✌✌ JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE ✌✌ 👉Épisode 12

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JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE😷😍
😍😍PARTIE 12
… Carrelle est séropositive.
A ces mots je suis devenu complètement parano
-Allô bro, t’es là ?
-Oui, oui Roland je suis là ; elle est toujours à l’hôpital ?
-Oui, moi aussi d’ailleurs, on a appelé son frère mais apparemment il n’est pas dans la ville.
-Ok, je viens dans quelques minutes.
-D’accord bro.
-Stp, tu peux m’indiquer l’hôpital ?
-Oui (il m’indiqua l’hôpital)
-Merci mec
Il sonnait déjà 6h 30 en ce moment. J’ai donc raccroché le téléphone et décidé d’aller prendre une douche et de rejoindre Roland et Carrelle. Quand je suis entré dans le couloir, j’ai vu Josiane qui venait de se réveiller :
-Bonjour Vido, tu as bien dormi ?
-Oui, bonjour, je vais bien.
-Tu as une mauvaise mine, je t’ai entendu parler au téléphone tout à l’heure, tu es sûr que ça va ?
-Oui, mais puisque je te le dis, tout va bien, c’est Roland qui m’a appelé pour un truc urgent et je dois aller le voir dans quelques minutes. Je suis en train d’aller prendre une douche comme ça.
-Aok, je vais te faire le petit déjeuné en attendant que tu ne finisses de te préparer (elle me fit un bisou sur la joue)
- (…)
Jusque-là, elle ne se doutait de rien, pour elle tout allait bien. Moi, j’étais mort de peur et d’inquiétude. Sous la douche, je ne faisais que me poser des questions :
• Si Carrelle est atteinte du VIH SIDA, depuis quand l’est-elle ?
• Si elle l’a depuis au moins 1 ans, même 6 mois, ne me l’a-t-elle pas déjà transmis ?
• -Si c’est le cas, ne l’ai-je pas transmis à Josiane ?
Oh, mon Dieu, je suis dans un vrai pétrin, toute ma prière est que je ne sois pas contaminé et si jamais je l’étais, je me suiciderai avec. Je ne voudrais pas que ma famille souffre à cause de moi.
Après avoir pris la douche, je suis allé dans ma chambre me changer : il était 7h moins 8 min.
Je suis ensuite allé au Salon, Josiane avait déjà chauffé l’eau et a mis de quoi prendre mon petit déjeuné, je me suis donc empressé pour prendre le petit déjeuné puis j’ai pris mon sac à dos et tout ce qui me restait comme économie ; j’avais environ 108000f, j’ai tout ramassé dans le sac, je suis allé au garage prendre ma moto puis je suis sorti de la maison à 7h 10 min.
Je suis arrivé là-bas aux environs de 8h. Ensuite j’ai appelé Roland pour qu’il vienne me rencontrer au portail de l’hôpital pour me conduire à la chambre d’hospitalisation de Carrelle.
-Salut mec
-Salut David, t’as pris un peu de temps pour venir.
-Désolé, je suis super stressé en ce moment. Bon, conduis-moi là-bas stp.
On marcha ensemble jusqu’à l’entrée puis dans deux couloirs l’un après l’autre puis on est arrivé à la porte de sa chambre. Je pris peur à nouveau.
-Bro, c’est ici, la dame a demandé qu’on ne la dérange pas.
-Au fait, où est la dame ?
-Oh, elle rentrée depuis 1h du matin mais elle reviendra à 9h ou à 10h.
-Merci bro, pour tout ce que tu as fait.
-Ne me remercie pas, si je ne le faisais pas en ce moment, personne ne le fera.
-Tu sais, j’ai peur d’aller la voir.
-Tu ne devrais pas. Allons-y, elle est encore couchée. (Puis il me souffla dans l’oreille : d’après ce que j’ai entendu la dame dire à un de ses collègues, Carrelle n’a plus beaucoup de temps à vivre et qu’il ne faut pas qu’elle le sache)
-Merde, arrêtes de me dire ces choses, tu ne m’as pas fait assez flipper comme ça ? Moi je plains aussi mon cas.
-Désolé, je pensais que tu aimerais l’entendre.
- (…)
On ouvre la porte et on entre, Carrelle était encore couchée et elle dormait toujours. Je me suis donc approché d’elle et je me suis posé sur une des chaises qui étaient à côté de son lit.
-Stp, Roland, tu peux me laisser seul avec elle ?
-D’accord mais fais vite, avant que la dame ne vienne, moi aussi, je ne devais pas être là, parce qu’elle a interdit de déranger Carrelle.
-ok, merci.
Ensuite Roland est sorti et il a fermé la porte.
Je m’assieds à côté de Carrelle et je la prends par la main gauche.
-Salut bb, je suis vraiment désolé pour tout ce qui arrive en ce moment, c’est très dur et je ne sais plus quoi faire. Je m’inquiète beaucoup pour toi mais j’ai aussi peur bb. Je ne….
Pendant que je parlais encore, quelqu’un a ouvert la porte, c’était une dame, elle était avec Roland, j’ai tout de suite deviné qu’il s’agissait du docteur.
Je me suis donc levé pour la saluer et pour m’excuser d’avoir dérangé Carrelle.
-La dame : Non, jeune homme, ça va, votre ami m’a expliqué qui vous êtes pour elle. (Roland me fit un signe de tête)
-Moi : Merci Madame, je suis venu ce matin après avoir appris la nouvelle.
-La dame : D’accord, sachez qu’elle ne sait pas encore qu’elle a ce genre de maladie, alors je vous demande une discrétion totale avec elle.
-Moi : D’accord madame, c’est compris.
-La dame : Voilà les médicaments qu’on a prescrit, vous devez les acheter dans la journée et commencer le traitement pour booster un peu le reste de sa durée de vie. Et surtout, vous devez lui prendre quelque chose à manger.
« Sa durée de vie » ! Alors, c’est pour de vrai, Carrelle va mourir et me laisser, elle va vraiment partir ? (Je commençai par couler des larmes)
La dame continua :
-La dame : Ce n’est pas la peine, le mieux c’est que vous vous ressaisissiez et faites beaucoup attention avec les filles qui sortent avec vous. Maintenant, allez acheter les médicaments, ça doit faire quelque chose de 67300f, comment allez-vous faire ?
-Moi : Ce n’est pas grave, je vais gérer ça.
-La dame : Tant mieux. Mais quand vous serez là, je dois vous faire un test aussi, c’est très important et c’est d’ailleurs évident vu que vous êtes son petit ami.
A ces mots, j’eus très mal au cœur et je fus à nouveau saisir par la peur. Je commençai par me poser des questions :
*Et si je suis aussi séropositif, alors, je vais mourir dans quelques temps.
*Ensuite ça sera le tour de Josiane parce que je l’aurais refilé ça, de toute façon.
Je suis sorti de l’hôpital, je suis allé au garde vélo, j’ai pris ma moto et je me suis lancé dans la course que je devais faire. D’abord aller à la pharmacie, ensuite aller acheter quelque chose à manger pour Carrelle.
J’ai quitté l’hosto vers 9h et je suis revenu à 10h 30 environ. Je suis directement passé au bureau de la dame pour faire le test avant d’aller voir Carrelle et Roland.
-(Toc, toc, toc : je frappe à la porte du bureau, j’ouvre et j’entre, comme il est demandé de le faire d’après les inscriptions sur la porte) Madame, j’ai déjà acheté tous les médicaments.
-Vous avez été rapide jeune homme. J’espère que tout y est ? (Elle prend le sachet et vérifie) Ok c’est bon.
-Madame, je suis là pour le test svp. (On pouvait entendre mon cœur battre comme si on avait posé une arme sur moi)
-Ah oui, j’allais oublier, espérons que ce ne soit pas positif.
-Je l’espère aussi (la voix tremblante)
Elle prit un peu de coton, ajoute quelques gouttes d’alcool iodée et me demande d’approcher ma main, elle essuie mon index avec le coton imbibé d’alcool, sort le matériel et me dit :
-ça va un peu faire mal.
Ensuite elle me pique avec un genre de seringue et prend truc pour recueillir un peu du sang qui coulait, ensuite elle me remet le coton pour appuyer l’endroit où le sang coulait puis elle prend le sang prélevé et fait couler ça sur un genre d’appareil de mesure plat.
J’étais mort de peur et d’inquiétude.
Elle regarde sur l’appareil, me fixe dans les yeux et me dit :
-Jeune homme le test de VIH SIDA est…
👀A suivre.

JOSIANE: CE GENRE DE COUSINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant