Don't let me go. Tome 3

4-trois mois

•chapitre 4•

/pas corrigé \

Un énorme sourire était placé sur son visage d'ange. Elle était enfin dans mes bras et rigolait comme une enfant. Mes bras étaient enroulés autour de son corps, sa tête déposait sur mon torse et ma tête accotait sur la sienne. Elle riait, car nous parlions de chose complètement absurde par exemple notre futur. Elle m'avait manqué, terriblement manqué. La façon dont son corps complémentait le mien m'avait manqué, la façon dont son sourire illuminait son visage, la façon dont son rire remplissait une pièce en l'espace d'une seule seconde, la façon dont elle faisait battre mon cœur lorsque j'étais près d'elle et la façon font mes mains devenaient moites contre les siennes. J'aimais tout ce qui me rapportait à elle, tout . Nous étions assit dans un petit parc, regardant le soleil descendre doucement du ciel laissant place au noir. Nous étions ici depuis des heures et je n'avais toujours pas envie de partir.

"Je t'aime." Me souffla t-elle à l'oreille. Mon sourire s'agrandissait et je rapprochait son corps du mien afin de l'avoir le plus près possible de moi. Je la retournai et embrassai doucement son nez.

"Je t'aime plus." Répondis-je pendant qu'elle rigola à cause de mon baiser sur le nez. Elle arrêta doucement et me sourie. Elle plongea ses yeux dans les miens et nous échangions un regard amoureux.

Amoureux...j'étais amoureux.

Au même moment, l'expression de clariss changea d'un claquement de doigt. Son visage se tordu de douleur et elle amena sa main à son ventre. La panique s'empara de moi et je baissai la tête afin de mieux apercevoir l'endroit où ses mains étaient placés. Ses mains étaient déposés contre son flanc gauche. Mes mains tremblaient lorsque jenlevai doucement sa main me révélant une marre de sang. J'ecarquillai les yeux et relevai la tête vers elle. Son visage était toujours tordu de douleur et ses yeux commençaient à doucement se fermer.

"Non, bébé ouvre les yeux!" Criais-je commençant a pleurer.

Ça ne pouvait pas recommencer, pas encore je venais de la ravoir...

"Je...Je t'aime Harry." Déclara t-elle avant de s'effondrer contre mon torse me laissant une fois de plus seule.

La vision du corps de Joey apparut devant moi, un énorme sourire était placé sur son visage et un couteau dans sa main.

Je me réveillai en sursaut et m'asseyais de le lit. Mon front était mouillé de sueur tout comme mon t-shirt. J'avais encore fais un cauchemars, ce cauchemar. Je faisais le même depuis près de trois mois déjà. Chaque nuits depuis qu'elle était à l'hôpital je faisais le même. Il y a avait toujours une parcelle d'espoir que ce ne soit pas un cauchemar, mais chaque fois je me réveillais dans une chambre vide et j'etais trempé de sueur.

Ça faisait trois mois, trois mois qu'elle n'était pas là, trois mois qu'elle était presque morte, trois mois que j'étais seul, trois mois qu'elle m'avait laissée tomber. Je ne suis pas allé la voir une fois à l'hôpital malgré les demandes des boys, y comprit Fred. Je n'y arrivais tout simplement pas. Je ne pouvais m'imaginer être assit sur une chaise lui tenant la main et lui raconter tout ce que je ressens pour elle comme dans tout les grand films quétaine. Je ne suis pas comme ça, très loin de l'être. Il y a aussi que je ne serai pas capable de la voir complètement immobile comme si elle était morte. J'avais simplement peur de la réaction de j'allais avoir. La voir les yeux clos et le corps froid étendu sur un lit dans une chambre complètement blanche. Ses mains reposeraient de chaque côtés de son corps tel un mort dans un cercueil. Le seul bruit qui pourrait être entendu dans la petite chambre serait le moniteur cardiaque qui serait la seule preuve qu'elle serait toujours avec moi. La seule et dernière fois que j'ai vécue cela était lorsque ma sœur est morte. J'étais entrée dans la chambre et elle était dans le même état que j'ai décris. La seule chose qui m'avais réellement marqué a été que lorsque je suis sortie de la chambre en embrassant le front de ma sœur le moniteur cardiaque a fait un bruit sourd et plusieurs infirmières sont venues en courant. Elles mon éloigné de ma sœur.

