✌✌ JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE ✌✌ 👉Épisode 40

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JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE
PARTIE 40
… Josiane ouvre le débat…
-Josiane : Dis, Ida. Tes toujours chaude pour la fête du samedi ?
-Ida : Quelle fête ? Hum, et comment ça je suis chaude ?
Je ne m’attendais pas à ça du tout. Josiane est trop bizarre, elle aurait dû attendre le lendemain ou, je ne sais pas trop pour lui parler de tout ça. Pff.
-Moi : Euh, la fête dont je parlais avec maman l’autre fois où elle a voulu que tu viennes avec moi, y compris Josiane à la fête.
-Ida : Anh, j’ai même oublié ça. Disons que je veux bien y aller. Ça dépendra de ma disponibilité.
-Josiane : Hum ok. Ça va être super chaud.
-Ida : Tu as une idée, de ce qui va se passer là-bas ? Parle-moi de ça stp.
Je me demandais si Josiane allait vraiment lui dire ce qu’on allait faire là-bas.
-Josiane : Hum, c’est un peu difficile à expliquer. On va…
-Moi : Josiane !
-Josiane : Oui ? Oh, ne t’inquiètes pas, je crois qu’on devait lui dire la vérité à propos de ça ?
C’est à cet instant que j’ai compris qu’elle avait pris de l’alcool juste pour ne pas être perturbée en elle-même quand elle commencerait par parler de ce qu’on ferait à la fête du samedi. C’était trop tard pour que je l’arrête, elle était déjà ivre et elle disait juste ce qui lui passait par la tête.
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-Moi : Merde, mais de quoi tu parles ?
Pendant ce moment, Ida était un peu confuse, elle n’avait encore aucune idée de ce que voulait dire Josiane, mais à voir sa position, elle en est bien curieuse.
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-Ida : Laisse-la parler Vido, peut-être qu’elle veut dire quelque chose d’important.
-Moi : Oui, peut-être bien, sauf qu’elle est ivre et qu’elle raconte de n’importe quoi. En plus si maman la voit dans cet état dès son retour, elle ne va pas du tout aimer. On ferait mieux d’aller la mettre dans son lit.
-Josiane : Oh non, je ne suis pas ivre à ce point-là.
-Moi : Alors, au moins t’es bien consciente que t’es ivre.
-Ida : Dans ce cas, elle peut encore parler alors.
-Josiane : Ouais. En fait, je disais que la fête sera super cool. Il y aura un peu de tout, l’alcool, des jeux pour adultes, le sexe.
-Ida : Quoi ? Le sexe comment ?
-Moi : (Je ne savais pas quoi dire).
-Josiane : Oui le sexe, on va beaucoup baiser.
-Moi : Quoi ? Non, mais t’es malade ? De quoi tu parles ? Surtout ne fais pas attention à ce qu’elle dit, stp Ida.
-Ida : Je pense qu’elle devait vraiment aller se coucher.
-Josiane : Non, je suis sérieuse, c’est une fête qui concerne un groupe de sexe sur WhatsApp, les membres vont se rencontrer, mieux se connaître et aussi faires des choses coquines.
J’étais complètement dépassé par la situation que je n’ai pas hésité à baisser la tête pendant que Josiane parlait. Ida, comprend tout de suite que Josiane ne plaisantait, vu ma posture.
-Ida : Alors, là, c’est clair, elle dit la vérité.
-Moi : (Silencieux).
-Ida : Vido, stp, c’est quoi ça encore. Mais tu disais à ta maman que c’est une fête entre tes anciens camarades de classe de toi non ?
Je n’avais plus le choix, je devais tout avouer à Ida et espérer qu’elle n’ait pas une mauvaise image de moi et qu’elle ne le dise pas à maman, sinon tout est foutu.
-Josiane : Oui, mais en réalité, c’est pour notre soirée.
-Ida : je ne suis pas sûre de comprendre. Tu veux dire que vous êtes tous deux dans le groupe de sexe ?
-Josiane : Oui, naturellement, en plus on Ken ensemble.
-Ida : C’est quoi « Ken »
-Moi : Je ne sais pas trop ce qu’elle veut dire par là. Stp, je…
-Ida : Je sais. Alors, comme ça, tu mens aussi ? Moi qui croyais que tu étais un mec bien. En fait, t’es le pire des garçons. Menteur et aussi hypocrite.
-Moi : stp.
-Ida : Laisse tomber stp. Je n’ai pas envie d’en parler.
Pendant qu’on discutait Josiane s’est mise à dormir, alors on l’a porté jusque dans sa chambre puis on est revenu au salon en attendant que maman ne revienne.
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J’avais tellement honte de moi et j’en voulais Josiane à mort. Ça, je ne vais jamais lui pardonner ça. J’espère qu’elle se souviendra de tout ce qu’elle a raconté ce soir, parce que je vais m’en servir à chaque instant pour la punir.
Ida et moi étions assis côte à côte mais rien ne se passait entre nous. Il y avait un silence de cimetière qui régnait.
J’ai donc commencé à me poser des questions.
• Comment expliquer tout ça à Ida ?
• Comment lui prouver que je ne suis pas le genre de garçon qu’elle croît ?
• Comment l’empêcher de raconter tout ça à maman ?
• Est-ce que je devais annuler la fête, aussi pour moi que pour Josiane et elle ?
Assis à côté d’elle, je commençai par regretter tout ce qui s’est passé depuis l’arrivée de Josiane, j’aurais peut-être dû la dénoncer à maman quand je l’ai surpris en train de se masturber ou quand je l’ai surpris en train de passer un appel vidéo à moitié nue. Merde, j’ai tout gâché en croyant que j’ai tout réglé.
Les larmes commençaient par couler de mes yeux.
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La tête baissée et la main sur le front, j’aperçois une main qui me tendait un mouchoir, alors que les larmes coulaient sur mes genoux. Je lève la tête et je vois que c’est Ida qui me remettait un mouchoir, je fus touché par ce geste. Malgré tout, elle a toujours de la considération pour moi. Je voulais lui dire « merci » mais je ne pouvais pas, j’avais honte de moi-même.
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Je prends le mouchoir sans rien dire et je m’essuie le visage. Elle me regarde avec un air à la fois méprisant mais aussi avec un regard rempli de compassion.
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Quelques minutes après que je me sois essuyé, maman a frappé à la porte, puis elle est entrée : Il était déjà 22h passée de quelques minutes. Mon cœur battu très fort. Je senti que quelque chose allait se passer, que Ida allait lui raconter tout ce que Josiane a dit à propos de la fête. Je suis mort !
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Mais, à ma grande surprise, elle n’a rien dit de tout ça. Au contraire, elle couvert quand maman a demandé pourquoi j’avais cette mine. En plus elle m’a proposé de partager la glace que maman a rapportée avec elle ; ce que j’ai fait malgré moi, puis que j’avais honte et que j’avais peur de l’approcher.
Ensuite, je suis allé me coucher, tout peiné. Je n’ai trouvé le sommeil que 3heures après m’être allongé dans mon lit. J’imagine que Ida aussi pensait à ce qu’elle a entendu ce soir. Quant à Josiane, je suis sûr qu’elle dort à points fermés. J’espère qu’elle est contente de ce qu’elle a raconté. De toute façon, j’ai bien mérité tout ce qui arrive. Attendons le lendemain pour voir comment vont se passer les choses.
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Le lendemain, je me suis réveillé plus tôt que jamais, disons que j’ai juste eu 2 ou 3h de sommeil, parce qu’il n’était que 4h. Je suis donc sorti pour aller prendre une douche et là je rencontre Josiane, elle venait de prendre une douche et elle retournait dans sa chambre. D’abord, j’ai eu peur, mais après ça, ma colère a grandi, j’avais juste envie de la tuer sur ce coup-là. Elle a constaté que je l’en voulais, elle ne m’a rien dit de peur de faire sortir ma colère, elle a juste baissé la tête et elle m’a dépassé tranquillement. Apparemment, elle ne réalisait pas encore la gravité de ce qu’elle a raconté le soir sous l’effet de l’alcool. Enfin, peu importe, qu’elle soit consciente ou pas, je m’en fou ; tout ce qui compte c’est qu’elle ait dit ce qu’elle ne devait pas dire, sans aucune hésitation.
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Après avoir pris ma douche, je me suis retourné dans ma chambre et j’ai attendu qu’il sonne 6h 30, que je dépose maman et Ida. Eh merde, comment je vais pouvoir regarder Ida dans les yeux ?
Quand j’y pense, je crois que j’ai tout perdu. J’étais sur le point de gagner son cœur mais l’évènement d’hier soir a tout gâché. Je ne vais jamais pardonner ma cousine pour ça.
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A 6h 30, je suis sorti tout peiné, tout le monde était au salon, à table et on m’attendait pour prendre le petit déjeuné. La première personne que j’ai regardée quand je suis arrivé au salon, c’est Ida. Elle avait l’air plutôt sans façon. Quelle fille !
Malgré ce qui s’est passé, elle n’a toujours pas de la haine pour moi ; ou bien elle me hait en silence ?
