✌✌ JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE ✌✌ 👉Épisode 24

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JOSIANE: CE GENRE DE COUSINE
PARTIE 24
… C’était Josiane… Je cours vers la cuisine…
J’arrive dans la cuisine et je la retrouve dans un coin, toute effrayée.
-Hey, ça va ? T’as quoi ? (Je commence par avoir peur moi aussi)
-ça ne va pas Vido (Pleures)
-Tu as quoi ? Pourquoi tu t’es cachée dans un coin de la cuisine ? Tu fuis qui ?
-Je n’ai rien Vido. C’est ça, regarde. (Elle tend le doigt vers l’autre côté du mur)
Je me retourne (avec la peur au ventre).
Je vois une petite souris qui mangeait les restes de nourriture qui étaient tombés par terre. La souris n’avait même pas l’air de nous voir.
Ensuite je m’approche de la souris et je la prends avec ma main gauche, pauvre souris, elle avait une patte blessée.
-Mais, c’est une petite souris, elle est même blessée.
-Et alors, hein Vido ? Jettes-ça, ça me fait flipper grave !
- (J’éclate de rires) Toi, avec tout ce que tu dis et tout ce que tu fais, c’est une simple souris qui te fait peur ?
-Je n’ai pas peur Vido !
-Ah bon ?
-Oui
J’approche la souris d’elle, elle sursaute et sort de la cuisine. J’éclate de rires et je sors de la maison avec la souris puis je la dépose devant la brousse qui était non loin de notre maison. J’espérais en tout cas, que rien ne lui arrive après ça.
Je suis alors revenu à la maison, je me suis lavé les mains et je suis allé voir Josiane, elle était dans sa chambre.
-(Rires) Alors comme ça, les petites bestioles te terrorisent ?
-Non, je ne voulais pas… Enfin, laisses-tomber.
-Regardes j’ai encore la souris avec moi (je fais semblant de faire sortir la souris de ma poche)
-(Elle saute de son lit et se précipite vers la porte)
-Relaxes, je n’ai rien sur moi.
-Ouf.
-Alors, avoues-le, les bestioles te font peur.
-Ok.
-(J’éclate de rires) Au fait, je me demande comment cette souris a fait pour atterrir dans la cuisine.
-Moi aussi. Stp, peut-être qu’il en reste encore dans la cuisine.
-Non, j’ai déjà vérifié et tout va bien. Il n’y a rien à craindre.
-Hum, moi je ne suis pas sûre inh ;
-(Rires) Arrêtes de pleurnicher bb, tout va bien.
-Tu m’as appelé bb maintenant ?
-Non, désolé, c’est une erreur.
-Stp, répètes-ça, juste une fois.
-Non, je n’avais pas pensé à ça avant de le dire. Je l’ai dit par mégarde.
-Stp Vido.
-(Sourire) Bb.
-Merci. (Elle se lève et m’embrasse).
-Stp, il ne faut pas qu’on tombe amoureux Josiane, c’est très risqué et tu sais bien que si ça arrive, on est mal barré parce que les parents ne vont pas nous pardonner pour ça.
-(…)
-En plus, Tu vas partir dans moins d’un mois.
-Je sais Vido, mais stp, est-ce qu’on peut avoir une relation amoureuse pendant les trois semaines qui me restent ici ?
-Non, ce n’est pas une bonne idée.
-Stp Vido.
-Euh, moi j’ai super faim là. Tu vas me faire à manger ?
-Tu n’as pas répondu à la question inh Vido. Mais ce n’est pas grave, on va en reparler après.
-Hum
-Oui, alors, tu viens avec moi dans la cuisine ?
-Pourquoi ?
-Aller, stp, les souris peuvent être encore là.
-Non, je ne crois pas, tu peux y aller seule, il n’y a plus rien à craindre.
-Viens avec moi Vido, stp.
-D’accord, comme tu insistes.
-Merci bb.
-Hum.
On va ensemble dans la cuisine. Je l’assiste pendant qu’elle faisait quelque chose à manger. Ensuite, on mange et on va se coucher. Josiane avait insisté pour que je dorme dans son lit avec elle, ce que j’ai exécuter. On est resté collés toute la nuit.