J'ai peur qu'il arrive la même chose à mon amour. J'ai peur qu'aller la voir semble être un "ok" pour partir pour elle. Comme si elle avait vue chaque personne qu'elle voulait avant de mourir. Je ne le supporterai pas. Je ne serai pas capable de le supporter vaut mieux mourir avec elle. Je ne peux être séparé d'elle, elle est une partie de moi.

Je n'allais pas la voir, mais je lui écrivais une lettre tout les jours. Chaque journées que je passais sans elle je lui parlais de cette manière. Je lui exprimais ce que je ressentais pour elle ou pour la situation. Je n'avais jamais vraiment été bon pour exprimer mes sentiments et surtout nul pour écrire sauf que cela m'aidais à passer au travers. Parfois je souriais en me remémorant son sourire ou bien ses yeux. Je n'avais qu'à fermer les miens et je la voyais, courant vers moi avec le sourire aux lèvres. Elle s'accrochait à mon cou et m'embrassait avec toute l'amour qu'elle portait pour moi dans son cœur. Chose que je ne comprenais pas, comment faisait-elle pour aimer quelqu'un comme moi? Elle était tellement parfaite, elle pourrait trouver mieux. Elle aurait dû trouver mieux. Je ne la méritais pas, tellement pas. C'était ma faute, c'était ma faute si elle était à l'endroit où elle était. C'était ma faute si elle était entre la vie et la mort. C'était ma faute si elle avait vécu toutes ces épreuves. Elle devrai trouver quelqu'un d'autre et être heureuse après tout je n'étais qu'un connard colérique et bipolaire...bon jetais traité pour la bipolarité et tout allait bien. Oui, j'avais recommencé à prendre mes médocs pour elle...pour que quelque part au fond d'elle, même si elle part je veux qu'elle soit fière de moi. Je veux changer pour elle, mais cette fois-ci pour de vrai. Je ne veux plus me disputer avec elle comme je le faisais, je ne veux plus péter les plombs. Je veux être heureux...avec elle et je veux qu'elle soit fière de moi.

Je m'étirai et ouvrai la lumière de chevet. Je frottai mes l'aimes de mains contre mes yeux afin de m'habituer à la lumière. L'appartement était complètement silencieux. Aucun bruit n'était audible. J'étais seul, extrêmement seul avec moi-même. On disait souvent que le pire cauchemar est nous même eh bien cela était vrai.

Je tournai ma tête vers la droite et regardai le lit vide à mes côtés. Son oreiller était toujours en place n'attendant qu'elle. J'aurai aimé qu'elle y soit. Il m'arrivait parfois de l'apercevoir entrain de dormir doucement du côté de son lit. Je passai ma main et bien sur je réalisai que ce n'était que mon imagination.

Sachant que je n'allais pas pouvoir me rendormir, je me levai doucement et attrapai du papier et un crayon afin de lui écrire.

"Mon ange,

Tu es toujours dans le coma et je ne dors toujours pas. Le lit est complètement froid sans toi, j'ai toujours l'impression qu'il manque quelque chose, ou plutôt quelqu'un, toi. J'aimerai tellement te serrer dans mes bras ou bien t'embrasser comme on le faisait. Je n'ai pas encore trouvé la force aujourd'hui je m'excuse mon amour... Tes grande phrases me manque. tu me disais souvent," nous n'avons pas besoin dun engagement pour etre heureux, moi seulement etre avec toi me rend heureuse." bien sur je souriais, mais à linterieur de moi je ne comprennais pas. je ne comprenais pas pourquoi tu m'aimais moi...tout me manque chez toi, reste forte mon ange, reste avec moi. Je t'aime, ne l'oublie pas.

Ton plus grand amour

Harryxx

A suivre ...

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CHAPITRE MERDIQUE SORRY!!!

Camoune xx