JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE

✌✌ JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE ✌✌ 👉Épisode 9

JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE
PARTIE 9
… c’est le jeu…
Elle se déshabille et reste en slip et en soutien, merde, elle portait un string rose et un soutien rose sans chiffon.
-Carrelle : c’est bon ? t’es satisfait ?
-Moi : ouais.
-Josiane : C’est à mon tour de jouer. Carrelle : action ou vérité ?
-Carrelle : encore moi ? Ok (Elle ouvre une carte : action.) Merde : Action.
-Moi : hum (rires)
-Josiane : Enlèves la chemise et le pantalon de David.
-Moi : Anhan !!
-Carrelle : (rires) ouais, c’est le jeu qui le veut, pas moi.
Elle s’approcha de moi et retira mes vêtements. Je suis maintenant en caleçon.
-Josiane : A ton tour
-Carrelle : Josiane, action ou vérité ?
-Josiane : (elle ouvre une carte : Vérité) Vérité.
-Carrelle : Quelle idée, tu as derrière la tête ?
-Josiane : J’ai envie d’essayer le sexe à trois avec vous.
Waouh, mon plan marche à merveille, apparemment, Josiane aussi voulait ça.
-Carrelle : Humm ok.
-Josiane : A ton tour Vido.
-Moi : Carrelle, action ou vérité, joues ta dernière carte.
-Carrelle : (Elle ouvre sa dernière carte : Action) Action, merde pourquoi je n’ai rien que des cartes d’action ?
-Moi : Déshabilles Josiane, retire aussi son slip et son soutien.
-Josiane : (sourire)
Carrelle se leva et alla déshabilla ma cousine et retira aussi ses sous-vêtements.
-Carrelle : Bon le jeu est à vous, je vous attends.
-Moi : Josiane action ou vérité ?
-Josiane : Action
-Moi : Embrasses Carrelle.
Elle embrasse Carrelle.
-Josiane : Action ou vérité, Vido ?
-Moi : Vérité.
-Josiane : Si les autres filles du groupe te demandaient de leur faire l’amour, tu vas accepter ?
-Moi (j’hésite un peu) Oui.
Il ne nous restait qu’une carte par tête. Josiane a donc voulu qu’on les ouvre ensemble : Action-Action.
-Moi : Faisons l’amour.
-Josiane : Faisons l’amour.
-Moi : Pas au salon, allons dans ta chambre.
-Josiane : Ok, attendez, je vais ramasser les assiettes sur la table et ramasser aussi le jeu de carte.
-Moi : ok, on t’attend alors dans ta chambre. Je prends Carrelle dans mes bras et je la porte jusqu’à la chambre puis je la jette sur le lit. Elle était déjà mouillée même avant que le jeu ne se termine. Je voyais le liquide couler le long de ses cuisses.
Josiane fait le ménage, et nous rejoint. Carrelle se lève du lit, on enlève le reste de nos vêtements. Je me mets au milieu et on commence par s’embrasser : j’embrasse Carrelle et après j’embrasse aussi Josiane. Ensuite, je les caresse.
On va sur le lit, Josiane fait sortir son sextoy et le pose sur le lit. Carrelle s’approche de moi, prend ma machine dans sa main gauche et commence les lents mouvements de vas et viens, elle la place ensuite dans la bouche et la suce lentement puis un peu plus rapidement.
-oohh…. Humm, doucement…
Pendant ce moment, Josiane se doigtait à côté sur le lit. Après avoir fini, elle s’approche de Carrelle et commence par l’embrasser, Carrelle se couche de dos sur le lit et écarte ses jambes, Josiane se met à quatre pattes au milieu de ses cuisses écartées et commence par la pénétrer avec le sextoy.
-Carrelle : humm, sucré, je n’ai jamais utilisé ça auparavant, plus vite stp… ahhh, quel goût délicieux…
Quant à moi, je prends Josiane par derrière, j’attrape sa hanche et je l’« encule »
On resta dans cette position jusqu’à la fin du premier coup. Je bois de l’eau et je couche sur le dos. Carrelle mon sur moi, s’assied sur mon pubis puis commence par « pomper », et Josiane s’accroupit sur mon visage, pose son vagin sur mes lèvres et me laisse sucer.
(…)
40 minutes de plaisir et tout le monde fut satisfait. Elles ont toutes atteint leur orgasme.
On est ensuite allé sous la douche prendre un bon bain (tous les trois), un bain accompagné d’embrassements et de caresses puis on revient au salon.
-Carrelle : C’était trop bon, j’ai adoré.
-Moi : Hum, tant mieux.
-Josiane : Bon, je vais faire du spaghetti pour nous, je suis sûr que tu as un peu faim Vido.
-Moi : Pas un peu, beaucoup même
Elle s’en va à la cuisine pour nous faire à manger, il ne restait alors, que Carrelle et moi.
-Carrelle : Alors, Vido, maintenant, tu me pardonnes ?
-Moi : Comment ?
-Carrelle : Tu me pardonnes pour t’avoir caché la vérité ?
-Moi : Non, t’inquiètes pas, tout ce qui nous uni toi et moi, c’est le sexe.
-Carrelle : Je sais que ce qui nous uni en parti, c’est le sexe, mais je t’aime aussi Vido. Si je fais tout ça, c’est pour te faire plaisir.
-Moi : Donc, tu ne te fais pas aussi plaisir ?
-Carrelle : Si. Mais je fais ça pour que tu saches que je suis prête à faire tout ce que tu veux, juste pour te faire plaisir.
-Moi : Mesures bien tes paroles, tu ne pourras pas faire tout ce que je veux. Si je te demande de te suicider, tu vas le faire.
-Carrelle : Pour toi, oui je le ferai.
On éclata de rires…
-Moi : Je plaisante.
-Carrelle : Je sais. Ça me fait plaisir de te voir en joie, au moins comme ça, je sais que j’ai une raison de vivre. Pour tout te dire, tu es ma meilleure famille.
-Moi : Stp Carrelle, ne recommence pas, tu veux encore pleurer pas vrai ?
-Carrelle : Non bb, je ne vais pas pleurer. Je veux te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi-même si tu penses toujours que ce n’est rien. Depuis que mes parents sont décédés j’étais complètement perdu, jusqu’au jour où je te rencontré quand on était en classe de 3ème, on est tombé amoureux, tu subvenais à tous mes besoins, qu’ils soient matériels ou financiers, mon grand frère lui, il ne demandait même pas comment je fais pour m’en sortir à l’école, tout ce qui l’intéressait, c’est aller en buvette et dépenser tout son argent avec des putes. Tu m’as toujours aidé pour les frais de formations à l’école et tu m’as même avoué que tu cotises l’argent que tes parents te donnent pendant les vacances pour pouvoir m’aider à payer ma contribution à l’école. C’était largement suffisant pour que je me donne à toi, tu as été la première personne qui a fait l’amour avec moi. Même quand j’ai fait l’erreur de te tromper, tu m’as pardonné et je sais que tu ne m’aimes plus comme avant depuis ce jour-là mais je sais aussi que tu tiens toujours et beaucoup à moi. Je t’aime Vido.
-Moi : (je la prends dans mes bras pour la consoler) ça va bb, arrêtes stp.
-Carrelle : Je sais que tu te demandes toujours comment je suis arrivée à changer jusqu’au point de devenir une lesbienne.
-Moi : Hum.
-Carrelle : C’est en partie, à cause de toi.
-Moi : Hein ! moi, j’ai quoi à voir dedans ?
-Carrelle : le jour où tu m’as dit que c’était fini entre nous, une semaine après ça, j’étais tellement désespérée que je suis allé voir Marceline.
-Moi : Quoi, Marceline, celle qui embête tous les mecs qui la draguent là ?
-Carrelle : Oui, l’apparence est trompeuse. Donc quand je suis allé chez elle, je lui ai tout expliqué, que tu avais rompu avec moi et que je n’osais pas te demander de l’argent pour quelque chose. Elle m’a donc proposé de m’inscrit sur un site sur lequel on envoie nos photos sexy et nues gens et ils nous payent en retour, 1000f pour les photos en sous-vêtements, 5000f pour les photos nues et 20000f pour les vidéos. J’ai d’abord hésiter mais j’avais vraiment besoin de 5000f pour faire quelque chose. Alors je suis rentrée, j’ai réfléchi et le lendemain, je suis allée la voir et on a fait la photo sexy, 2 jours après, elle m’a payé mes 5000f. Donc quand j’avais besoin d’argent, j’allais chez elle et on faisait des photos qu’on vendait. Jusqu’au jours où j’ai eu besoin de 30000f pour les soins médicaux de ma cousine Léa, Marceline m’a donc proposé de faire l’amour avec moi, entre filles, qu’on n’allait pas filmer, juste pour le plaisir et qu’elle me paierait 50000f. Je ne pouvais pas refuser parce que j’avais vraiment besoin de cet argent. Mais après ça, ma cousine est décédée malgré tout, donc j’ai décidé de continuer comme ça, voilà comment ça s’est passé.
-Moi : (je me suis senti coupable pour ce qui lui est arrivé) Pardonnes-moi Carrelle, je n’aurais pas dû rompre avec toi.
-Carrelle : Non, tu as bien agi sinon, je serai toujours en train de te tromper. Je n’étais pas consciente de tout ce que tu faisais pour moi. Je suis vraiment désolé.
-Moi : Ce n’est rien oublies ça, (je la serre dans mes bras et j’essuie ses larmes qui coulaient sur mon torse)
Pendant qu’on était-là, assis dans le canapé, Josiane arriva avec la nourriture.
A suivre..