Don't let me go. Tome 3

20- j'ai recommencé...

•chapitre 20•

\\ pas corrigé, pas le temps\\

PDV Harry.

Lorsque j'avais ouvert la porte et que ses yeux avaient croisés les miens, cela avait été comme un rêve devenu réalité. Mon rythme cardiaque était fou et mon corps ne répondait plus à aucun signaux que je lui envoyais. Mes yeux étaient simplement accrochés à la brillance que dégageaient les siens. J'avais eu l'impression de retourner à nos début. Lorsque je ne comprenais pas pourquoi j'étais radicalement quelqu'un d'autre près d'elle. Je n'avais rien pu dire à part son nom. J'étais certain que si j'y repensais dans vingts ans je me trouverais stupide. Je n'avais aucune idée à ce moment là qu'elle était redevenue... Elle même. Qu'elle savait qui j'étais et qu'elle m'aimait... Ce fut seulement lorsqu'elle m'avait parlée que j'avais compris. Ma réaction avait été un baiser, je m'étais jeté sur ses lèvres tel un vampire en manque de sang ou d'un toxico en manque de drogue. Elle était ma drogue, j'avais besoin d'elle plus que n'importe qui au monde. Au moment du baiser mon cœur avait littéralement explosé dans ma poitrine. Un bonheur intense s'était propagé dans mon sang me faisant flotter sur un nuage douillet. Ce baiser avait été comme notre premier, remplit d'amour et d'attirance. Je ne m'avais pas gêné de lui faire l'amour par la suite, elle n'avait pas refusée au contraire. Cela avait été merveilleux... Putain que ça avait été parfait. Je n'avais quand même pas pu m'empêcher de me sentir coupable. Coupable de tout le malheur qui s'était abattu sur nous, notre couple. Certain dirait que nous étions un couple fort, mais j'aurais dis le contraire. Notre couple n'était pas fort, il était faible même très faible. Nous dépendions l'un de l'autre, nous ne pouvions pas vivre l'un dans l'autre. J'avais besoin d'elle et elle de moi. Sans l'autre, nous n'étions plus rien. Certain dise que les âmes sœurs ressentent ce genre de chose, mais je ne crois pas à cette merde. Je pense seulement que nous sommes liés. Lorsque j'avais vue la bague à son annulaire je n'avais pas pu m'empêcher de sourire comme un imbécile. Elle l'avait remit, cela voulait donc dire quelle m'aimait et ce, pour l'éternité. Après notre longue discussion nous nous étions endormit l'un contre l'autre. Je l'avais serré tellement fort contre moi que j'avais eu peur quelle se brise entre mes mains.

Je me fis réveiller par des bruits, comme si quelqu'un faisait bouger des draps ou des vêtements. J'ouvrai doucement les yeux et les refermai aussitôt à cause de la forte lumière du soleil dans mes yeux. Je frottai doucement mes yeux et les ouvris de nouveau. Je regardai dans la chambre afin de voir d'où venait se bruit et c'est là que j'aperçu ma belle dans le coin de la chambre. Elle était dos à moi et parlait au téléphone. Un seul t-shirt recouvrait son corps mince. Ce t-shirt de terminait sous ses fesses me laissant avoir une belle vue sur ses longues et fines jambes. Ses cheveux emmêlés étaient placés sur son épaule droite. Elle était magnifique...tellement magnifique.

Je me levai le plus silencieusement du lit et marchai dans sa direction. Une fois rendu près d'elle j'enroulai mes bras autour de sa taille et plaçai ma tête dans le creux de son cou respirant sa forte odeur de fleurs. Elle sursauta et laissai sortir un petit rire lorsque j'embrassai la peu de son cou.

Sans plus attendre je pris son téléphone entre mes mains et le colla contre mon oreille.

"Harry!" Cria t-elle en rigolant.

"Ce n'est pas qu'elle ne t'aime pas, mais elle a autre à faire donc elle te rappelle!" Dis-je avant de fermer la ligne.

Je lançai ensuite le téléphone sur le lit et attirai Clarissa contre mon torse. Son rire envahissait encore mes oreilles et je souriais en entendant ce son plus que parfait.

"C'était ta mère Harry!" Cria t-elle toujours en rigolant.

J'eu un petit moment de panique, mais me mis à rire avec elle.