Le petit déjeuné a été pris sans un aucun mot entre nous. Maman avait constaté que quelque chose n’allait pas et ceci seulement sur le visage de Josiane et du mien, parce que Ida était très calme et souriante comme d’habitude. Alors quand elle a demandé ce qui n’allait pas, on lui a dit que tout allait bien, en plus Ida a confirmé.
Après avoir pris le petit déjeuné, j’ai fait sorti la voiture du garage puis on est parti. J’avais constaté que le réservoir de la voiture s’asséchait alors, sur la route on a payé du carburant.
Après que j’aie déposé maman à la boutique, il ne restait plus que Ida et moi. Mon cœur battait, j’étais très stressé sur le volant au point où je ne me retrouvais plus. J’ai dû m’arrêter en route pour souffler un peu d’air.
-Vido, tout va bien.
- (Avec une voix tremblante) Oui, ne t’en fais pas, j’ai juste besoin de souffler un peu d’air.
Elle posa sa main droite sur la mienne qui était collée au volant.
-Concentres-toi sur le volant, tout va bien.
-Non, Ida, rien ne va bien, je sais que tu m’en veux même si tu fais semblant de faire comme si tout allait bien.
-Bien sûr que je t’en veux mais tout va bien, crois-moi. Bon, continuons sinon, je serai en retard.
-Ok, désolé de t’avoir faire attendre.
-Il le fallait, alors, tu n’as pas besoin de t’excuser.
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Une fois déposée à l’hôpital, Ida ma fait un signe de main et je me suis retourné à la maison. Josiane était assise dans le canapé et pensive. Je ne l’ai même regardé deux fois. Ensuite, je me suis dirigé dans ma chambre et j’y suis resté toute la journée : évidemment que j’allais de temps en temps à la cuisine pour manger quelque chose puis je revenais dans ma chambre et je fermais ma porte pour ne pas être dérangé. Mon phone aussi était resté éteint toute la journée. Je ne l’ai allumé qu’à 18h pour attendre l’appel de Ida.
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A 18h 15, elle m’a appelé, j’ai pris une douche et je suis allé la prendre. Elle était avec son amie Yasmine. J’ai déposé l’amie sur son chemin ensuite, on est allé à la boutique pour prendre maman. J’étais resté silencieux jusque chez maman sauf au moment où j’ai souhaité au revoir à l’amie Yasmine de Ida.
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A 20h, on est tous rentré à la maison, on a pris le dîner, je n’avais pas l’appétit mais j’ai mangé malgré moi pour ne pas éveiller d’autre soupçons chez maman.
Josiane n’osait pas m’approcher. Elle a enfin réalisé la gravité de ce qu’elle a dit. Elle ne pouvait pas aussi parler à Ida
Après le dîner, je suis sorti et je suis allé m’asseoir dans la véranda pour aller me libérer l’esprit. Environ une heure après, Ida est venue me rejoindre, elle s’est assise à côté de moi sans rien me dire pendant plus de 5 minutes, ensuite elle me lance :
-Alors, tu veux bien m’expliquer ça ?
-Quoi, stp ?
-Je veux tout savoir à propose de ce que ta cousine a dit hier, je suis dépassée là.
Je ne pouvais plus rien lui cacher, mais en même temps, je ne voulais pas la mettre mal à l’aise avec cette histoire.
-Tu es sûre de vouloir entendre ça ?
-Oui, mais apparemment, tu es concentré sur quelque chose, je ne veux surtout pas te déranger. Si tu finis de prendre l’air, tu peux me faire signe pour qu’on en parle, ça ne me gêne pas.
-Tu peux me faire un bip sur mon numéro, quand tout le monde sera au lit ? J’aimerais qu’on soit seul, c’est mieux et comme ça tu pourras me gifler, et faire tout ce que tu veux sans que personne ne le sache.
-Ne t’en fais pas. Peu importe ce que tu me diras, je n’irai pas jusqu’à te gifler ou te faire quoi que ce soit.
-Merci. Mais, tu sais, tu es très bien en français maintenant, tu t’exprimes très bien.
- (Elle me sourit) Oui, merci. Je me documente et j’apprends tous les soirs avant de dormit, en plus, il y a l’internet.
-hum ok. Alors à plus.
-Ok
Le simple sourit qu’elle m’avait lancé m’avait tellement fait du bien, si seulement elle savait à quel point je suis comblé.
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Elle se retourne à l’intérieur. Quelques minutes après, je suis allé me coucher.
Vers 24h, mon téléphone a sonné sous le coup du bip, alors je me suis réveillé, j’ai ouvert ma porte pour aller la voir mais j’ai constaté qu’elle était devant ma porte.
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-Salut, alors, on peut aller dehors ?
-Non, il fait froid.
-Ok, entre alors.
A suivre...

JOSIANE: CE GENRE DE COUSINEWhere stories live. Discover now