, malgré le sommeil qui était en train de la gagner à chaque seconde, Clémentine fredonnant doucement en accord avec les paroles de sa petite amie.
- Je te promets je l'empêcherai de toucher à tous les nuages.
- Bien... Sauf ceux qui font des tornades, ceux-là laissent les aller le frapper, il le mérite...
- Bien, je m'assurerais de demander aux nuages s'ils prévoient de virer en tornade avant de les empêcher d'aller voir Kévin.
- Tu es la meilleure... Et je t'aime..., marmonna Maxine, avant de sombrer dans le sommeil, laissant Clémentine seule avec les conséquences de se "je t'aime" marmonner...

MB/CD

C'est dans un état d'extrême panique que Clémentine débarqua à l'hôpital.
Elle savait que Laura travaillait ce soir, mais elle ne pouvait pas se permettre d'attendre avant de parler à quelqu'un de ce qui c'était passé il n'y a même pas une heure...
Maxine l'avait prise totalement par surprise et elle ne savait pas quoi faire ou dire sans avoir cette sensation qu'elle allait exploser
Est-ce que c'était même possible d'exploser pour ça ?
Probablement pas, mais cela ne voulait pas dire qu'elle ne devait pas en parler urgemment avec la seule personne qui pourrait la conseiller...
Pourvu que cela soit une des gardes de son amie qui s'étirait en longueur et qui la laissait à attendre en salle de garde que quelque chose passe.

- Bonsoir, je cherche le Dr. Moretti ? J'aurai besoin de lui parler...

L'infirmière la regarda longuement, avant de lui demander d'une voix légèrement trainante, quelque peu ennuyée d'être dérangée.

- Et que lui voulez-vous au Dr. Moretti exactement ?
- C'est privé. Mais je suis sûr que si vous lui dites que Clémentine est ici, elle sera d'accord pour me voir. Si elle n'est pas trop occupée bien entendu, les patients passent avant tout, s'empressa-t-elle de rajouter, ne voulant pas que l'infirmière l'empêche réellement de parler à son amie.
- Très bien... Je vais la biper... Mais j'espère pour vous que c'est important. Je n'aime pas déranger les médecins pendant leur garde, surtout pour des affaires qui n'ont rien à voir avec l'hôpital... Ca les déconcentre...

Clémentine dû fortement s'empêcher de répliquer, se contentant de compter jusqu'à 7 dans sa tête, comme sa Mère lui avait toujours conseillé de faire avant de parler de choses qui pourrait blesser ou énerver quelqu'un.
Heureusement, elle n'eut pas à attendre longtemps en compagnie de la désagréable infirmière, puisque son amie arriva extrêmement rapidement, visiblement inquiète de ce qui pouvait la faire venir aux urgences si tard.

- Est-ce que tu vas bien ? Tu as décidé qu'un tour aux urgences de l'une des personnes de mon duo préféré n'était pas suffisant, tu devais t'y mettre aussi ?
- Je vais bien... Et bien physique je vais bien... Max a dit quelque chose et je... J'avais besoin de parler à quelqu'un...
- Et tu ne pouvais pas parler à ta copine ? S'enquit Laura, avant d'attraper Clémentine par le bras, voulant l'éloigner du poste des infirmières, tout l'hôpital n'était pas obligé de savoir se dont elle et la Professeure allaient parler, surtout si le sujet de discussion était Maxine Bauman.
- Elle n'est pas vraiment en état de parler en ce moment... Elle c'est un peu endormi pendant que nous étions en train de parler par téléphone...
- Oh... Elle a dû avoir beaucoup de médicaments non ?
- Beaucoup... C'est le cas de le dire je pense... Elle m'a parlé de nuages au goût de barbe à papa et ensuite juste avant de s'endormir elle m'a dit... Elle m'a dit qu'elle m'aimait...
- Et ?
- C'est tout ce que ça te fait ?
- Parce que c'est censé me faire quelque chose ? C'est évident que vous vous aimez toutes les deux !
- Mais c'était la première fois que l'une de nous deux le disait ! J'y ai pensé plusieurs fois mais je ne voulais rien brusquer et...
- Et elle te l'a dit avant que tu puisses le faire, c'est ça ?
- Ce n'est pas ça le problème... Je ne suis pas sûre qu'elle le pensait vraiment !
- Clémentine, je pense que tu es idiote, bien sûr qu'elle le pensait ! Tu es son monde entier en ce moment ! Elle t'aime tellement que ça en est écœurant parfois ! C'est juste qu'il lui a fallu une dose excessive de médicament dans son organisme pour oser le dire à haute voix.
- Et si elle ne s'en souvient plus quand elle se réveille ?
- Il y a des chances que cela arrive oui.
- Tu ne m'aides pas là.
- Je suis désolée. Mais est-ce que tu es venue ici pour que je te rassure ou pour me parler et que je sois honnête avec toi ? Parce que je pensais que c'était comme ça que fonctionnait notre amitié.
- Tu as raison, soupira Clémentine, du coup que me conseilles-tu de faire ?
- Lui parler. Si elle a été capable de te le dire sous médicament, ça veut dire comme je l'ai déjà dit, qu'elle le pense, mais qu'elle n'a surement pas le courage de te le dire, elle a surement peur de te faire fuir.
- Donc tu penses que je dois le lui dire moi-même ? Et attendre de voir ce qu'elle me dit ensuite ?
- C'est à toi de décider. Mais vraiment, c'est évident que tu l'aimes et c'est évident qu'elle t'aime, alors tu n'as pas vraiment de soucis à te faire de ce côté-là, elle va certainement te dire qu'elle t'aime à la seconde où tu le lui diras... Voir même plus tôt si elle se souvient de ce qu'elle a dit.

Clémentine soupira en se laissant tomber sur l'une des chaises de la salle de pause.

- Je suis ridicule n'est-ce pas ? Je sais que j'agis comme une adolescente en train d'avoir son premier flirte, mais je tiens tellement à elle que la simple pensée de pouvoir faire quelque chose de travers et la blesser me rend malade.
- Et bien je ne sais pas qui est cette personne chanceuse, mais elle a beaucoup de chance, retentit une voix féminine, faisant sursauter Laura et Clémentine.
- Marjorie ? Je pensais que vous étiez rentrée à la maison !

Marjorie Bauman, la même de Cléa et donc la grand-mère de Maxine, justement la personne qu'elle devait éviter en venant dans cet hôpital se trouvait devant elle, la faisant frissonner.
Clémentine ne savait pas ce que la femme avait entendu, mais elle espérait qu'elle venait juste d'arriver.
Parce que de ce que Maxine lui avait dit, la femme était extrêmement intelligente et très perspicace.

- J'étais sur le point de le faire. Bonsoir Madame ?
- Clémentine, Clémentine Duval.
- Elle est la Professeure de Sport de Maxine, ajouta Laura, faisant presque lever les yeux au ciel à Clémentine.

Elle qui essayait de rester discrète sur ce point-là, c'était foutu.
Laura venait de griller sa couverture.
Maintenant Clémentine avait juste à espérer que Marjorie n'avait rien entendu de plus que le fait qu'elle était totalement amoureuse de sa petite amie.
Parce que si elle avait entendu plus que cela...
La Professeure dû retenir un frisson, tandis que la médecin lui tendait la main, serrant la sienne d'une poigne forte.

- J'ai beaucoup entendu parler de vous, par ma fille et ma petite fille. Il semblerait que vous ayez fait une très bonne impression sur toutes les deux... Même si Maxine a terminé son dernier cours de sport dans un sale état.
- Et bien pour ma défense, je ne lui ai pas vraiment demandé de faire une battle de celui qui a la plus grosse avec son camarade Kévin.
- Ah oui... Kévin... Je vois... Ca explique bien mieux pourquoi elle a agi ainsi... Si je n'étais pas sûr à 100% qu'elle ne s'intéressait pas aux garçons, je penserai qu'elle s'intéresse à lui.
- Peut-être qu'elle ne s'intéresse pas à lui, mais je ne serai pas tout à fait sûre du contraire, rétorqua Laura, un sourire amusé sur les lèvres qui ne fit qu'énerver un peu plus Clémentine.

Maxine était sa petite amie et il était tout bonnement hors de question que ce petit crétin s'approche d'elle.
Même si elle savait bien que sa petite amie ne s'intéressait pas à lui, ou tout autre garçon, elle ne l'avait jamais fait.
Et visiblement c'était tellement voyant que la plupart des personnes de sa famille et ses amis le savaient sans même qu'elle n'ait eu à le leur dire, ce qui n'était pas plus mal.
Elle se souvenait elle-même de son propre coming-out qui ne s'était pas vraiment bien passé.
Sa Mère avait plutôt bien réagi, mais son Père, lui, avait eu beaucoup de mal à se faire à l'idée, se demandant ce qu'il avait bien pu manquer dans son éducation.
Leurs conflits avaient provoqué une fracture dans leur relation et depuis elle avait énormément de mal à être en sa présence.

- Laura, Mlle Duval, je vous laisse retourner à votre discussion. Laura, si vous pouviez juste passer voir la patiente de la 122 avant la fin de votre garde, je vous en serais reconnaissante.
- Bien sûre, je passerai la voir rapidement. Laissez-moi juste mettre celle-ci à la porte de cet hôpital et j'y vais.

Clémentine dû s'empêcher de lancer une remarque légèrement acide à son amie, ne voulant pas se faire mal voir par la grand-mère de sa petite-amie.
Mais elle n'en pensait vraiment pas moins.

- Tu as raison, je vais te laisser revenir à ton travail. Je ne voudrais pas qu'il y ait des problèmes avec tes patients pendant que nous nous occupons des problèmes de ma vie amoureuse...
- Oh crois-moi, j'aurai toujours du temps pour tes problèmes, sauf si c'est une situation de vie ou de mort, là je pense que le ou la patiente passera avant, répondit avec une légère pointe d'amusement Laura, se levant de la chaise sur laquelle elle se trouvait pour aller prendre Clémentine dans ses bras afin de lui souffler à l'oreille le reste de sa phrase, tout va bien se passer, elle est folle amoureuse de toi, elle te l'a dit, maintenant à toi de le lui rappeler si elle a oublié d'ici qu'elle se réveille de son sommeil médicamenteux.

Acquiesçant aux paroles de son amie, Clémentine laissa l'étreinte durer une seconde supplémentaire, afin de se donner le courage d'affronter sa petite amie plus tard, avant de se séparer, la remerciant silencieusement d'un regard.

- Je vais vous raccompagner jusqu'à la sortie dans ce cas, lança Marjorie Bauman, faisant rater un battement au cœur de la jeune Professeure, elle ne savait pas si elle allait réussir à ne pas se ridiculiser en passant plusieurs minutes en compagnie de la grand-mère de Maxine.
- Vous n'êtes pas obligée. Je peux sans doute me débrouiller pour retrouver la sortie par moi-même...
- Ça me fait plaisir, rétorqua Marjorie.

Clémentine ne savait pas pourquoi, mais elle ne le sentait clairement pas.
Malheureusement elle ne pouvait pas non plus lui dire réellement non, parce qu'elle voulait vraiment qu'elle l'aime bien.
Comme ça, le jour ou leur relation avec Maxine serait révélée, elle aurait déjà des personnes dans la famille qui ne la détesterait pas totalement...
Et bien...
Elle pourrait la détester en l'apprenant, mais elle pourrait aussi se souvenir qu'elle était quelqu'un de gentille et de responsable quand elle le ferait.
Ça pourrait jouer dans la balance.

- Bien, dans ce cas je vous suis, répondit Clémentine, essayant de ne pas avoir l'air trop stressée...

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