Le lendemain, je me réveille à 8h, Josiane n’était pas à côté de moi.
Je sors pour aller dans ma chambre et je la vois dans le couloir.
-Hey, bonjour Vido.
-Salut toi ! Tu as bien dormi ?
-Oui, comme un bébé. Et toi ?
-Ouais, on peut dire ça.
-D’accord.
-Tu fais quoi là ?
-Rien, j’ai juste eu envie de m’asseoir par terre ici, ça me détend bien.
-Ok je vois. Bon je vais me changer et je viens prendre le petit déjeuné.
-D’accord.
Je vais dans ma chambre me changer, je me brosse et je vais au salon pour prendre mon petit déjeuné.
A peine arrivé au salon, j’entends le téléphone fixe sonné. Josiane était dans le canapé alors, je me suis précipité de décrocher. Je n’avais pas eu le temps de vérifier le numéro qui appelait.
-Allô
-Salut Fiston, comment ça va ?
Boom, c’est mon papa.
- (Je racle la gorge) Bonjour Papa, je vais bien et toi ?
-D’accord, et ta cousine ? J’ai appris qu’elle était venue vous rendre visite, moi qui croyais que tu irais chez ta tante, sa mère en Côte d’Ivoire.
-C’est ce que je croyais aussi, mais maman en a décidé autrement. Josiane va bien, elle est assise dans le canapé.
-Ah oui, j’oubliais même son prénom : Josiane. Ok, j’espère que vous vous entendez bien vu que vous êtes seuls à la maison.
-Oui papa, tout va bien, sauf que parfois elle me prend la tête.
Josiane me regarde de loin (depuis le canapé) et me lorgne.
-Ah, tu vas faire avec fiston. Les filles, c’est toujours comme ça.
-Tu as raison papa. Comment ça se passe là-bas ?
-Tout va bien, le travail m’occupe toute la journée mais à part ça, tout va bien.
-Ok, tu vas revenir quand ? Sinon, tu me manques déjà, en plus tu ne m’as pas encore donné mon cadeau de réussite pour le baccalauréat.
-Ne t’inquiètes pas, on a tout le temps pour ça. Je vais rentrer dans 1 mois.
-Ok Papa.
-Voilà, c’était pour entendre ta voix. J’espère que ta maman vous appelle souvent.
-Oui papa, tout le temps même.
-Ah d’accord, c’est bien. Passes-moi ta cousine, je veux entendre sa voix aussi.
-Josiane, papa veut te parler.
Elle se précipite pour venir prendre le téléphone.
-Allô, elle est là ?
-Oui tonton.
Ensuite, je m’assieds sur une chaise, Josiane et Papa ont parlé là, après ça, j’ai pris le téléphone, on s’est souhaité au revoir et j’ai raccroché.
-Ah, ça a pris un peu de temps inh. Putain, ma faim s’est amplifiée.
-Hum.
Elle se retourne dans le canapé.
-Aller, c’est parti.
Je me sers, je mange et après je rejoins Josiane dans le canapé.
-Alors, on va faire quoi de la journée ?
-J’ai juste envie de rester dans tes bras toute la journée Vido.
-Quoi, dis, t’es vraiment amoureuse de moi ?
-(Elle baisse la tête) Laisses-tomber.
-Excuses-moi, je ne voulais pas te rendre triste.
-Mais tu l’as fait en quand même.
-Aller, stp, sois pas triste.
-Alors, prends-moi dans tes bras.
-(…)
-Stp Vido.
-D’accord, aller, approches.
Je la prends dans mes bras, elle met la tête sur mon torse. Je ne voulais pas du tout tomber dans son piège mais là, ce n’est plus un piège, elle est vraiment amoureuse. Ça ne me plaît pas du tout.
-Alors, ça va ?
-Non Vido, je veux encore rester un peu. Stp chou.
-Pff.
Pendant qu’on était là, mon téléphone sonne (depuis la salle à manger)
-Mince, je l’ai laissé là-bas. Bon, je dois décrocher.
-D’accord, reviens vite s’il te plaît.
-Hum.
Je me lève pour aller prendre le téléphone
A suivre...

JOSIANE: CE GENRE DE COUSINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant